Bruxelles, son Bois de la Cambre, ses belles maisons de bouche et l’essai de l’Opel Mokka.
Eh oui, On the road again…
Et quelles roads rien qu’un somptueux Parc au centre de notre capital et 3 restaurants plus que connus et reconnus à 2 pas – à savoir : La Truffe Noire, Les Brasseries Georges et La Porte des Indes.
Le Bois de la Cambre de Bruxelles.
Cette oasis de verdure, dont le paysage vallonné enserre un lac, pénètre la capitale jusqu’à l’extrémité sud de l’avenue Louise. Les joggers affectionnent le parc à l’anglaise (1860), tandis que les pelouses accueillent les adeptes des pique-niques. Il est bordé à l’est par la très chic avenue F. Roosevelt. Ouverte sur le site de l’Exposition universelle de 1910, elle attira une clientèle aisée qui se fit construire de somptueuses villas. À voir également le campus du Solbosch, l’un des sites de l’Université libre de Belgique fondée en 1834.
Mais aussi… Le bois de la Cambre a été conçu sur une partie enclavée dans la ville de la forêt de Soignes en 1862 par un Allemand, établi en Belgique : le tracé du bois fut confié à Edouard Keilig, architecte de jardin né en Saxe en 1827 qui gagna un concours. Cet espace aménagé à l'anglaise, style né en Angleterre au début du XVIIIè siècle, imite la nature et se caractérise par une irrégularité dans la conception des plantations et des voies. Cette irrégularité offre des points de vue et de perspectives très variés. Ce lieu devient rapidement le rendez-vous mondain des Bruxellois, à l’instar du bois de Boulogne à Paris. Il accueillait notamment une laiterie, un vélodrome, le Théâtre de Poche, un lac artificiel, un hippodrome, et des promenades pour cavaliers.
En 1815, à la veille de la bataille de Waterloo, des soldats anglais jouèrent au cricket sur un terrain qui aujourd'hui est une partie du bois de la Cambre (à l'Est de l'avenue de Diane, au Sud de la patinoire). Depuis lors ce gazon porte le nom de Pelouse des Anglais. Une stèle et un chêne commémorent depuis 1965 ce fait sportif historique. Bruxelles serait la 2è ville la plus verte de par le monde après Washington DC…
Restaurant La Truffe Noire, boulevard de la Cambre.
« Depuis vingt-cinq ans, notre cuisine traditionnelle et innovante sublime les truffes noires et blanches avec la plus intense recherche. Chacune de nos créations originales est l'expression de cette passion, que nous faisons partager aux gastronomes les plus exigeants. Ces diamants exceptionnels ne peuvent être présentés que dans un écrin exceptionnel: La Truffe Noire est une Maison de Bouche dédié à l'élégance, au raffinement et à la puissante magie de cet ingrédient hors du commun. Nous vous invitons à vivre une expérience unique dans notre restaurant étoilé ».
Table où le fameux tubercule Tuber melanosporum - le "diamant de la cuisine" - entre rituellement en scène dans un décor élégant. Splendide choix de vins... à des tarifs qui donnent parfois le vertige ! Terrasse-patio. Patron charismatique (www.truffenoire.com – 1* Michelin).
Voici déjà 25 ans que Luigi Ciciriello nous ravis les papilles avec ses merveilleux diamants noirs. Le décor ainsi que le service est élégant et subtil.
L’omniprésence du maître des lieux vous permettra, grâce à ses conseils, de vous familiariser au mieux avec la façon de déguster la truffe. Et, pour ce 25è anniversaire plusieurs surprises vous attendent avec comme cerise – pardon truffe – sur le gâteau une tombola grâce à laquelle l’heureux élu ou élue partira au volant d’une bien sympathique Fiat 500.
Le menu ‘Privilège 25 ans’ vous est proposé à 225,00 € (5 service)! Ce n’est pas donné me direz vous ! Mais à La Truffe Noire comme on ne travaille que les produits les plus nobles… Pour Maître Luigi la bonne chère constitue quasiment une religion.
Les Brasseries Georges, avenue Winston Churchill .
A quelques pas du Bois de La Cambre, les Brasseries Georges se posent en tant spécialistes des fruits de mer, avec comme pièces maîtresses les huîtres. Avec ses assortiments de produits frais. « Les Brasseries Georges : plus de 30 ans de tradition de brasserie française à Uccle.
7 jours sur 7, 365 jours par an, de 12:00 à 00:30, du dimanche au jeudi, et jusqu’à 01:00 du matin le vendredi et le samedi. Service voiturier. Toujours une surprise aux Brasseries Georges. En suggestion, à la carte et même …. parmi les convives. Sur la terrasse fumoir ombragée en été et chauffée en hiver ou dans le décor belle époque d’un intérieur inimitable.
"Bonne bière et bonne chère depuis 1836", cadre Art déco jalousement préservé et atmosphère ad hoc: cette brasserie est une véritable institution (www.brasseriesgeorges.be et www.lecaillerdesbrasseries.be).
www.lecaillerdesbrasseries.be. La boutique en ligne des Brasseries Georges. Une boutique simple et luxueuse, conviviale et toujours grande ouverte, ainsi que le sont les portes du restaurant. Pour un dîner en solitaire, un petit repas d’ambiance comme aux Brasseries, un plaisir en tête-à-tête … chacun y trouvera son bonheur… A se faire livrer ou à emporter à l’heure choisie ! L’exclusivité de la boutique sont les plateaux de fruits de mer – un choix de 7 plateaux –, les huîtres plates et creuses qui font la réputation de l’écailler, des coquillages et crustacés. Dans cette providentielle boutique, Les Brasseries Georges propose aussi une sélection de ses spécialités et plats ‘Brasserie’ les plus appréciés : andouillette, cassoulet, cuisse de canard confite, vol-au-vent. Bien sûr, les classiques des entrées – dont les célèbres harengs frais fumés ou l’inimitable saucisson chaud aux pistaches –, des plats de poissons et préparations de homard, des viandes et des volailles. Les amateurs de desserts craqueront pour la mythique Paris-Brest ou l’île flottante gourmande en diable. Mais le dessert peut aussi être la terrine de roquefort – qui fait aussi merveille sur un simple plateau télé ! Une sélection de quelques vins et champagnes accompagne le tout et ‘cerise’ sur le gâteau : au ‘rayon accessoires et cadeaux’, on trouve à petits prix cerceau pour plateau, fourchette à huître, griffe à homard, le pot de sel marin et … le verre XL de 25cl comme aux Brasseries !
La Porte des Indes, avenue Louise.
Depuis 1996, la Porte des Indes est le véritable «must» de la fine cuisine indienne à Bruxelles! Installé dans un superbe hôtel de maître de la prestigieuse avenue Louise cet établissement a été transformé en véritable palais orné d'oeuvres d'art d'une parfaite authenticité, à l'image de la cuisine dirigée par un grand chef indien, et équipée pour sublimer tous les parfums des saveurs exotiques les plus raffinées (www.laportedesindes.com).
Du lunch quotidien du midi aux menus princier et royal en passant par les différentes préparations à la carte, La Porte des Indes constitue sans aucun doute une étape obligatoire de la gastronomie internationale bruxelloise. Le menu proposé est influencé par l'héritage français de Pondichéry, ancienne colonie d'Indes du 19ème siècle. A partir d'un savant mélange de cuisine française, tamoul et créole, la table de La Porte des Indes donne naissance à une expérience culinaire unique : une saveur de cuisine traditionnelle du sous continent indien et de ses spécialités. Un plaisir pour les papilles!
C'est au cœur d'une salle de réception de style Edouardienne que ce restaurant réparti sur deux étages vous accueille. Les plantes et fleurs exotiques filtrent la lumière et donnent à cet intérieur une allure époustouflante. On peine à croire que de l'autre côté du mur la ville continue à déverser son flot de circulation et son cortège de pollution sonore. La Portes des Indes transporte littéralement ceux qui ont le plaisir de s'y attabler!
Opel Mokka.
Le marché des SUV est actuellement en pleine explosion. Opel est déjà présent sur le segment avec l’Antara , mais celui-ci commence à vieillir et fait partie des grands SUV. Afin de séduire une nouvelle clientèle, le constructeur arrive aujourd’hui sur celui des petits SUV (www.opel.be).
Avoir un look semble être la condition sine qua non pour réussir à s’imposer sur ce segment et le Nissan Juke en est un bel exemple. Le Mokka reprend cette recette avec un style affirmé et particulièrement musclé qui lui sied à merveille. Comme c’est déjà le cas avec le Meriva , Opel nous dévoile une nouvelle fois aujourd’hui un produit entre deux catégories. Ainsi, le Mokka, avec une longueur de 4,28 m, se positionne avec des des mensurations très courantes dans la catégorie.
Moins de fantaisie dans l’habitacle où l’on retrouve une planche de bord au style classique mais au dessin agréable à l’œil. La qualité des matériaux est satisfaisante avec du plastique moussé sur la partie supérieure mais le bas est encore dominé par les plastiques durs. Les rangements sont nombreux. L’habitabilité arrière est dans la bonne moyenne tandis que le coffre dispose d’un volume de chargement oscillant entre 356 et 1 372 litres, ce qui est largement plus que la concurrence.
Le Mokka est animé par 3 moteurs : 2 essence, les 1.6 115 cv (uniquement en deux roues motrices) et 1.4 Turbo 140 cv (en 4 roues motrices) et un Diesel, le 1.7 CDTi 130 cv disponible en boîte mécanique et automatique (2 et 4 roues motrices). Notre essai s’est donc concentré sur la version de volume, à savoir le 1.7 CDTi 130 cv en boîte mécanique et deux roues motrices qui devrait représenter la majorité des ventes.
Moteur bien connu chez Opel puisque le 1.7 CDTi est installé sur de nombreux modèles de la marque, celui-ci s’est très vite rappelé à notre bon souvenir, surtout par sa faible consommation moyenne. Toutefois, le principal atout de ce Mokka réside dans son comportement. Si la majorité des SUV nous ont habitués à des mouvements de caisse en raison de la garde au sol plus élevée qu’à l’accoutumée, le Mokka arrive à ne pas tomber dans ce travers. Il hérite d’une nouvelle plate-forme avec notamment un essieu arrière inédit, a su éviter cet écueil avec une très bonne réponse. Malgré les routes mouillées il n’est jamais été pris en défaut en termes de motricité. Toutefois cette version 2 roues motrices suffit largement à s’amuser. Les plus exigeants se tourneront pour leur part vers la déclinaison 4 roues motrices qui bénéficie d’un dispositif qui répartit le couple sur l’essieu suivant les besoins. Cela peut donc aller de 100 % sur le train avant à une répartition égale entre les deux (50/50) dans des conditions plus extrêmes. Transparent pour l’utilisateur, ce dispositif pèse 65 kg. Avec un poids compris suivant les versions entre 1 335 et 1 490 kg, quelques chevaux en rab ne seront pas les mal venus, que ce soit en essence ou en Diesel. Le 1.6 115 cv nous semble léger et on comprend mieux pourquoi Opel a préféré faire l’impasse sur la déclinaison 110 cv du 1.7 CDTi qui existe déjà sur d’autres modèles.
Pour ce nouveau modèle, Opel a choisi d’élaborer une gamme relativement simple composée de seulement 3 finitions.
Dès l’entrée de gamme, la dotation est complète avec l’aide au démarrage en cote, 6 airbags, les antibrouillards avant, le régulateur-limiteur de vitesse, la climatisation manuelle, les 4 vitres électriques, la sellerie tissu, les jantes 18 pouces, les rétroviseurs extérieurs électriques ainsi que la radio 4x20 w 6 HP. Le second niveau est équipé en supplément de l’aide au stationnement AV et AR, de la climatisation automatique bi-zone, de la sellerie mixte cuir/tissu et du pack visibilité comprenant le capteur de pluie et l’allumage automatique des phares.
Enfin, le haut de gamme Cosmo Pack comporte pour sa part la caméra de recul, la sellerie cuir, les sièges avant et le volant chauffants ainsi que le système de navigation avec écran 7 pouces. Parmi les options intéressantes et inédites sur le segment, on peut citer notamment le système de porte-vélos intégré FlexFix, les projecteurs adaptatifs directionnels bi-xénon ou l’Opel Eye qui regroupe la reconnaissance des panneaux de signalisation, l’avertisseur de changement de voie intempestif et l’avertisseur de collision.
Au bon plaisir.