Un secret n’est jamais bien gardé de Alessia Gazzola – Presses de la Cité.
Fille spirituelle de Kay Scarpetta et de Bridget Jones, Alice Allevi, interne en dernière année de médecine légale à Rome, est de retour !
Si, aux yeux de la plupart des gens, Alice Allevi est une fille maladroite au cœur d'artichaut, pour l'inspecteur Calligaris, elle est surtout une enquêtrice hors pair. C'est donc sans hésiter qu'il lui confie une nouvelle affaire. Konrad Azais, écrivain de renom, a été retrouvé mort à son domicile. Quelque temps auparavant, l'homme avait adressé à ses enfants une lettre leur annonçant qu'il comptait les déshériter au profit d'une inconnue. Ses ayants droit l'auraient-ils éliminé avant que sa fortune ne leur échappe ?
Convaincu que la personnalité solaire d'Alice aidera les langues à se délier, Calligaris l'envoie sur le terrain interroger les proches de la victime. Prenant son rôle très à cœur, la jeune femme se plonge corps et âme dans cette affaire, et dans l'œuvre d'Azais. Elle ne tarde pas à découvrir que celui-ci entretenait des relations complexes avec feu Olivier Volange, son meilleur ami de jeunesse et écrivain raté...
Véritable phénomène d'édition en Italie, Alessia Gazzola est, comme son héroïne, médecin légiste. Après La Mauvaise Elève (Presses de la Cité, 2012), Un secret n'est jamais bien gardé est son deuxième roman.
www.pressesdelacite.com – 470 pages – 21,50 €.