OMS coupable de désinformation sur l’ivermectine
Par le Dr Pierre Kory: le déni de l’OMS face à l’ivermectine : « Big Science » et désinformation
Écoutez ce que dit l’un des plus grands médecins au monde
Cher(e) ami(e) de la Santé,
J’ai traduit pour vous un document exceptionnel.
C’est un peu long, mais la lecture en vaut vraiment la peine.
Il s’agit de la retranscription d’une conférence du Dr Pierre Kory, un des plus grands médecins au monde [1].
Il explique en détail le profond dévoiement de notre médecine face à la COVID.
Avec lui, on comprend pourquoi un remède extrêmement efficace comme l’ivermectine n’est toujours pas recommandé partout dans le monde… et n’est pas près de l’être, hélas.
Cela vient d’un médecin réanimateur qui a eu raison sur tout, depuis le début :
- Avant tout le monde, lui et son groupe de médecins (FLCCC) ont utilisé des corticostéroïdes (ou stéroïdes) en traitement des malades gravement atteints – ce qui est désormais la recommandation « officielle » ;
- Avant tout le monde, il a conseillé publiquement de traiter les patients par des anticoagulants… ce qui est ensuite devenu une pratique courante.
Et puis, dès le printemps dernier, lui et son groupe ont recommandé la vitamine D, la vitamine C, le zinc et la mélatonine en prévention et en traitement de la COVID-19.
Car le Dr Kory fait partie de ces médecins éclairés (et lumineux !) qui n’hésitent pas à utiliser des remèdes naturels comme la vitamine C en intraveineuse, pour les patients en septicémie [2].
Il est honnête intellectuellement, indépendant des labos, et c’est un excellent médecin de terrain !
Face à l’obsession des grands essais randomisés, il appelle à prendre en compte l’observation des médecins au chevet des patients.
Car c’est bien l’observation clinique qui l’a conduit à utiliser les stéroïdes et les anticoagulants avant tout le monde, et à sauver énormément de vies dans son hôpital.
Mais il n’y a pas que le scientisme aveugle qui menace notre médecine.
Avec l’affaire de l’ivermectine, le Dr Kory a compris qu’il se heurtait à des intérêts puissants et maléfiques.
Quand il a vu que l’Organisation mondiale de la Santé a officiellement déconseillé l’ivermectine, malgré des preuves accablantes de son efficacité, il a eu une révélation.
En réalité, la COVID-19 a été le terrain d’une gigantesque campagne de désinformation pour discréditer les traitements précoces comme l’ivermectine (et avant elle, l’hydroxychloroquine).
Si l’ivermectine était massivement utilisée, c’est un marché à plus de 100 milliards de dollars qui s’effondrerait immédiatement pour Big Pharma : les vaccins anti-COVID et les nouveaux antiviraux hors de prix.
Dans cette conférence que j’ai retranscrite pour vous, le Dr Kory vous révèle la réalité brutale, masquée par les médias dominants – ce n’est pas beau à voir, mais il est capital d’en être conscient :
- L’influence gigantesque sur la santé mondiale de la Fondation de Bill Gates, dont le seul objectif est la vaccination généralisée ;
- La compromission éhontée des grands journaux médicaux, qui refusent de publier les études favorables à l’ivermectine ;
- Et bien sûr, le dévoiement de l’Organisation mondiale de la Santé, qui date d’environ 20 ans (et qui était déjà évidente lors de la pseudo-épidémie de grippe H1N1) !
Lisez ce texte, et transférez-le autour de vous, c’est très important.
Je compte sur vous,
Xavier Bazin
Le déni de l’OMS face à l’ivermectine : « Big Science » et désinformation – par le Dr Pierre Kory
Avant de vous parler de l’Organisation mondiale de la Santé, j’aimerais vraiment que le grand public comprenne ce que des médecins expérimentés peuvent apporter au progrès de la science et aux soins prodigués aux patients souffrants de la COVID.
C’est pourquoi je vais passer en revue ce que nous avons fait en tant que groupe (la FLCCC, alliance des médecins réanimateurs en première ligne contre la COVID-19). Nous avons réalisé un certain nombre d’avancées, et avons élaboré un certain nombre de recommandations, que le reste du monde accepte très lentement.
Grâce à la médecine de TERRAIN, découverte rapide d’un remède qui sauve des vies en réanimation – contre les agences du monde entier !
Tout remonte au début du mois d’avril 2020. L’un de nos intervenants principaux, le docteur Umberto Meduri, a publié un article vraiment important en attirant l’attention sur la nécessité de recourir aux corticoïdes (anti-inflammatoires stéroïdiens) contre la COVID-19.
Nous avons dit à l’époque que nous avions besoin de stéroïdes : en Italie, à Seattle, à La Nouvelle-Orléans, à Détroit, les personnes qui se retrouvaient sous respirateur sans parvenir à s’en sortir voyaient leur état s’améliorer quand on utilisait des stéroïdes. Les autorités ne voulaient pas écouter ces médecins hospitaliers qui étaient en première ligne, mais nous l’avons fait et nous l’avons annoncé publiquement. Ces informations découlaient de notre analyse, mais aussi de notre expérience sur le terrain.
Que s’est-il passé par la suite ? J’ai témoigné devant le Sénat américain en avril 2020. J’étais remonté et je leur ai dit que des gens mouraient, qu’ils se retrouvaient sous respirateur. La COVID-19 est une maladie sur laquelle les stéroïdes fonctionnent ; alors utilisons des stéroïdes ! J’ai dit cela alors que personne n’y croyait, et surtout pas ces agences de santé publique que nous mettons sur un piédestal comme si elles étaient notre « lumière dans la nuit », ou, comme le Dr Paul Marik le dit si bien, « nos dieux de la science et du savoir ».
Ces « dieux de la science et du savoir » disaient tous d’éviter les corticostéroïdes, ils nous recommandaient de ne pas en utiliser. Les recommandations contre cette utilisation de la part du NIH (Autorité de santé américaine), de l’OMS étaient très fortes à l’époque. C’était notre première grande intervention : attirer l’attention du monde sur le fait que les corticostéroïdes étaient essentiels.
Ce n’est que quelques mois plus tard, lorsque l’essai Recovery est sorti, qu’il y a eu un communiqué de presse qui disait (ô surprise, devinez quoi ?) : la dexaméthasone (un corticostéroïde), médicament peu onéreux, réduit la mortalité [3].
Finalement, en septembre, l’OMS, avec un peu de retard, a actualisé ses lignes directrices. Désormais, tout le monde dit que les corticostéroïdes sont obligatoires. Mais cela, nous le savions déjà depuis des mois.
Et voici l’une des raisons pour lesquelles nous avons su cela très tôt : je collaborais alors avec un radiologue expérimenté, qui est l’un des plus grands radiologues du pays, si ce n’est du monde, spécialisé dans les radios du thorax.
Il avait déjà écrit en mars 2020 dans le bulletin de la radiologie que la forme la plus courante de lésions pulmonaires qu’il voyait à ce moment-là sur les tomographies était une pneumopathie organisée.
La pneumopathie organisée (ou PO) est une maladie plutôt rare que les gens ne comprennent pas. Il se trouve que je suis un spécialiste sur cette maladie, puisque je suis un spécialiste du poumon. J’ai écrit un article très rapidement en mai et j’ai essayé de le publier pour alerter le monde entier que la COVID-19 était une pandémie de pneumopathie organisée, maladie contre laquelle la thérapie standard repose sur les corticostéroïdes.
Mon article a été rejeté par toutes les revues médicales, on me disait qu’il ne présentait pas assez d’intérêt pour les lecteurs. J’ai demandé une évaluation par mes pairs, des médecins spécialistes du poumon, mais l’article a été rejeté, car le confrère qui l’a évalué a déclaré qu’il fallait faire un essai clinique randomisé sur les corticostéroïdes avant de pouvoir le publier.
Finalement, en septembre, j’ai été publié dans le British Medical Journal. Maintenant, chaque semaine, je reçois de collègues, de personnes que j’ai formées, qui sont tombées sur mon article par hasard. Ils me disent qu’ils réalisent, un an plus tard, que la COVID-19 se comporte bien comme une pneumopathie organisée.
Pourquoi est-ce important ? Parce que les PO, notamment dans leurs formes graves, exigent de fortes doses de stéroïdes. Elles exigent des durées de traitement prolongées aux stéroïdes. Et pourtant, dans le monde entier en ce moment, on place les patients sous 6 milligrammes de dexaméthasone (une dose très faible !) pendant 10 jours, puis on arrête le traitement – même si les patients sont encore sous respirateur.
Vous voyez le niveau ! C’est tout simplement horrible ce qui se passe : on recommande des traitements qui suivent aveuglément des protocoles d’essai, sans réfléchir cliniquement ou sans s'appuyer sur les compétences des médecins sur le terrain.
Même chose avec les anticoagulants : ce n’était pas de la « chance » mais de la vraie médecine !
Autre point important : les thromboses. Nous avons vu très tôt que les gens faisaient des caillots, dans des proportions jamais observées jusqu’ici. Nous avons remarqué tous ces paramètres et j’ai commencé à les étudier avec un hématologue. Nous avons conclu qu’il fallait donner des anticoagulants. Et pourtant, à ce moment-là, dans mon hôpital, je me heurtais à des résistances, à des blocages, quand nous demandions un protocole pour les anticoagulants et qu’on recommandait de mettre tous les patients sous anticoagulants. Et notre requête a été rejetée .
Aujourd’hui, à nouveau six mois plus tard, ce traitement est devenu un traitement standard dans le monde entier. Dans l’un des premiers articles que nous avions publié, nous avions montré que les patients étaient en hypercoagulation. L’article était paru dans le magazine du New York Times [4], qui s’intéressait non seulement à moi, mais aussi à la FLCCC et à nos actions en faveur des stéroïdes et des anticoagulants. Or, ce que nous faisions, c’est-à-dire recommander un traitement pour cette maladie sans « essai clinique randomisé », était considéré comme imprudent et dangereux.
À tel point que le rédacteur en chef du New England Journal of Medicine, lorsqu’on l’a interrogé sur ma prise de position en faveur des stéroïdes et des anticoagulants, a dit qu’on pouvait penser que j’avais juste « eu de la chance ».
Mais quand on passe sa vie comme moi dans les unités de soins intensifs et qu’on y côtoie la mort depuis des décennies, on finit forcément par apprendre des choses. Je trouve cela terrifiant que personne ne fasse vraiment confiance à l’expérience des médecins cliniciens, ni ne cherche à la connaître.
Encore une fois, notre groupe de médecins réanimateurs, la FLCCC, a apporté un certain nombre de contributions. Notre protocole, mis au point l’an dernier en mai, contenait déjà tous ces éléments. Depuis, il ne fait qu’être validé : vitamine C, vitamine D, thiamine (vitamine B1), et mélatonine…. Dès lors que vous utilisez tous ces produits, nous remarquons des réductions reproductibles et concordantes de la mortalité [5].
Enfin, dernière chose que nous observons depuis le début : personne dans ces agences ne semble comprendre qu’il s’agit d’une maladie qui se déroule par phases. Nous avons essayé d’informer sur ce point, de faire savoir au monde qu’il y avait plusieurs phases dans cette maladie. Nous avons tout récemment publié un article avec un groupe de spécialistes, notamment des spécialistes en maladies infectieuses. Le Dr Paul Marik, le Dr Joseph Varon et moi-même avons publié un article pour tenter à nouveau d’attirer l’attention sur ces phases.
Or, si vous regardez bien, dans certains essais et études qui sont diffusés par ces agences de santé publique, ils conseillent le remdesivir et des antiviraux pour des patients déjà hospitalisés ! Non, mais, sont-ils sérieux ? On sait que les antiviraux doivent être donnés au début de l’infection. Or, ils attendent des jours et des semaines pour les donner à des patients hospitalisés, à 3 000 dollars la dose.
C’est complètement démentiel, ridicule. Idem pour les anticorps monoclonaux utilisés sur les patients hospitalisés. C’est aberrant. C’est nier toute compréhension des antiviraux, et le fait que la phase virale de réplication est une phase précoce ; la phase pulmonaire vient plus tard.
Voilà ce que j'en conclus : on ne rencontre pas de médecins de terrain dans ces agences sanitaires, ni de spécialistes qui ont vraiment acquis de l’expérience et des connaissances en étant au chevet des patients. J’espère vraiment qu’à l’avenir, les agences sanitaires appelleront plus de spécialistes cliniciens à rejoindre les comités qui émettent les recommandations.
Ivermectine : des preuves manifestes… mais presque personne n’écoute !
Passons à l’ivermectine. C’est le Professeur Marik qui est vraiment le leader de notre groupe ; c’est lui qui nous a réunis. Il passe constamment en revue les publications scientifiques, et il a attiré notre attention sur l’ivermectine à la mi-octobre 2020, au moment où les premiers essais cliniques et les articles commençaient à sortir en quantité.
D’après les résultats observés, l’ivermectine se comportait de façon très différente de tous les autres traitements. Le tocilizumab, l’hydroxychloroquine, le remdesivir, les anticorps monoclonaux et le plasma sanguin de convalescents donnaient tous des résultats peu cohérents. Il était très difficile de faire le tri, alors que l’ivermectine donnait des résultats positifs et constants.
J’ai été à nouveau invité à témoigner devant le Sénat américain, comme je l’avais déjà fait pour les stéroïdes en mai. J’ai donc témoigné et plaidé pour l’ivermectine en décembre 2020. Nous étions impressionnés car il y avait tellement d’éléments concluants à cette époque, montrant que l’ivermectine était essentielle pour sauver des vies et aider les hôpitaux. J’ai lancé des appels à l’action, demandant aux agences de formuler une recommandation pour l'ivermectine.
Et depuis, nous ne sommes plus seuls. Il existe des groupes de spécialistes dans le monde entier. Un groupe de travail japonais, un autre britannique ; l’Espagne et l’Italie passent tout en revue et aboutissent aux mêmes conclusions que nous : l’ivermectine devrait être déployée à l’échelle mondiale pour la prévention et le traitement.
L’efficacité est prouvée. On a déjà plus d’une vingtaine d’essais randomisés, montrant tous de manière répétitive, que les bénéfices sont significatifs sur le taux de mortalité et sur la prévention de la transmission. Mais, personne n’écoute. La question n’est plus de fournir davantage de données. L’obstacle, quel qu’il soit, est ailleurs, clairement, et c’est ce dont je veux parler ce soir.
Notre article scientifique de synthèse sur l’efficacité de l'ivermectine a été publié. Il est en ligne sur le site de l’American Journal of Therapeutics. Je précise qu’il a fait l’objet d’une évaluation collégiale, par deux scientifiques de la FDA et un scientifique senior de la DTRA (Defense Threat Reduction Agency). Cela fait donc trois évaluations rigoureuses menées par des pairs expérimentés et aux carrières très bien établies au sein de l’administration américaine. Ils ont appuyé notre analyse et notre conclusion : nous pensons que l’ivermectine devrait être employée dans le monde entier.
Regardez le Mexique. Une vraie « success story ». Et si vous observez à l’échelle mondiale, beaucoup de pays ont adopté l’ivermectine dans leur traitement.
C’est très bien, mais nous avons à faire face à toutes ces grandes agences publiques internationales et occidentales, et à tous leurs rejets. Elles refusent l’ivermectine malgré les preuves, font même des recommandations contre son utilisation, alors qu’il s’agit de l’un des médicaments les plus anciens, les moins onéreux et les plus accessibles et sûrs que connaisse l’humanité tout entière. Ces agences ne veulent pas autoriser son usage sans un grand essai clinique randomisé préalable.
Je vais donc vous parler des obstacles que nous avons découverts. Nous avons tenté de discuter sur des données scientifiques avec ces grandes agences, en leur envoyant nos analyses, nos interprétations et nos recueils de preuves.
Mais je vous le dis : la discussion ne se situe plus au niveau des études. Nous avons découvert quelque chose de bien plus sinistre, qui œuvre contre l’ivermectine. C’est en fait une campagne de désinformation, orchestrée par des intérêts commerciaux et politiques, par le biais de l’OMS. Voilà ce dont je vais vous parler.
Big Science : le scientisme obtus qui sert les profits de Big Pharma !
Au départ, nous avons eu l’impression que la science était devenue folle. C’est une évolution que nous observons depuis une dizaine ou quinzaine d’années : cette obsession des grands essais cliniques randomisés. C’est comme si les scientifiques étaient devenus fainéants. Ils ne veulent plus avoir à réfléchir sur de petits essais, ou des compilations d’études.
Ils ne veulent plus avoir à trier les résultats, à analyser les points forts et les points faibles pour parvenir à interpréter ces essais à petite échelle. Ils préfèrent attendre que quelqu’un fasse un bon gros essai clinique sur des milliers de patients avec un grand laboratoire pharmaceutique. Et si vous ne faites pas ça, plus rien n’est prouvé officiellement.
Voilà comment fonctionne cette obsession des grands essais randomisés : seuls les grands RCT, ces essais cliniques randomisés, ont le « droit » de prouver l’efficacité d’un médicament. C’est un non-sens total, mais c’est désormais ce qui fait avancer tout le système : vous avez besoin d’un grand essai clinique randomisé.
Le problème avec ces grands essais, et avec la façon dont ils régulent le système, est que seuls les grands laboratoires pharmaceutiques, ou les grandes agences de santé publique, ou les CHU sont en mesure de les réaliser. Et ces derniers sont généralement financés par de gros labos ou par de grandes agences de santé qui sont elles-mêmes influencées par de gros labos. C’est un système qui se mord la queue.
On a besoin d’un grand essai clinique, qui nécessite de recourir à un gros labo, ou à une agence largement influencée par un gros labo... C’est la condition sine qua non pour être publié. Pour paraître dans les grandes publications, il vous faut ce grand essai mené par un gros labo. Si et seulement si vous avez ces trois éléments, alors les grandes agences de santé peuvent peut-être vous écouter.
Vous voyez tous les obstacles qui ont été mis en place avant qu’une grande agence de santé recommande un remède ? On aboutit à un système dans lequel seuls les médicaments issus de grands groupes pharmaceutiques peuvent être considérés comme ayant suffisamment prouvé leur efficacité.
Une autre horreur est apparue avec la COVID : seules les « preuves suffisantes » ou les remèdes qui ont une « efficacité prouvée » échappent à la censure et aux grands médias. Dans les grands médias, le commandement est clair : de l’ivermectine tu ne parleras point, sur l’ivermectine tu n’écriras point d’article crédible. Nous savons que le journalisme a été décimé au fil des ans. Les grands médias se sont totalement couchés devant les grandes agences de santé publique. Si des informations ne viennent pas du sommet, c’est comme si elles n’existent pas.
Nous, médecins de terrain, nous ne pouvons plus faire de la science qui soit considérée comme crédible par les médias et les réseaux sociaux. Quoi que nous recommandions, d’après notre expérience sur le terrain, nous sommes tout de suite discrédités, controversés en tant que promoteurs de thérapies qui n’ont pas fait leurs preuves. Nos groupes Facebook se retrouvent fermés, nos comptes Twitter sont verrouillés, nos vidéos YouTube sont supprimées, ou démonétisées.
C’est quasiment du totalitarisme ce qui se passe, alors que nous sommes juste des scientifiques bienveillants qui essayons de faire ce qu’il faut pour leurs patients, d’après l’expérience que nous avons acquise et les études intelligentes que nous avons menées. J’espère vraiment que nous parviendrons à changer le système à l’avenir.
En gros, nous sommes bloqués dans un système qui est complètement rattaché à des intérêts financiers. Les médicaments sans brevet, repositionnés, ne peuvent pas lutter, ils ne peuvent rien faire contre cette main de fer. Nous pensons que tout le problème vient de là. Peu importe que nous présentions 10 essais cliniques, 15 ou 24 en faveur de l’ivermectine, on nous reprochera toujours le manque de preuves, les lacunes, des essais trop petits, toutes sortes de non-sens.
Vous voulez voir ce système en action ? Vous n’avez qu’à observer les États-Unis. Il y a un programme au sein du NIH (agence de santé américaine) pour travailler sur la réponse thérapeutique contre la COVID-19 : 15 milliards de dollars l’an passé, dans le cadre d’un partenariat public-privé. Regardez les industriels qui y participent, et les organisations à but non lucratif comme la fondation Bill & Melinda Gates.
J’aimerais bien que la santé publique soit l’un des principaux objectifs de cette Fondation. Je ne veux pas leur jeter la pierre, mais ils ont également des liens très forts avec les fabricants de vaccins, et ils ont une politique mondiale écrasante en faveur de la vaccination. On pourrait penser qu’il s’agit d’esprits altruistes, indépendants, soucieux de la santé publique, mais non malheureusement, ce sont des gens dont l’objectif prioritaire est de favoriser les politiques de vaccination.
Il faut bien observer les conséquences de ce partenariat public-privé. De quels essais cliniques sur la COVID s’est composée la première salve ? Des essais des grands laboratoires pharmaceutiques. Deuxième salve : idem gros labo, gros labo, gros labo, les médicaments testés sont encore en développement et tous déjà brevetés. Pour ces gros labos pharmaceutiques, trouver un médicament brevetable efficace, c’est gagner le gros lot. C’est un peu comme s’ils jouaient au loto pour savoir qui va sortir en tête avec un médicament approuvé.
Après un an d’épidémie, ils ont fini par annoncer qu’ils allaient étudier le repositionnement de certains médicaments existants. J’aimerais pouvoir dire que c’est grâce à tout le bruit que moi-même et la FLCCC avons fait en ce sens. Bien sûr, nous ne sommes pas les seuls à l’avoir dit. J’ai eu l’occasion de discuter avec des employés vraiment bien intentionnés des services de santé publique, qui ont travaillé ces institutions au corps, de l’intérieur, en tentant de les amener à repenser au repositionnement thérapeutique de médicaments. On a finalement été entendus.
Revenons donc à la « Big Science » contre laquelle nous pensions lutter. Nous avons réfuté les objections, nous avons posté des articles et diffusé nos idées, écrit à tous les membres des comités de la planète, à l’OMS et au NIH. Mais personne ne nous a répondu. Ils nous ignorent tout simplement. Nous pensons maintenant qu’il se trame autre chose.
Prenez les médias. J’ai donné une interview à une journaliste de l’agence de presse AP nommée Béatrice Dupuis. J’ai partagé avec elle toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine, les essais cliniques et toutes les données disponibles. Et voici ce qu’elle a écrit : grosso modo, que j’étais un agent de désinformation, qu’il n’y a aucune preuve qui montre que l’ivermectine fonctionne. Et le seul argument qu’elle donne est que l’agence de santé américaine (NIH) ne recommande pas ce traitement.
Vous voyez comment cela fonctionne. Si l’agence de santé ne le recommande pas, les médias et les réseaux sociaux suivent.
Je veux parler bien évidemment de nos amis de YouTube, qui n’autorisent plus les contenus recommandant l’ivermectine. Même chose pour Twitter, si vous répétez sur Twitter que l’ivermectine fonctionne, votre compte sera fermé définitivement. Même chose sur Facebook. Ils ne plaisantent pas.
Le véritable obstacle, ce n’est pas tant le système de la « Big Science » (c'est-à-dire l’obsession pour les grands essais randomisés), c’est la désinformation.
Une gigantesque entreprise de DÉSINFORMATION : comment l’OMS a été corrompue en profondeur
La désinformation est une tactique des grandes entreprises pour retarder l’action des gouvernements sur des sujets qui pourraient pénaliser leur chiffre d’affaires et leurs bénéfices.
Elles ont été perfectionnées tout d’abord par l’industrie du tabac. Cela consiste par exemple à conduire des études scientifiques frauduleuses, à harceler les scientifiques, ou encore à fabriquer de l’incertitude scientifique là où il n’y en a pas ou très peu. Nous avons des preuves très fortes de l’utilisation de ces tactiques contre l’ivermectine.
Il y a de nombreux exemples similaires dans l’histoire, beaucoup impliquant des laboratoires pharmaceutiques. Lorsque le médicament a des effets secondaires, ils les dissimulent. Lorsqu’un médicament ne soigne pas vraiment, ils tentent de prétendre qu’il fait effet. Lorsqu’un médicament tue des centaines de milliers de personnes par surdosage, les laboratoires s’associent au monde universitaire, et ils essaient de masquer les risques de leurs produits. C’est ce qui se passe actuellement.
L’OMS est très vulnérable à ces tactiques.
Voilà ce que j’ai appris sur l’OMS : ses débuts ont été fantastiques en 1948. Les avancées réalisées par l’OMS en matière de santé publique étaient fantastiques. L’OMS soutenait des programmes, elle a éradiqué des maladies parasitaires sur plusieurs continents. Certains des plus grands progrès en matière de santé publique ont un lien avec l’OMS. C’est pour cela, à mon avis, que beaucoup de gens dans le monde regardent encore l’OMS avec autant d’exaltation. Mais, je peux vous dire le dire : ça, c’était avant, et maintenant c’est autre chose. Beaucoup de choses ont changé en 70 ans.
Notamment ceci : à son lancement, le budget de l’OMS était entièrement financé par les pays membres contributeurs, au sein desquels les fonctionnaires des services de santé publique pouvaient décider de l’affectation des fonds. Ils choisissaient les projets de santé publique, qui, à leurs yeux, perpétuaient la mission initiale de l’OMS, à savoir : améliorer la santé publique des citoyens du monde. Cela a changé, pour ce film d’horreur qui se tourne actuellement.
Margaret Cho, ancienne directrice générale de l’OMS, l’a déclaré : la majorité du budget est maintenant conditionnée - liée à des ficelles tirées par de gros labos, des ONG et même par certains pays. Ils versent les fonds, mais vous disent à quoi ceux-ci sont destinés et les résultats qu’ils en attendent.
« Pour 70 % de notre budget (dons privés), je dois faire le tour du monde pour demander de l’argent, et quand on nous donne de l’argent, c’est pour satisfaire les demandes de ceux qui donnent, et qui peuvent ne pas être des priorités de l’OMS », a-t-elle déclaré.
Aujourd’hui, cette organisation est donc, à mon avis, largement compromise, et assujettie à des influences externes. Au fil du temps, les gros labos ont assis leur influence. Ils ont des intérêts spécifiques et déclarés. Cela se répercute sur les activités de l’OMS depuis 10 ou 20 ans. L’OMS a tout faux sur beaucoup de sujets. C’est une évidence maintenant : l’OMS n’est plus ce qu’elle était.
Et je vous le dis, elle est largement sous l’influence d’une structure unique : la Fondation Bill & Melinda Gates (Fondation B&MG). Les Gates y ont investi des sommes énormes, encore plus depuis la COVID ; ils sont littéralement à l’avant-garde du soutien de la politique de vaccination mondiale dans laquelle le monde occidental s’est embarqué.
La Fondation Bill et Melinda Gates est le deuxième contributeur le plus important de l’OMS. Elle lui a donné 4 milliards de dollars en plus de 20 ans.
Une précision est de mise : l’OMS n’emploie pas ou peu de scientifiques, elle emploie surtout des consultants, qui peuvent être en conflit d’intérêts. L’OMS invite des scientifiques, mais on retrouve beaucoup de groupes pharmaceutiques, de représentants des gros labos autour de la table. L’OMS n’est tout simplement plus l’organisation scientifique indépendante qu’elle était auparavant.
Cela s’explique par un changement quant à l’origine de ses financements : on peut voir comment le secteur pharmaceutique a influencé son comportement. Je ne parlerai même pas des 50 ans de coopération et de cooptation avec l’industrie du tabac, quand l’OMS a laissé ces industriels répandre leurs cigarettes sur toute la planète, pendant des décennies, alors que nous savions que cela tuait des gens.
Depuis les dix dernières années, on peut dire que l’OMS ne comprend plus rien à rien. La grippe H1N1 est un scandale colossal. Parce que l’OMS a modifié les critères de déclaration de pandémie, très clairement sous l’influence de ceux qui souhaitaient vendre des vaccins contre cette grippe.
Ils ont retiré certains critères pour pouvoir dire qu’il s’agissait d’une pandémie alors que la grippe H1N1 n’était pas si terrible que ça. Elle n’a pas tué tant de personnes que ça, ce n’était pas si grave.
Mais ils ont autorisé la vente, l’achat et l’injection de millions de doses de vaccins dans le but de faire disparaître ce qui n’était pas vraiment une pandémie, selon l’ancienne définition. C’est un énorme scandale.
Idem pour Fukushima. Ils ont rejeté les dommages causés par les radiations de Fukushima. Ils ont été lents à apporter leurs conseils aux personnes qui y étaient exposées.
Ébola a aussi apporté son lot de controverses ; leur réponse contre Ébola a été déplorable. Puis avec la COVID, on a eu cette réponse instinctive, immédiate et dominante : vaccin, vaccin, vaccin. Aucun, ou pratiquement aucun intérêt pour le repositionnement thérapeutique d’anciens médicaments.
L’analyse de l’OMS sur l’ivermectine est une HONTE – et la preuve de sa corruption
Regardez simplement ce que l’OMS a fait pour l’ivermectine, c’est littéralement démentiel. Notre groupe d’experts et d’autres ont amassé un nombre incalculable de preuves en faveur de l’efficacité de l’ivermectine, mais lorsque le comité de l’OMS a été chargé d’étudier ces preuves pour en tirer une recommandation, voilà ce qu’ils ont fait.
Tout d’abord, contrairement aux autres groupes émettant des recommandations, ils n’avaient pas de protocole sur ce qu’ils ont décidé d’inclure ou d’exclure comme étude. Ils pouvaient donc jeter aux orties ce qu’ils n’appréciaient pas et garder ce qu’ils aimaient. Ce qu’ils ont fait n’est pas très futé. Pas très futé du tout. Quand je lis ça, ça me fend le cœur. À la lecture des décisions prises, on voit qu’il s’agit clairement d’une pratique corrompue. Ils ont même exclu des essais cliniques de leur propre protocole de recherche, celui d’Unitaid, une équipe avec laquelle ils travaillaient. Ils avaient donc à disposition des essais cliniques qu’ils avaient demandés eux-mêmes, mais ils les ont rejetés au moment d’émettre une recommandation.
Ils ont aussi rejeté des essais cliniques contrôlés quasi-randomisés dont les résultats montraient une mortalité significativement plus faible, ils ont rejeté des essais cliniques randomisés de comparaison à d’autres médicaments ou d’administration associée à d’autres médicaments. Ils ont rejeté tout cela alors que ces études montraient une mortalité plus faible. On a donc des résultats qui sauvent des vies dans de multiples essais, mais ils les rejettent sans les prendre en considération.
Ils ont rejeté sept autres RCT (essai clinique randomisé) sur l’ivermectine au moment de faire leurs recommandations. Ils ont exclu tout ce qui était du domaine de la prévention. Ce que j’évoque est très perturbant. Ils sont en train littéralement d’ignorer les preuves de l’efficacité de l’ivermectine dans la prévention de la COVID-19.
Ils ont par la suite rejeté 13 études observationnelles contrôlées sur plus de 5 500 patients qui révélaient une réduction massive de la mortalité, et ils n’ont même pas pris en considération toutes les études épidémiologiques qui leur ont été présentées, et qui montraient que dans les régions où l’ivermectine était utilisée, on observait une baisse marquée du taux de mortalité.
Quand on voit ça... c’est démentiel. C’est ce qu’on appelle de la désinformation. Cela revient à déformer la science, à la manipuler à ses propres fins.
La « petite » ivermectine fait face à des intérêts politico-financiers MONSTRUEUX
Or, quelles sont ces fins ? Préserver la politique de vaccination. Si l’ivermectine devait être recommandée, cela leur enlèverait l’autorisation en urgence de recours aux vaccins.
Conclusion de l’OMS : les études restantes sont de faible qualité, d’une certitude très faible, juste quelques essais cliniques, donc rien de sûr... Certes, si vous prenez une énorme pile de preuves et que vous la morcelez en petites miettes, vous arriverez probablement à ce résultat : certitude très faible. Tout ça est donc un gag ! Il faut comprendre le contexte : ils sont totalement corrompus.
Quant à cette influence philanthropique de Bill et Melinda Gates... Il faut comprendre plusieurs choses..
- Point numéro 1 : la Fondation B&M Gates finance actuellement trois bourses au sein de Mcmaster, pour un total de 20 millions de dollars ; or la faculté Mcmaster est hyper présente dans le comité émettant les recommandations sur l’ivermectine et le comité émettant celles sur les traitements est à la solde de Mcmaster…
- Point numéro 2 : il est clair que Bill & Melinda Gates, pour de bonnes ou mauvaises raisons, sont totalement investis dans la promotion de la vaccination pour mettre un terme à cette pandémie. L’OMS dépend largement des fonds de la Fondation B&M Gates. Vous pouvez donc imaginer la situation, et les raisons pour lesquelles cette fondation ne veut pas voir l’ivermectine recommandée. Pensez-vous vraiment que l’ivermectine pourrait être recommandée, alors que la Fondation a injecté 4 milliards de dollars dans l’OMS, et que cette structure tout entière vit de son soutien ?
Autre chose : le programme accéléré ACT qui supervise le travail de l’équipe de recherche sur l’ivermectine est financé et géré, essentiellement par des employés de la Fondation B&M Gates. Regardez la direction médicale (Janet Diaz) du groupe qui met au point les recommandations... Qui apparaît en premier sur la page LinkedIn ? Il s’agit peut-être juste d’une simple coïncidence, mais il semble que Janet Diaz, Bill Gates et Melinda Gates soient de bons amis.
Si vous regardez l’historique des campagnes de désinformation (pour protéger des produits pharmaceutiques ou d’autres substances), il est très difficile de trouver un exemple comparable d’une molécule (ivermectine) qui mobilise contre elle autant d’intérêts, à une telle échelle.
Premièrement : vous avez de nombreuses sociétés étrangères, des fabricants de vaccins, des nations souveraines comme la Russie, l’Inde et la Chine, qui créent, vendent et exportent des vaccins dans le monde entier. Ils s’en servent pour étendre leur influence géopolitique, étendre leurs relations avec différentes zones du monde. Voilà une des formes de l’opposition à l’ivermectine. Donc, derrière de nombreux gros labos pro-vaccin se cachent un certain nombre de pays.
Autre point : la taille du marché des vaccins est quasiment incalculable. Pensez aux injections de rappel dont ils essaient de nous parler maintenant. Vous avez besoin d’un rappel ? Tout le monde a bien eu ses deux premières injections ? Maintenant, il y a aussi les variants. Il faut donc d’autres rappels. Le marché est infini pour eux. Donc si vous essayez de mettre en place d’autres options, vous pouvez facilement imaginer qu'ils résisteront.
Encore un autre point : la prévention. Si vous êtes en faveur de l’ivermectine en tant qu’alternative au vaccin, quel serait l’impact sur le taux déjà incroyablement élevé de personnes opposées aux vaccins ? Cela affaiblirait vraiment cet appétit pour les vaccins, surtout depuis que leur sécurité est de plus en plus remise en question.
Regardons un peu ces tactiques de désinformation, tous les non-sens de la FDA le mois dernier, avec ces déclarations vraiment incompréhensibles : attention ne prenez pas de l’ivermectine équine (donnée aux chevaux) ; et tant que vous y êtes, ne prenez pas du tout d’ivermectine. L’idée que l’ivermectine pourrait être dangereuse, après 40 ans d’utilisation et 4 milliards de doses données, est risible. Enfin, on pourrait en rire si ce n’était pas si tragique.
Comme je l’ai déjà mentionné, toutes ces agences rejettent des études probantes. Il faut savoir que l’Organisation mondiale de la Santé n’a même pas mis au vote sa recommandation sur l’ivermectine, parce que le niveau de certitude était trop bas selon eux. Pas besoin de voter à leurs yeux, puisque les données sont si faibles.
Et n’oubliez pas l’EMA, l’Agence européenne des médicaments qui a osé publié un autre non-sens, selon lequel il serait prouvé qu’il est impossible d’obtenir des concentrations efficaces d’ivermectine dans le sang. À la lecture de tout ça, vous savez que c’est écrit dans un seul but : donner la pire image qui soit de l’ivermectine. Ils n’ont pas vraiment évalué l’ivermectine.
Au-delà de l’opposition au vaccin, il existe de nombreuses molécules concurrentes, des antiviraux per os, injectables, des anticorps monoclonaux, voire notre « ami » le remdesivir.
Que se passerait-il si tout le monde prenait de l’ivermectine rapidement, sans être hospitalisé ? Combien de personnes, contraintes d’être hospitalisées, seraient susceptibles de se voir injecter du remdesivir à 3 000 € la dose ? Très peu.
Donc, on ne peut pas avoir plus d’opposition que ça à l’ivermectine. C’est vraiment David contre Goliath, et croyez-moi, on a un Goliath puissance 10. Ce qu’ils font est totalement démentiel, et j’espère qu’on s’en souviendra, notamment ce qu’a fait Merck, la principale entreprise qui produit l’ivermectine en Occident.
Sur son site, sans citer le nom d’aucun scientifique, sans aucune donnée pour prouver son propos, Merck a écrit que l’ivermectine ne marchait pas contre la COVID-19, qu’il n’existait aucune preuve de l’efficacité du médicament, et qu’on ne savait même pas si c’était dangereux ou non.
Et savez-vous le pire ? J’ai appris récemment par mon collègue le Dr Been, que Merck prépare un médicament antiviral breveté contre la COVID-19, qui utilise – tenez-vous bien –, l’un des mécanismes d’action clé de l’ivermectine ! Ce qui revient à utiliser le mécanisme d’un médicament ancien et peu coûteux et le ré-utiliser pour vendre une molécule très chère brevetée !
Quand est-ce qu’on va enfin manifester contre tout ça ? On ne peut pas accepter ça. Ce sont nos vies, et notre santé qui sont en jeu.
Et puis, il y a cet article de la New Republic, qui fait vraiment peur. Il étudie les influences de Bill et de Melinda Gates sur toutes ces initiatives contre la COVID. On dirait que la politique mondiale est dirigée par une seule et même fondation. Qu’elle est influencée par un intérêt bien particulier, peut-être même par un seul homme. Or, ce n’est pas comme cela que la santé publique mondiale devrait être gérée.
Je vous recommande de regarder le documentaire « Trust WHO » (« Faites confiance à l’OMS »), il ouvre réellement les yeux, vous entendrez un discours différent. Cette vidéo retrace l’évolution de l’OMS, de ce qu’elle était jusqu’à ce qu’elle est devenue aujourd’hui. Ce n’est plus la même OMS. C’est vraiment dommage de voir ce qu’est devenue cette organisation mondiale.
Ouvrir les yeux sur la désinformation MASSIVE de l’OMS, des agences de santé, des revues médicales et des médias
À tel point qu’il s’est formé une autre organisation, appelée l’OMS indépendante, qui regorge de scientifiques mortifiés de leur expérience professionnelle au sein de l’OMS. Ils se sentaient investis du devoir de fonder une nouvelle organisation parce qu’ils constataient que l’ancienne était pourrie et dépassée par des conflits d’intérêts financiers.
Vous voulez en savoir plus sur les tactiques de désinformation ? Je vais en finir avec deux autres petits points. Notre article de synthèse sur l’ivermectine, publié tout récemment par l’American Journal Therapeutics, a fait l’objet il y a quelques mois d’une évaluation par des pairs, et il était censé être publié dans la revue spécialisée Frontiers in Pharmacology. Or, juste avant sa publication, nous avons remarqué qu’il y avait des retards, qu’on ne nous communiquait rien.
Nous avons commencé à interroger la revue sur ce qui se passait et l’éditeur en chef, dénommé Frederick Fenter, a subi des influences extérieures anonymes et a retiré notre article, allant jusqu’à refuser de le publier. Quelqu’un trouve cela normal ? En 150 années de présence universitaire, collectivement, ni moi ni aucun de mes collègues n’avions jamais entendu parler d’un article évalué par des pairs qui soit retiré de la publication sans accusation de plagiat, de données truquées ou inventées. Ils n’étaient tout simplement pas d’accord avec nos conclusions et ont retiré l’article.
Autre preuve de la manipulation de la science. Un de nos collègues, le Dr Ahmed El Gazzar, a réalisé le plus grand essai clinique prospectif randomisé à l’Université de Benha, l’une des institutions les plus reconnues en Égypte. Sur 400 patients testés, l'ivermectine a permis une réduction énorme du nombre d’hospitalisations (1 % contre 22 %) et du taux de mortalité (2 % contre 20 %). Et l’essai a aussi conclu à une réduction majeure du nombre d'infections quand l’ivermectine est utilisée en prophylaxie.
Eh bien ce collègue m’a dit qu’il avait soumis cette étude à de grands journaux comme The Lancet, Nature, Chest, Respirology, and The Journal of antimicrobial chemotherapy, qui ont tous refusé de le publier. Ils l’ont rejeté sans même le soumettre à une revue par les pairs, alors qu’il s’agit d’un essai clinique prospectif randomisé, en pleine pandémie ! Et ce genre de refus permet ensuite aux agences de mauvaise foi de dire qu’il n’y a pas assez d’études publiées sur l’ivermectine.
Et dans le même temps, le Journal of the American Medical Association s’est empressé de publier un essai clinique mal conçu et terriblement biaisé, qui a faussement conclu à l’inefficacité de l’ivermectine. Voilà ce qui est accepté pour publication, et ce qui ne l’est pas.
Au total, les grands laboratoires pharmaceutiques sont seuls à décider de ce qu’ils considèrent comme prouvé. Nous les accusons de désinformation. Ils nous accusent de mésinformation. Et le citoyen lambda ne sait plus qui croire. C’est dommage. J’ai simplement essayé de montrer les arguments et les données les plus crédibles qui soient, et j’espère que ceux qui sont assez intelligents utiliseront leur discernement pour décider par eux-mêmes.
J’aimerais lancer un appel à tous les médecins du monde. Arrêtez d’agir ainsi. Arrêtez de vous tourner vers les grandes agences de santé pour savoir quoi faire. Les recommandations sont des recommandations. Elles ne sont pas obligatoires. Mesdames et messieurs les médecins, s’il vous plaît, utilisez votre capacité de discernement, votre logique. Vos patients vous demandent de les aider, pas d’écouter les agences de santé. Je ne pense pas que les agences de santé fournissent des conseils éclairés.