Les dangers réels du gel hydroalcoolique

écrit par admin
le 06/12/2021
Les dangers réels du gel hydroalcoolique

A l’heure où les chiffres de la pandémie sont maîtrisés, voire stables, c’est le moment de nous demander si nous voulons vraiment sacrifier définitivement notre mode de vie pour les sacrosaints gestes barrières.

Car je croise chaque jour des personnes qui sont très attachées à les faire appliquer aux autres alors qu’elles sont elles-mêmes « vaccinées » et « revaccinées ».

Je me garderai bien de rentrer dans leur jeu, malgré le droit que ces personnes croient avoir de commander à mon existence.

Au fond, ce serait leur donner l’importance qu’ils veulent m’extorquer.

 

Les « petits chefs aux ordres du Covid » abusent de deux situations :

1/ Nous craignons de faire un scandale. Cette inhibition saute petit à petit car nous avons appris à vivre avec notre « mauvaise réputation », et nous n’en pensons pas moins des autres.

2/ Nous nous demandons toujours si ces gestes barrière n’ont pas au moins une petite utilité sanitaire, et ils se servent de ce doute pour prendre l’ascendant moral sur nous.

Alors soyons clairs : scientifiquement, il n’y a aucune raison de faire appliquer ces gestes barrières !

Il y a quelques mois, j’avais écrit un article sur 10 faits ahurissants liés au masque, car les études ont largement montré qu’il était beaucoup plus nuisible qu’autre chose.

Mais permettez-moi, aujourd’hui, de faire un petit bilan des autres gestes barrières, et ce n’est pas bien reluisant…

 

Le gel hydroalcoolique : si efficace que ça ?

Je suis un fervent partisan du lavage de mains. Je pense que c’est un des gestes d’hygiène les plus importants, et il ne faut jamais hésiter à le faire.

C’est, je crois, le seul progrès qu’aura fait faire la pandémie : on s’est remis à respecter l’hygiène la plus élémentaire.

Or c’était quelque chose qui était de plus en plus négligé, que ce soit chez les personnes elles-mêmes, ou dans les restaurants.

Se laver les mains est remarquablement efficace contre les bactéries, mais est-ce vraiment efficace contre la grippe et les virus respiratoires, dits rhinovirus ?

Une étude de l’université de Virginie, publiée en 2012, a prouvé que ce n’était manifestement pas le cas. Le gel hydroalcoolique ne protège pas contre ce genre de virus1 !

Alors, protège-t-il vraiment contre le coronavirus, qui est aussi un rhinovirus, et qui ressemble beaucoup à la grippe ?

Il est permis d’en douter…

Comme je l’ai dit, je ne désire pas critiquer le geste de se laver les mains, car il est pour moi très important.

En revanche, je ne peux pas me permettre de passer sous silence les très nombreux problèmes que pose l’usage régulier du gel hydroalcoolique.

Car c’est un produit qui n’est sain que pour un usage exceptionnel, comme en camping par exemple… et surtout pas pour un usage de long terme.

 

Les dangers réels du gel hydroalcoolique

Le gel hydroalcoolique n’est pas très apprécié par nos mains.

En effet, ce qui maintient notre peau en bonne santé, c’est un équilibre bactérien, et c’est la raison pour laquelle il n’est pas bon de se laver plusieurs fois le corps chaque jour.

Pour les mains, qui se salissent beaucoup plus souvent, il est important de se les laver aussi plus souvent. Hélas, contrairement au savon, le gel antibactérien agresse durement la peau.

Son utilisation soutenue, plusieurs fois par jour, peut ainsi mettre à mal l’équilibre de ce tissu plus fragile qu’il n’en a l’air. Les études qui se concentrent sur l’utilisation de ce gel sont plutôt édifiantes.

Ainsi, selon une étude faite à l’école indienne de médecine Father Muller, DEUX TIERS de la population souffre d’eczéma aux mains dû à au lavage excessif des mains avec du gel hydroalcoolique.

L’étude a été faite sur près de 600 personnes. Et parmi les professionnels de santé, alors qu’ils n’étaient touchés qu’à 3% par cet eczéma des mains, ils sont désormais touchés à 92,6%.

Presque aucun d’entre eux n’était touché par l’eczéma des mains. Maintenant, ils le sont presque tous.

Le problème là-dedans, c’est la pénétration du gel.

 

Des perturbateurs endocriniens en pagaille

Vous pouvez donc utiliseer du gel hydroalcoolique si vous partez en camping par exemple mais pas pour une utilisation quotidienne !

L’eau ne doit pas être gâchée, et vu les conditions d’hygiène particulières qui existent dans la nature, il est plus important que jamais de vous nettoyer les mains et particulièrement avant de passer à table.

Mais cela ne doit pas occulter que le gel hydroalcoolique doit rester l’exception, et la règle doit être le savon et l’eau.

En effet, le gel élimine beaucoup plus la barrière de défense bactérienne de notre peau que l’eau et le savon, et diminue plus sa régénération naturelle.

Le savon, s’il est assez hydratant, peut soigner votre peau avec un film protecteur.

Au contraire, le gel fait pénétrer dans la peau son contenu, et il est passablement mauvais pour notre organisme2.

  • On y retrouve notamment du triclosan, un violent perturbateur endocrinien, connu pour sa capacité à attaquer la fonction immunitaire et à contribuer au développement de bactéries antibiorésistantes !
  • On y retrouve aussi des parabènes, réputés pour être des perturbateurs endocriniens de premier ordre (qui causent de graves problèmes hormonaux à moyen terme). Ils sont également toxiques pour la peau, le système reproductif et l’immunité. Les études qui tendent à faire le lien entre les parabènes et les cancers du sein3 sont régulièrement attaquées par l’industrie. De fait, les parabènes ne sont pas interdits, même s’ils inquiètent beaucoup4.
  • Les parfums synthétiques utilisés ne sont pas faits pour être en contact avec la peau. Ils peuvent contenir des phtalates (perturbateurs endocriniens réputés) et du musc de synthèse, potentiellement cancérigènes et toxiques pour le système nerveux5.

 

Distanciation ou discrimination sociale ?

Il n’y a rien à comprendre à la distanciation sociale, ou plutôt, ce qu’il y a à comprendre relève plus de la politique que des règles sanitaires proprement dites.

En effet, on a vu des boutiques et des salles de spectacle s’empresser d’imprimer des marquages au sol qui n’étaient pas sans rappeler ceux de l’école de mon enfance.

Cette distanciation sociale a consisté à inculquer la crainte de tous par tous, et à infantiliser la population à des fins que tout observateur consciencieux qualifiera de fort peu démocratiques.

Dans la réalité, cette distanciation sociale n’a pas du tout été maintenue puisque l’on a continué à nous faire prendre les transports en commun.

Ce qui leur a mis une pression supplémentaire pour « aimer » ce masque qui les empêche de respirer, d’exprimer la moindre émotion, et de faire preuve de la moindre empathie.

Vous aurez bien remarqué que les mieux lotis, eux, pouvaient prendre le vélo sans masque, même lorsque cette « muselière » était obligatoire dehors.

En somme, la distanciation sociale, c’est selon moi un outil de discrimination sociale.

D’ailleurs, vous pouvez voir sur n’importe quel réseau social, que les classes dominantes, durant leurs fêtes, tel l’effroyable gala du MET6, ne respectent pas ni la distanciation sociale ni le masque !

 

Dois-je rester pour toujours à 2 mètres des gens que j’aime ?

Dans certains pays, un mètre de distance ne suffit pas. Il en faut plus ! Jusqu’à 2 mètres quelques fois (6 pieds pour les anglo-saxons).

Alors bien sûr, l’industrie paramédicale marche à plein régime. Vous trouverez bien évidemment une étude qui montre que des personnes dans une même pièce, peuvent projeter des gouttelettes de salive et de sueur très loin d’elles.

Mais dans la réalité, aucune étude ne prouve qu’une transmission sérieuse de la maladie se fait par voie aérienne, même en intérieur.

Rappelons encore que la pandémie est avant tout une maladie grippale qui se transmet par contact.

Ses chiffres ont été très exagérés, car établis à partir des tests PCR, qui n’ont pas été conçus pour le dépistage, qui nécessitent un diagnostic médical, et qui pourraient être abandonnés aux Etats-Unis à la fin de cette année par manque de fiabilité.

Sans compter que les morts de la grippe ont été convertis en morts de la pandémie depuis l’année dernière (vous avez remarqué qu’il n’y a plus de grippe saisonnière ?!)

Si vous êtes à risque, évitez simplement les embrassades, et renforcez autant que possible votre immunité notamment avec des compléments alimentaires.

Cesser de voir les gens que vous aimez vous fera beaucoup plus de mal que de bien, dans tous les cas.

Une rééducation indispensable

Oh, mais le gel hydroalcoolique plein de perturbateurs endocriniens ne suffit pas. Pas plus que le masque.

Il est important que vous soyez pleinement RÉÉDUQUÉ pour devenir un citoyen hygiénique !

Les « recommandations » sont comme toujours de deux sortes : les ridicules, et les despotiques.

Ces premières recommandations qui devraient être évidentes pour un enfant de 12 ans, vous les connaissez bien :

Ne pas éternuer ni tousser au visage d’autrui.

Utiliser un mouchoir pour se moucher

Aérer vos lieux de travail et de logement

Ensuite, il y a les recommandations de notre gouvernement.

 

Arrêtez l’amour, c’est dangereux

Le mieux, pour faciliter le travail de prévention, ce serait d’arrêter MAINTENANT de vous parler les uns les autres, au cas où vous vous transmettiez le doute quant à la façon dont on vous traite.

Rappelons que les embrassades sont les gestes élémentaires de la tendresse, et que vous serrez la main en est l’équivalent pour la politesse…

Rappelons également qu’au départ, ce geste de se serrer la main est le signe d’une confiance mutuelle et l’assurance de ne pas porter les armes sur autrui.

Or la politesse et la tendresse permettent des rapports humains qui se passent des écrans, qui ne peuvent être surveillés en permanence, et qui instaurent une confiance entre les individus.

J’espère que vous êtes conscient, désormais, que la confiance entre les individus se manifeste par ces gestes erronés qui représentent une menace pour la santé publique !

Mais je pense que vous l’avez compris : une société saine ne peut se passer de méfiance et de surveillance…

C’est même criminel d’avoir pu croire un jour le contraire !

Voilà pourquoi il est recommandé de ne pas être à plus de 6 à une table, au cas où il vous viendrait une folle envie de vous lever tous ensemble et de demander des comptes à ceux que vous payez pour vous « protéger ».

 

Ah ! Le moyen-âge !

Enfin, et vous l’aurez remarqué, il est très important que vous ayez en permanence sur vous l’application du pass sanitaire (qui s’appelait Tous anti-covid il y a quelques mois).

En effet, il est essentiel que le gouvernement sache en permanence où vous êtes, quelles sont vos habitudes, et comment vous dépensez votre argent !

Au cas où décidiez de devenir un dangereux contestataire, il saura où vous trouver – un peu comme Al Capone, ou un oligarque d’Europe orientale.

Ne vous détrompez pas, la mafia n’a jamais fait qu’imiter le féodalisme auquel notre société retourne tranquillement.

Le fait de ne rien posséder et d’être en permanence surveillé, ça n’a absolument rien de nouveau.

Ça s’appelle le servage, et c’était la règle pour presque tout le monde, pendant les 1000 ans qu’a duré le moyen-âge en Europe.

A l’époque, tout le monde vivait dans la terreur, et l’on pensait à chaque crise que la fin des temps était proche – rien à voir avec aujourd’hui…

A l’époque, vouloir être indépendant, c’était être un vilain.

A l’époque, pour conseiller les « bonnes pratiques » au peuple (qu’on se gardait bien d’apprendre à lire et à écrire), on sculptait des images sur les portiques des églises – où il était fortement recommandé de se rendre au moins une fois par semaine…

Maintenant, les images sont sur la devanture de chaque boutique ! Et on vous répète les bonnes conduites en permanence à la radio et sur les réseaux sociaux… On n’arrête pas le progrès !

Portez-vous bien,

Dr. Thierry Schmitz

Sources :

[1] A Randomized Trial of the Efficacy of Hand Disinfection for Prevention of Rhinovirus Infection Ronald B. Turner,  Janice L. Fuls,  Nancy D. Rodgers,  Heidi B. Goldfarb, Leslie K. Lockhart,  Louise B. Aust  Author Notes Clinical Infectious Diseases, Volume 54, Issue 10, 15 May 2012, Pages 1–5, https://doi.org/10.1093/cid/cis201 Published: 12 March 2012

[2]  https://www.naturalnews.com/047400_hand_sanitizers_triclosan_parabens.html

[3] Pugazhendhi D, Sadler AJ, Darbe PD. Comparison of the global gene expression profiles produced by methylparaben, butylparaben and 17beta-estradiol in MCF7 human breast cancer cells. J Appl Toxicol. 2007;27(1):67-77.

[4]  https://www.cancer-environnement.fr/420-Parabenes.ce.aspx
[5] http://pratique.leparisien.fr/beaute/parfum/conseils-parfum/le-parfum-es...

[6] https://www.bfmtv.com/people/mode/apres-deux-ans-d-absence-due-au-covid-...

 

Vous n'êtes pas abonné ?
Inscrivez-vous !

Pour vous abonner gratuitement à La Lettre du Dr Schmitz, merci de vous rendre sur cette page.

 

~~~~~~~~~~~~

Plutôt que de reconnaître l’échec du tout vaccinal, ils doublent la mise

 

On vous avait promis le retour à la normale, après 2 doses.

On le voit clairement à présent : c’était un énorme mensonge.

À l’entrée de l’hiver, le gouvernement s’affole devant l’augmentation des cas.

Et plutôt que d’accepter l’échec de la stratégie du « tout vaccinal », le gouvernement continue de plus belle avec de nouvelles mesures restrictives et discriminatoires, sur la 3ème dose et le passe sanitaire.

Il est temps de regarder la réalité en face : si les Français continuent d’obéir comme des moutons, ils ne reviendront jamais à « la vie normale » :

  • Interdire aux non-vaccinés de profiter librement des marchés de Noël en extérieur, ce n’est pas la vie normale ;
     
  • Obliger des enfants de 7 ans à porter un masque toute la journée à l’école, ce n’est pas la vie normale ;
     
  • Virer brutalement des soignants qui ont refusé de s’injecter un vaccin expérimental, ce n’est pas la vie normale.

N’imaginez pas une seconde que la 3ème dose permettra un vrai « retour à la vie normale ».

En Israël, le ministre de la Santé parle déjà de la 4ème dose[1].

L’idéologie du tout vaccinal est une succession sans fin d’obligations, de discriminations… et d’échec médical face au virus.

La vaccination de masse favorise même l’aggravation de l’épidémie en créant de nouveaux variants (je vous en reparlerai).

A minima, il est évident que le vaccin ne freine pas l’épidémie.

Pas d’un pouce. Peut-être même l’accélère-t-elle.

 

Même Macron l’a avoué implicitement, mais Véran continue de mentir

Souvenez-vous du discours récent d’Emmanuel Macron : il a encouragé la vaccination, je cite, « pour vous protéger » (des formes graves).

Mais contrairement aux discours précédents, il n’a pas ajouté « et pour protéger les autres ».

C’était un aveu implicite : l’aveu que le vaccin ne protège pas les autres.

Mais Olivier Véran, lui, a préféré continuer dans le mensonge.

Il faut dire que c’est le seul moyen d’obliger les gens à se vacciner.

Si on reconnaît que le vaccin ne sert qu’à se protéger soi, alors il n’y a aucune raison de l’imposer à qui que ce soit.

Chacun devrait être libre de le prendre, en fonction de ses risques personnels.

Mais Olivier Véran ne veut pas désavouer sa stratégie liberticide.

Alors, dans sa conférence de presse, il a dit :

  • « Le vaccin protège collectivement car il réduit très fortement la circulation du virus.
  • Même si je suis jeune, je me vaccine pour me protéger et protéger les autres. »

C’est « fort de café », car même l’OMS a reconnu que c’était faux !

L’OMS a estimé la réduction de la transmission à seulement 40 % !!

Ce qui est très faible !

Je vous rappelle que cet été, Olivier Véran et les journalistes aux ordres ont essayé de nous faire croire que le vaccin divisait la transmission par 12.

Si si, je vous assure qu’ils l’ont dit et répété, sur tous les tons : « un vacciné est 12 fois moins contaminant qu’un non vacciné », vous disaient-ils[2].

Puis, récemment, ils ont nous dit que le vaccin divisait encore la transmission de moitié. En 4 mois, on est donc passé de 12 fois moins à 2 fois moins !

Et maintenant, l’OMS annonce une réduction de 40 % seulement.

Mais même cette réduction supposée de 40 % est peu crédible.

La réalité est que les vaccinés sont tout aussi contaminants que les non-vaccinés :

  • Les autorités américaines (CDC, Anthony Fauci) l’ont dit et répété : la charge virale est la même, en cas d’infection, chez les vaccinés et les non-vaccinés[3].
     
  • Cela a été confirmé dans plusieurs études[4], dont la plus importante a été récemment publiée dans The Lancet[5]: le pic de charge virale était identique entre les vaccinés et les non-vaccinés. Et dans cette étude, les non-vaccinés et les vaccinés infectés ont contaminé autant de personnes, au sein de leur foyer.
     
  • Confirmation également dans une étude réalisée au sein d’une prison (réalisée par le CDC)[6] : parmi les contaminés, aucune différence de durée de « positivité » n’a été observée entre les vaccinés et les non-vaccinés. Conclusion : « on ne devrait pas considérer que les personnes vaccinées infectées sont moins contagieuses que les non-vaccinées ».

Et si vous avez encore un doute, regardez simplement ce qui se passe dans le monde :

 

Des vagues immenses de contaminations depuis la vaccination de masse !

La Grande-Bretagne a le grand mérite d’être totalement transparente, avec des chiffres communiqués tous les jours.

Or cela fait plusieurs semaines que les chiffres britanniques montrent une réalité crue : chez les plus de 30 ans, les vaccinés sont, proportionnellement, beaucoup plus infectés que les non-vaccinés !

Les vaccinés répandent donc beaucoup plus le virus autour d’eux que les non-vaccinés !

Partout dans le monde, on observe le même phénomène : le vaccin n’empêche pas l’épidémie.

Une étude publiée fin septembre dans un grand journal d’épidémiologie avait examiné sur une semaine 68 pays et 2947 comtés américains[7], et avait conclu que le niveau de vaccination n’influence pas le taux de contaminations.

Encore plus fort : beaucoup de pays ont connu leur vague la plus haute APRÈS avoir vacciné leur population !

C’est le cas des pays les plus vaccinés de la planète, comme Singapour ou l’Islande.

Et c’est le cas, tout près de chez nous, de l’Allemagne et de l’Autriche :

En Allemagne (en bleu) et en Autriche (en rouge), la plus haute vague d’infections a eu lieu ces dernières semaines, après la vaccination de masse.

Ces courbes sont d’autant plus ahurissantes qu’une partie de la population a été déjà infectée, donc avec une immunité solide et durable.

Après 1 an et demi d’épidémie, il devrait y avoir des vagues de moins en moins hautes – ce qui s’est passé avec la grippe espagnole.

Et pourtant, beaucoup de pays connaissent leur pic le plus haut de contaminations 18 mois après le début de l’épidémie… et après avoir vacciné au moins 70 % de leur population adulte !

Si vous ne comprenez pas que c’est l’ÉCHEC TOTAL du vaccin pour freiner l’épidémie, alors je ne sais pas ce qu’il vous faut.

On l’a vu aussi, au niveau local, à l’intérieur des nations.

Le Vermont était l’État le plus vacciné des États-Unis… et c’est l’État qui a battu récemment son record de contaminations journalières (il n’y avait jamais eu autant de contaminations en une seule journée depuis début 2020) ![8]

Même phénomène dans la ville de Waterford, en Irlande : c’est la ville la plus vaccinée du pays, avec 99,7 % de la population adulte vaccinée[9]… et c’est pourtant la ville qui a récemment connu le taux le plus élevé d’infections en Irlande[10].

Bref, il faut arrêter de croire au miracle vaccinal, et se tourner vers d’autres solutions.

 

Alors que faire collectivement, et que faire individuellement ?

Collectivement, pour sortir de l’épidémie, il suffit de prendre quelques décisions clés :

  • Faire de la prévention avec des vitamines (D en priorité, mais aussi C et E), des minéraux et oligo-éléments (zinc, sélénium) et des gestes d’hygiène simple (bains de bouche et irrigation nasale) ;
     
  • Traiter dès les premiers symptômes, avec des molécules pas chères et efficaces, éprouvées depuis longtemps (ivermectine, protocole Raoult, fluvoxamine, anti-histaminiques, etc.) ;
     
  • Et renforcer l’hôpital – or c’est le contraire qui a été fait depuis 2 ans, en fermant des lits en pleine épidémie, et en imposant l’obligation vaccinale aux soignants, ce qui a conduit à perdre des milliers de professionnels – et à fermer davantage de lits encore.

Il faut arrêter immédiatement les passes sanitaires, les obligations vaccinales et autres mesures discriminatoires, inutiles et contre-productives.

Évidemment, ce n’est pas près d’arriver, avec Emmanuel Macron et Olivier Véran au pouvoir.

Alors que faire, individuellement, face au rouleau compresseur ?

Sans passe sanitaire, il est difficile d’avoir une vie sociale, c’est vrai.

Mais je pense que la liberté de ne pas être un cobaye devrait l’emporter sur tout.

Si vous voulez vous faire vacciner ou re-vacciner, faites-le, c’est votre choix et votre liberté.

Mais si vous ne le souhaitez pas, c’est le moment ou jamais de RÉSISTER !

Si vous avez refusé la 1ère dose, continuez à la refuser !

Si vous ne souhaitez pas faire la 3ème dose, REFUSEZ de la faire !

Prenez votre décision, et TENEZ BON !!!

Prenez exemple sur la Guadeloupe et la Martinique : le gouvernement a été obligé de suspendre l’obligation vaccinale des soignants et des pompiers.

Ce n’est qu’en RÉSISTANT qu’on retrouvera la raison et la « vie normale ».

Sinon, vous avez la garantie d’avoir un abonnement vaccinal tous les 5 mois, et un glissement progressif vers une société de surveillance quasi-totalitaire.

Français, RÉVEILLEZ-VOUS !!!

Bonne santé,

Xavier Bazin

 

PS : pour ceux que cela intéresse, j’ai fait un « bêtisier » des plus grosses énormités proférées par Olivier Véran lors de sa conférence de presse du 25 novembre :

  • Il s’est assis sur l’avis du 18 novembre de la Haute Autorité de Santé, qui s’était prononcée CONTRE la re-vaccination des personnes qui ont été infectées puis vaccinées[11] ;
  • Il a osé dire que la vaccination et l’infection donnent une « protection équivalente», alors que l’immunité naturelle protège beaucoup mieux que l’immunité vaccinale[12] ;
  • En élargissant la 3ème dose à tous, il a mis en concurrence, pour prendre rendez-vous, des personnes âgées vulnérables avec des gens jeunes et en parfaite santé ;
  • Il a autorisé les préfets à imposer le masque à l’extérieur et est allé jusqu’à imposer le passe sanitaire dans les marchés de Noël, alors qu’il n’y a quasiment jamais de contamination en extérieur – et à l’inverse, il ne prend aucune précaution (autre que le passe sanitaire « passoire ») vis-à-vis des boîtes de nuits et évènements en intérieur de 1 000 personnes ;
  • Il s’est vanté d’avoir commandé 50 000 doses d’un traitement très coûteux (molnupiravir) qui n’a aucune efficacité contre le variant delta[13], et qui est connu pour avoir un effet « mutagène » (qui aide le virus à muter) : des spécialistes[14] éminents[15] craignent que ce traitement ne crée ainsi de nouveaux variants dangereux ;
  • Dans la même veine, il a osé dire que la France est à la pointe des traitements (avec son molnupiravir mutagène), alors qu’il n’a cessé de mettre des bâtons dans les roues de l’Institut Pasteur de Lille, qui avait découvert, dès le début de l’épidémie, qu’un vieil antibiotique bien connu et sans danger était un remède anti-Covid très prometteur[16] ;
  • Il s’est appuyé encore sérieusement sur les « modélisations de l’Institut Pasteur », qui se sont systématiquement trompées depuis le début (ces modèles soi-disant prédictifs des épidémies ne valent pas mieux que des « boules de cristal », selon le mot du Pr Raoult) ;
  • Et la meilleure, il a dit mot pour mot : « Certains s’interrogent: comment une vague est-elle possible alors que 90 % d’entre nous âgés de 12 ans et plus sommes vaccinés. Est-ce que cela signifierait que le vaccin serait finalement moins efficace que prévu ? Non ».

 

  • Les dangers réels du gel hydroalcoolique
Portrait de admin
admin

Administrateur d'Ardenneweb, nous proposons du contenu journalier gratuitement.