Cinéma aux "Grignoux", à Liège et à Namur, ainsi qu'au "Palace", à Bruxelles

écrit par YvesCalbert
le 16/07/2020

Ce samedi 18 juillet, à 19h45, au « Palace », à Bruxelles, au « Caméo », à Namur, et au« Sauvenière », à Liège, nous vivrons un événement cinématographique particulier, puisqu’une « masterclass » sera donnée - en anglais, sans  traduction, en duplex, entre Bruxelles (avec retransmission à Liège et à Namur) et Toronto - par le réalisateur canadien David Cronenberg, cette rencontre exceptionnelle étant animée par le cinéaste bruxellois Fabrice Du Welz, à l’occasion de la projection, en avant première de la copie remasterisée 4K, du film « Crash » (David Cronenberg/Canada/1996/100’/avec Holly Hunter).

Synopsis : « James et Catherine Ballard, un couple dont la vie sexuelle s’essouffle quelque peu, va trouver un chemin nouveau et tortueux pour exprimer son amour grâce aux accidents de voiture. A la suite d’une violente collision, ils vont en effet se lier avec des adeptes des accidents… »

Critiques de la Presse :

– par Emmanuel Burdeau, pour « Les Cahiers du Cinéma » : « Rarement un film a autant ouvert sur le dedans par le simple frôlement du dehors, rarement un cinéaste a su construire une approche aussi frontale du corps et de la sexualité. »

– par Philippe Rouyer, pour « Positif » : « Partagé entre sa répulsion face à une souffrance qu’il pourrait éprouver dans son propre corps et son attirance pour des personnages violents et romantiques décidés à accomplir jusqu’au bout leur destin, le spectateur ne saura rester indifférent. »

– par Gérard Lefort, pour « Libération » : « C’est cet amour de l’entre-deux, ce flirt entre chien et loup qui font de Crash un film en transes, et pas seulement sexuelles. »

– par la rédaction du « Journal des Grignoux » : « Cronenberg réussit une œuvre audacieuse et sulfureuse, aussi clinique que sensuelle, sur les liens entre l’érotisme et la technologie, le sexe et la mort. » 

Soulignons que cette fiction – adaptation du roman éponyme de l’écrivain britannique, né à Shangaï, James Graham Ballard (1930-2009) – a reçu, en 1996, le « Prix spécial du Jury », au « Festival de Cannes ».

Notons que David Cronenberg a été fait « Chevalier de l’Ordre national de la Légion d’Honneur », en 2009, à  Toronto, pour avoir fortement contribué au développement de la coopération culturelle franco-canadienne, et « Chevalier des Arts et des Lettres », en 1990, à Paris. En outre ce réalisateur a remporté deux « Prix Génie du meilleur Film », décerné par l’ « Académie canadienne du Cinéma et de la Télévision », pour « Le Festin nu » (UK-USA-Canada-Japon/1992/115′) et « Faux-Semblants » (Canada-USA/1989/115′).

De son côté Holly Hunter a été la lauréate, en 1988, de l’ « Ours d’Argent de la meilleure Actrice », à la« Berlinale », pour « Broadcast News » (USA/1988/127′). Pour son inteprétation dans « La Leçon de Piano » (Jane Campion/ Nouvelle Zélande-Australie-Fra./1993/121’/film ayant obtenu, en 1993-1994, la « Palme d’Or » au « Festival de  Cannes », 3 « Oscar », 3 « BAFTA » et 1 « César »), elle a reçu, en 1993, le « Prix d’Interprétation féminine », au  « Festival de Cannes », ainsi qu’en 1994, le« Prix de la meilleure Actrice », aux« Oscar », « BAFTA » et « Golden Globe ».

Dans le cadre de leurs « Classiques de l’Eté », le « Caméo », à Namur, du mercredi 15 au mardi 21, et le « Churchill », à Liège, du mercredi 15 au lundi 20, programmeront « Le Charme discret de la Bourgeoisie » (Luis Bunuel/Fra.-Ita.-Esp./1972/102’/film ayant reçu, en 1973, l’ « Oscar du meilleur film étranger » et, en 1974, le  « BAFTA du meilleur Scénario »).

Synopsis : « Les Thévenot viennent dîner chez les Sénéchal. Surprise : le repas était prévu pour le lendemain. Thévenot invite tout le monde dans une auberge transformée en salle mortuaire. Nouvelle réception, le samedi, mais cette fois les Sénéchal sont occupés… » 

Toujours au programme des « Grignoux » – du mercredi 15 au mardi 21, au « Caméo », à Namur, et au  « Sauvenière », à Liège, ainsi que les mercredi 15 et samedi 18, au « Parc », à Liège -, « Pinocchio » (Matteo Garrone/Ita.-Fra.-UK/2019/125′).

Synopsis: « Geppetto, un pauvre menuisier, fabrique dans un morceau de bois un pantin qu’il prénomme Pinocchio. Le pantin va miraculeusement prendre vie et traverser de nombreuses aventures… »

Critiques de la presse :

– par Frank Rousseau, pour la « DH » : « La force de cette mouture (de « Pinnocchio ») c’est qu’elle est constituée d’images de synthèse parfaitement dosées. Autrement dit, elle ne tue pas la magie de l’histoire. »

– par Laurent Djian,  pour « Télé 7 Jours » : « Une adaptation fidèle du conte de Carlo Collodi. Encore une ? Oui, mais, jusqu’à présent, aucune n’avait aussi bien traduit sa sombre étrangeté. » 

– par la rédaction du « Journal des Grignoux » : « Sans abuser des effets spéciaux et des morceaux de bravoure, la version de Garrone est un beau spectacle soigné et magnifié par le travail du chef-opérateur Nicolai Brüel et du compositeur Dario Marianelli. »

– par Gaëlle Moury, pour « Le Soir » : « L’incroyable Roberto Benigni est attachant dès les premiers instants. A la fois drôle, fragile, vrai, touchant dans cette histoire qui lui colle à la peau depuis longtemps (il avait notamment réalisé et interprété ‘Pinocchio’, dans le rôle titre, cette fois, en 2002). Et aussi un tas de thématiques universelles et intemporelles. Pour les enfants aussi, mais pas trop jeunes. »

De fait, quelques sanglots pourraient se répendre sur les joues des plus petits à la vue d’un « Pinocchio » pendu ou  dont les pieds ont disparus, emportés par le feu de l’âtre… Ce qui n’enlève rien à la qualité de ce film qui mérite d’être vu par de nombreux spectateurs,… même dans l’injuste inconfort du port du masque, en salles, alors que leurs capacités ont été réduites et qu’une distenciation sociale est obligatoire entre les« bulles »…

A Berlin, Matteo Garrone confiait à Gaëlle Moury : « La pauvreté est un des personnages du film…C’est une histoire moderne qui parle toujours de nous, de nos peurs… C’est une histoire qui enseigne beaucoup… Nous voulions faire la version la plus fidèle et la plus respectueuse par rapport au livre » (écrit en 1883/par Carlo Collodi /né Carlo  Lorenzini/1826-1890).

Ce réalisateur italien reçut deux « Grands Prix du Jury », au « Festival de Cannes », en 2012, pour « Reality » (Ita.-Fra./2012/115′) et en 2008, pour « Gomorra » (Ita./2006/135’/film lauréat de cinq « Prix du Cinéma européen », dont ceux « du meilleur Film » et « du meilleur Réalisateur ») ; trois « David di Donatelllo »  (l’équivalent italien des  « Magritte » et des « César »), un, en 2016, « du meilleur Réalisateur », pour « Tale of Tales » (Ita.-Fra.-UK/2015/ 134′) et deux, en 2019, « du meilleur Scénario original » et « du meilleur Réalisateur », pour « Dogman »  (Ita.-Fra./2018/99’/film lauréat, en 2018, de trois « Prix du Cinéma européen ») ; une fiction pour laquelle il fut, aussi, en 2018, le lauréat du « Ruban d’Argent du meilleur Réalisateur », décerné par le« Syndicat national des journalistes cinématographiques italiens » ; ce dernier Prix  venant de lui être, également, attribué, en 2020, pour « Pinocchio ».

Quant à l’interprête de« Gepetto », Roberto Benigni - que sa maman surnommait« Pinocchietto » - pour son film « La Vie est belle » (Ita./1998/ 117′), dont il est le réalisateur et l’acteur principal, il remporta, en 1998, le« Grand-Prix du Jury » du « Festival de Cannes », et dix « David di Donatello » ; en 1999, trois « Oscars », dont celui « du meilleur Acteur », le « César du meilleur Film étranger », le « BAFTA du meilleur Acteur », aux  « Lumières de la Presse internationale basée à Paris », le « Prix du meilleur Film étranger », le « Goya du meilleur Film européen », ainsi que les« Prix du Public » aux Festivals de Montréal, Toronto et Vancouver.

« Pinocchio » bénéficie, aussi, de la présence de Mark Coulier, lauréat de deux « Oscars des meilleurs Maquillages », en 2012, pour « La Dame de Fer » (Phyllida Lloyd/UK-Fra./2012/104’/avec Meryl Streep,« Oscar »,  « Golden Globe » et« BAFTA de la meilleure Actrice » ) et pour « The Grand Budapest Hotel » (Wes Anderson/ USA-All./2014/100’/film lauréat, en 2014, de l’ « Ours d’Argent » de la « Berlinale » ; en 2015, de trois autres  « Oscars », du « Golden Globe de la meilleure Comédie ou Comédie musicale » et de cinq « BAFTA »).

A découvrir également, le film qui devait clôturer la 14è édition du « Festival Imagésanté », annulé en raison du virus, qui sera à l’affiche du mercredi 15 au mardi 21, au « Caméo », à Namur, et au « Churchill », à Liège : « La Forêt de mon Père » (Vero Cratzborn/Bel.-Fra.-Sui./2019/90’/avec Ludivine Sagnier & Léonie Souchaud), un film étant produit avec le soutien du « Centre du Cinéma » de la « Fédération Wallonie Bruxelles » et de« Wallimage », la réalisatrice étant wallonne, cette dernière tenant à souligner, à l’occasion de la réalisation de son 1er long-métrage, que son équipe  était  essentiellement féminine, notamment à des postes peu habituels, comme, par exemple, celui d’une cheffe électricienne…

Synopsis: « Gina, 15 ans, grandit dans une famille aimante en lisière de forêt. Elle admire son père Jimmy, imprévisible et fantasque, dont elle est prête à pardonner tous les excès. Jusqu’au jour où la situation devient intenable : Jimmy bascule et le fragile équilibre familial est rompu. Dans l’incompréhension et la révolte, Gina s’allie avec un adolescent de son quartier pour sauver son père… »

Critiques de la Presse :

– par Thibault Liessi, pour « Dernières Nouvelles d’Alsace » : « Sans jamais tomber dans la caricature, le premier film de Vero Cratzborn raconte une famille touchée par la maladie mentale. Un film porté par son excellent casting. »

– par Jérémy Gallet, pour « a.Voir-a.Lire.com » : « Un premier long métrage plein de promesses. Vero Cratzsborn  parvient à renouveler le portrait de l’adolescence, à travers l’histoire d’une famille impactée par la maladie psychiatrique du père. »

– par la rédaction, pour « Le Parisien » : « Acteurs impeccables (Alban Lenoir au plus loin du mystère, d’une tranchante vérité), séquences puissantes, telles la visite à l’asile, la folle virée en voiture… « La Forêt de mon    Père » dégage une intensité qui vous prend à la gorge. »

– par Christophe Caron, pour « La Voix du Nord » : « Un film-témoignage porté par une évidente sincérité. »

– par la rédaction, pour le « Journal des Grignoux » : « Par petites touches délicates, sans jouer la carte de la sensiblerie, (ce film) s’attaque de front à la dureté du réel sans pour autant s’y enfermer. Il plonge dans la vie de tous les jours, en apparence banale, et présente des personnages auxquels on s’attache vite… Lorsqu’il s’attaque au comportement insaisissable du père, le film garde les deux pieds sur terre et évite tant la lourdeur psychologique que le pathos. »

Sur le site des « Grignoux », nous lisons encore : « ‘La Forêt de mon Père’ est d’abord un récit initiatique dans lequel, symboliquement, une jeune fille essayera de se détacher de son père et de cet amour filial total pour vivre de ses propres ailes, l’amour (étant) le cœur de ce premier film fragile et sincère. »

« La force de ce film se situe là, dans sa façon de trouver un juste équilibre dans les contrastes, garder la maîtrise sur ce tourbillon émotionnel et maintenir la tension sur la longueur. Au centre de notre attention, il y a Gina (Léonie Souchaud, découverte {à 13 ans/ndlr}, dans ‘Le voyage de Fanny’ {Lola Doillon/Fra./2016/94′}), au comportement entier, positionnée à un carrefour de son existence. »

Notons que Ludivine Sagnier, fut, en 2002, pour le film « Huit Femmes » (François Ozon/Fra./ 2002/103′), l’une des 8 lauréates (avec Fany Ardant, Emmanuelle Béart, Danielle Darrieux, Catherine Deneuve, Isabelle Huppert,  Virginie Ledoyen & Firmine Richard) de l’ « Ours d’argent de la meilleure Contribution artistique », à la « Berlinale », ainsi que du « Prix du Cinéma européen », à Rome, et remportant, à titre individuel, en 2002, le « Trophée Chopard de la Révélation féminine », au « Festival de Cannes » et, en 2003, le « Prix Romy Schneider ».

Egalement au programme des « Grignoux », du mercredi 15 au mardi 21, au « Caméo », à Namur, au « Sauvenière » et au « Parc » (jusqu’au lundi 20, dans cette salle), à Liège, également à l'affiche du "Palace", à Bruxelles, « La bonne Epouse » (Martin Provost/ Fra./2019/105’/ avec Juliette Binoche, Noémie Lvovsky  et Yolande Moreau).

Synopsis : « Tenir son foyer et se plier au devoir conjugal sans moufter : c’est ce qu’enseigne avec ardeur Paulette Van Der Beck dans son école ménagère. Ses certitudes vacillent quand elle se retrouve veuve et ruinée. Est-ce le retour de son premier amour ou le vent de liberté de mai 68 ? Et si la bonne épouse devenait une femme libre ?… »

Critiques de la presse:

– par Caroline Vié, pour « 20 Minutes » : « Cette comédie remonte le moral tout en défendant la cause des femmes… »

– par Stéphanie Belpêche, pour « Le Journal du Dimanche » : « Entre légèreté et gravité, le réalisateur aborde frontalement des sujets comme l’identité ou la sexualité, avec un petit vent de folie cathartique… »

– par Marie Sauvion, pour « Télérama » : « Actrices étincelantes, réalisation intelligente : une réussite… »

– par Claudine Levanneur, pour « a.Voir-a.Lire.com » : « De situations cocasses en dialogues pétillants, La bonne épouse suit son cheminement de comédie mutine et gentiment désuète, que l’évocation des célébrités du moment (d’Adamo à Anne-Marie Peysson, en passant par Joe Dassin, Ménie Grégoire ou Guy Lux) enrichit d’une tendre nostalgie… »

– par la rédaction, pour « Cnews » : « Après ‘Séraphine’ et ‘Violette’, Martin Provost se veut le porte-drapeau de la condition féminine avec cette comédie fantasque, colorée et chorégraphiée qui tord le cou aux préjugés… »

– par Nicolas Bruyelle , pour « Le Journal des Grignoux » : « Ici, la révolution féminine se construit sur des bases comiques, ce qui n’est pas la moindre des qualités de ce film résolument euphorique… Une comédie politique iconoclaste pleine de maîtrise, aussi farceuse que terrifiante… »

Concernant Martin Provost, notons que son film « Séraphine » (Fra.-Bel./2008/109′) remporta sept « César », dont trois pour lui-même (« du meilleur Réalisateur », « du meilleur Scénario original » et« du meilleur Film français de l’Année », la Bruxelloise Yolande Moreau s’octroyant le« César de la meilleure Actrice »). Cette dernière, grâce à son interprétation dans « Séraphine », a également reçu, en 2008, le « Valois de la meilleure Actrice » au « Festival du Film francophone d’Angoulème » ; en 2009, le « Prix de la meilleure Actrice »aux« Lumières de la Presse étrangère basée à Paris », le« Prix du 1er Rôle féminin » aux« Etoiles d’Or de la Presse du Cinéma français », le« Prix de la Critique »  au« Col-Cao Film Festival ».

Pour son rôle dans « Camille redouble » (Noémie Lvovsky/Fra./2012/115’/film nommé à 13 reprises aux « César »), elle obtint, en 2013 le « Magritte de la meilleure Actrice dans un Second Rôle ». Comme réalisatrice, pour son film  « Henri » (Fra.-Bel./2013/107′), elle reçut le « Prix du meilleur Long-Métrage »  au« Festival international de Cinéma de Vernon ».

Les Prix remportés par Juliette Binochesont nombreux, à savoir, pour le film « Le Patient anglais » (Anthony Minghella/UK-USA/1996/162′), elle obtint, en 1997, l’ « Oscar »  et le« BAFTA de la meilleure Actrice dans un second Rôle », ainsi que l’ « Ours d’Argent de la meilleure Actrice », à la« Berlinale ». Pour « Trois Couleurs : Bleu », elle reçut, en 1994, le « César de la meilleure Actrice »et, en 1994, la « Coupe Volpi de la meilleure Interprétation féminine » à la « Mostra de Venise ». Enfin, elle fut la lauréate, en 1986, du « Prix Romy Schneider », recevant, en 2010, le « Prix d’Interprétation féminine » au « Festival de Cannes ». En outre, l’astéroïde 1999, a été baptisé« Binoche ».

Noémie Lvovsky, quant à elle, obtint, pour son rôle dans « Camille redouble » (), en 2012, le « Prix de la SACD », à la « Quinzaine des Réalisateurs »du « Festival de Cannes »  et le « Variety Piazza Grande Award » au « Festival du Film de Locarno », ainsi qu’en 2013, le « Prix spécial du Jury » aux « Lumières de la Presse étrangère basée à Paris ». En 2003, le « Prix Louis Delluc » lui fut attrubué pour la réalisation de son film « Les Sentiments »  (Fra./ 2003/94′).

A ne pas manquer, non plus, la vision de « Parasite » (Bong Joon-ho/Corée du Sud/2019/132’/film lauréat, en 2019, de la « Palme d’Or », au « Festival de Cannes » et, en 2020, de 4 « Oscars », 02 « BAFTA » et 1 « Golden  Globe »), en version originale, sous-titrée en français, du jeudi 16 au mardi 21, au « Churchill », à Liège, et jusqu’au dimanche 19, au « Caméo », à Namur, également à l'affiche, en version noir et blanc, du "Palace", à Bruxelles,

Autre film indispensable,d’une grande profondeur, qui se doit d’être vu par tous les cinéphiles : « Un Fils » (Mehdi Barsaoui/Tunisie-Fra.-Qatar-Liban/2019/96’/film lauréat, en 2019, « Prix du Public », au« Festival International du Film Francophone » {« FIFF »}, à Namur, et de 3 Prix, au « Festival du Cinéma méditerranéen » {« Cinemamed »}, à Bruxelles, du « Prix du meilleur Film », au « Festival du Film d’Hambourg », du « Prix du meilleur jeune réalisateur », au « Festival international du film de Trondheim », de l’« Arab Cinema’s Horizons Award », au « Festival international du Film du Caire » et du « Prix du meilleur Acteur », à la « Mostra de Venise »), du jeudi 16 au Mardi 21, au « Caméo », à Namur, et au « Sauvenière », à Liège.

Côté concert, dans la cour (ou à la« Brasserie ») du« Sauvenière », à Liège, ce vendredi 17, à 21h, avec l’appui des « Affaires culturelles de la Province de Liège »et des « Tournées Art et vie » : « Luz da Lua », un duo à cordes, composé du conpositeur et contrebassiste André Klénès et du guitariste Adrien Brogna, qui  nous ferons partager leurs musiques du monde, leur goût du latino-jazz et du néo-classique.

Pogramme détaillé et conditions d’accès, sur le site http://www.grignoux.be.

Yves Calbert.

 

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