Visites Gastronomiques en Hyundai i40.
Visites Gastronomiques en Hyundai i40.
Les vins de chez Soniën.
Hoeilaart est arrosé par l'IJse, un affluent de la Dyle. Il se situe dans un paysage vallonné, à une dizaine de kilomètres au sud-est de Bruxelles. Plus de la moitié de son territoire est occupé par la forêt de Soignes. La culture intensive de raisins en serre sur les coteaux orientés au sud ne cesse de décroître depuis les années 60. Il subsiste encore quelques cultivateurs qui perpétuent une tradition ancienne. Les principales variétés cultivées sont le Léopold, le avec Ribiers et le Muscat. Ceci n'empêche pas les habitants de Hoeilaart d'organiser chaque année, le 3éme week-end de septembre, un festival du raisin (www.hoeilaart.be).
Depuis 1978 les frères Luppens, à savoir Pips & Flup, cultivent la vigne (Muscat et Royal) pour en faire du vin avec ou sans bulles (www.sonien.be). La grande différence avec le reste des vignerons belges : les raisins grandissent dans des serres.
Pourquoi le nom soniën ? C’est simple soniën = soignes – la fameuse forêts aux portes de Bruxelles. Les frères Luppens dépendent étroitement de la survie des serristes de la région.
En tout état de cause voici de bons produits vendus, ma foi, à un prix fort raisonnable.
Victoria chez Victorine à Hoeilaart (banlieue de Bruxelles).
Née d'une famille de 9 filles, originaire de Neerijse, Victorine, la 8ème, a mis depuis 1954 tout son savoir au service de la gastronomie. Sa fille Daniëlle Lefever, son beau-fils Lucien Schwab et son petit-fils Charley avec sa femme Christine lui succèdent (www.restaurantvictoria.be).
Une maison de rang aux briques rouges, aux vastes salles et à la terrasse arrière ensoleillée où l’on accueille depuis les années cinquante une belle clientèle familiale et d’habitués à coups de savoureuses préparations de cuisine du terroir belge (croquettes de crevettes ou au fromage, anguilles au vert, à la crème ou sauce tartare, truite meunière, carré d’agneau bouquetière, côte à l’os…).
Les anguilles au vert (Paling in ‘t groen):
Plat typiquement belge et flamand en particulier, les anguilles au vert mêlent plusieurs herbes fraîches: persil, épinards, oseille, sauge, citronnelle, menthe et jeunes orties. L’anguille est un poisson un peu particulier, son apparence a certainement joué contre elle très longtemps. Poisson carnassier, au look proche du serpent, il est même exclu de la cuisine dans certaines croyances. Le traitement du poisson est, lui aussi, particulier, les herbes utilisées servant à « cuire » le poisson. C’est une cuisson chimique en quelque sorte. L’acidité de certaines herbes relève le goût de la préparation. La saveur douce acide de l’anguille est remarquable.
Pour finir la journée en beauté allons retrouver notre Hyundai i40.
Hyundai i40.
Hyundai ne manque pas d’ambition et la marque a bien l’intention avec sa ‘sœur’ Kia de titiller les grands autres grands constructeurs.
Il ne fait aucun doute que cette i40 SW dégage une fort belle impression. Dessinée outre-Rhin au centre de style européen de la marque à Rüsselsheim, mais fabriquée en Corée du Sud dans l’usine d’Ulsan, la i40 SW ne manque pas d’allure avec sa face avant très expressive et sportive et sa ligne de toit fuyante qui offre une ligne dynamique mais qui en rien ne pénalise l’habitabilité aux places arrière et encore moins celle du coffre réellement impressionnant par son volume de 533 litres en configuration quotidienne 5 places et de 1 719 litres une fois la banquette rabattue.
Affûté extérieurement, le break i40 SW le demeure dans l’habitacle avec sa planche de bord au dessin très moderne et constituée de matériaux de qualité dont des plastiques moussés qui améliorent grandement la qualité perçue à bord. Mais comme toujours avec le constructeur coréen, son i40 SW regorge d’équipements de série qui facilitent le confort mais aussi la sécurité des passagers.
Mais la berline n’est pas en reste. Plus courte de trois centimètres à peine, avec 4,74 mètres, elle propose 503 dm3. Fort d’un empattement de 2,77 mètres, le véhicule affiche selon Hyundai une hauteur sous pavillon (1 025 mm), une largeur aux épaules (1 455 mm) et une longueur aux jambes à l’avant parmi les meilleures de son segment.
Quatre moteurs sont proposés au lancement. On retrouve ainsi deux essences et deux Diesel même si ces derniers devront s’arroger les trois quarts des ventes. On aura affaire au bloc 1.7 CRDI en 115 et 136 cv. Un peu juste à notre goût pour venir se frotter aux références du segment. Pour l’essence, c’est mieux avec un 1.6 135 cv et un 2.0 177 cv.
Si la marque ne fait pas dans le haut de gamme au niveau des blocs moteurs, elle a plus d’ambition avec les équipements high tech.
Comme les constructeurs japonais il y a une dizaine d'années, Hyundai adopte une stratégie résolument européenne pour sa gamme de produits. L'i40 en constitue d'ailleurs la plus parfaite illustration, elle qui a d'abord été commercialisée en break, une forme de carrosserie qui ne trouve précisément preneur que sur le Vieux Continent (61% des ventes du segment D). Mais la démarche ne s'arrête pas là. Basée sur la plate-forme de la Sonata américaine et coréenne, cette familiale a par ailleurs été entièrement refondue dans le centre européen de la marque, en Allemagne. Esthétique, ensembles moteur/boîte, liaisons au sol, tout est repassé dans les mains des ingénieurs basés à Rüsselsheim. Sur le papier, l'i40 berline est la copie conforme du break, hormis pour la longueur, réduite de 3 cm (www.hyundai.be).