Auto Essai & Tourisme…

écrit par patrickthibaut
le 11/10/2011
Metz Gastronomie Produits du terroir

Auto Essai & Tourisme…
Découverte de la Ville de Metz avec la complicité de la Ford C-Max 1.6 TDCi.

Les émotions autour d’un bon repas ou d’une charmante dégustation, avec les gens qu’on aime, sont toujours très fortes. Inviter quelqu’un à déjeuner ou à dîner est une preuve d’estime ou de reconnaissance. En fait un délicieux moment à partager. Quel meilleur endroit qu’un coin de table pour relater notre essai de la Ford C-Max 1.6 TDCi.
Cependant pour la clarté du récit nous avons décidé de positionner nos ‘essais’ Touristique en première partie:

Metz : Ville d’Art & d’Histoire.

Au cœur de l’Europe, la Lorraine est la seule région française à avoir une frontière commune avec trois pays européens : l’Allemagne, le Luxembourg et la Belgique. La Moselle dont le chef-lieu est Metz, la Meurthe-et-Moselle avec Nancy, la Meuse avec Bar-le-Duc et les Vosges avec Epinal composent les quatre départements de la région de verdure et de jardins sans limites.

Metz, qu’on croit grise mais qui affiche un festival permanent de teintes jaune, ocre, mordoré et un délicieux centre piéton d’où émerge une merveilleuse cathédrale.
Romaine, médiévale, classique, allemande, Metz est riche de ses 3 000 ans d’histoire et de son patrimoine architectural qu’elle a su mettre en valeur grâce à de multiples éclairages nocturnes : la cathédrale St-Étienne, aux splendides verrières ; la gare, richement décorée de chapiteaux et de bas-reliefs ; le centre Pompidou-Metz, à la structure défiant les lois classiques de l’architecture… Prenez du temps et promenez-vous dans les ruelles du centre historique, flânez sur les quais et profitez des nombreux parcs et squares (www.tourisme-metz.com).

Surnommée « la Commerçante », Metz, capitale de la Lorraine, est néanmoins une petite ville où les habitants sont accueillants et où l’on se sent à l’aise tout de suite. Sa cathédrale en est l’emblème, avec des tours effilées que l’on aperçoit de loin, et son histoire est bimillénaire : il suffit d’ouvrir les yeux pour observer ici et là des maisons et des éléments d’architecture témoins d’un passé historique glorieux. Chef-lieu du département, elle est attachée à ses traditions mais sait aussi surprendre par ses structures à la pointe de la technologie, et ses manifestations inédites toute l’année (comme les Montgolfiades, l’Eté du Livre ou la fête de la Mirabelle).

Metz a su garder son authenticité et son savoir-faire grâce à ses productions locales, artisanales et gourmandes, qui sont un plaisir à découvrir au gré des boutiques et des rues.
La mirabelle, célébrée la dernière semaine d’août, est le produit phare de la ville, que l’on retrouve dans bon nombre de recettes traditionnelles, comme la tarte à la mirabelle ou les mirabelles flambées au caramel. Ce pays gastronome fut aussi marqué par le passage de Rabelais et accueille parmi les plus fins restaurateurs de France.
Dégustation aux Tables de Rabelais. En hommage au célèbre auteur de Gargantua et Pantagruel, les Tables de Rabelais rassemblent une trentaine de partenaires, restaurateurs, producteurs et autres métiers de bouche, identifiables grâce au macaron millésimé et à travers un label, véritable identité gastronomique. Ces professionnels s’engagent à vous proposer des produits de qualité issus du terroir lorrain. Vous trouverez toutes ces adresses auprès de l’Office du Tourisme Place d’Armes.

Le Centre Pompidou.
Depuis son ouverture il y a un an, 800 000 visiteurs ont admiré le Centre Pompidou Metz. Son architecture audacieuse, œuvre conjointe du Japonais Shigeru Ban et du Français Jean de Gastines, est un monument de légèreté. Le Centre Pompidou-Metz ne possède pas de collections permanentes, mais puise dans le fonds du Centre Pompidou parisien, le plus riche au monde après celui du MoMa new-yorkais (www.centrepompidou-metz.fr). Fidèle aux valeurs du Centre Pompidou de générosité, d’ouverture à tous les publics et à toutes les formes de la création actuelle, le Centre Pompidou-Metz illustre, par sa dimension tant sociétale que culturelle, le renouvellement de la stratégie du Centre Pompidou qui se recentre sur sa vocation primordiale : être une plateforme d’échanges entre la société française et la création.

Les musées de la Cour d’Or .
Des collections diverses illustrent le riche passé de la région messine, à travers les salles du musée d’histoire et d’archéologie. Regroupant le mobilier antique issu des fouilles locales, on y trouve entre autres un département médiéval, des tombes mérovingiennes, un musée d’Architecture évoquant l’art civil et religieux, et un musée des Beaux-Arts. A noter que les musées renferment plusieurs bâtiments historiques, comme la chapelle des Trinitaires (http://musees.metzmetropole.fr).

Le vin.
Désormais, le vin lorrain vit sur moins de 200 ha. Du Toulois aux vins de Meuse, en passant par les Côtes de Moselle. Une AOC leur a été attribuée depuis l’an dernier. Aux Pinot et Auxerrois viennent se joindre les Pinot Noir, Pinot Gris, Pinot Blanc et autres Riesling. Mais trêve de bavardage en ce qui concerne le vin, et comme pour beaucoup de choses encore, rien ne vaut une bonne dégustation ! A 20 minutes de Metz, dans le village de Marieulles, est sis le ‘Domaine Oury-Schreiber’ (www.oury.biz). Une bonne adresse où bon accueil et bons produits se marient pour notre plus grand bonheur. Et, comme monsieur Oury est également viticulteur en Languedoc et en Champagne cela vous fera pas moins de 26 dégustations différentes. Après cela vous ferez le bonjour de ma part aux pandores…

Mais, si le vin est de retour dans la région de Metz, il n’en n’est pas de même en ce qui concerne la reine de Lorraine : la Mirabelle. Une véritable institution et la preuve que l’on peut faire des alcools très forts qui gardent une finesse parfaite. Pour parfaire vos connaissance rendez-vous chez Mélanie à la ‘Distillerie Maucourt’ (www.distilleriemaucourt.fr), à peine à 2 minutes de chez monsieur Oury. Comme vous le répétera Mélanie’, elle-même, oubliez les 46% d’alcool et goûtez et appréciez les arômes. Peut-être n’est-ce pas politiquement correct au jour d’aujourd’hui mais qu’es-ce que c’est bon après un bon repas.

Pour vos nuitée l’Hôtel de la Cathédrale, place de Chambre, vous tends les bras. C’est un vrai 3* avec un wifi efficace, la climatisation et, enfin, un breakfast digne de ce nom avec jus d’orange pressé. En plus il est en plein cœur de la cité.
Au niveau restauration, nous l’avons déjà indiqué plus haut, la route de Rabelais vous propose tout un choix de resto dont beaucoup prônent l’excellence des produits du terroir. Cela étant, avant votre repas, une pause saveur bien sympa ‘Chez Mauricette’ dans le Marché couvert ne pourra vous nuire en aucun cas.

Notre destrier : le Ford C-Max 1.6 TDCi.

La première génération du Ford C-Max a rencontré un grand succès en France et la marque a souhaité continuer sur cette lancée en proposant un nouveau modèle beaucoup plus dynamique et plus accueillant (www.ford.be). Après sept ans de commercialisation le Ford C-Max passe le relais à un nouveau véhicule. Comme la concurrence, ce monospace compact propose désormais deux carrosseries distinctes. Une version 5 places, comme notre modèle, et une version sept places, plus longue de 14 cm, plus haute de 6 cm et disposant de portes arrière coulissantes, un système très rare sur le segment. Côté look, les designers Ford sont partis des bases du Kinetic Design en vigueur pour les nouveaux modèles depuis le S-Max en 2005. Comme c’est le cas pour la Focus, la marque poursuit son programme « One Ford » en ne proposant qu’une seule version de son nouveau C-Max au lieu de faire des modèles adaptés à chaque pays. C’est donc avec une face avant et un profil nettement plus dynamique que le C-Max deuxième génération tente de séduire la planète entière. Globalement, ce nouveau C-Max est plutôt séduisant et beaucoup plus dynamique que l’ancienne génération.

L’intérieur du nouveau C-Max est très plaisant, avec une planche de bord bien dessinée et agréable à l’œil. La qualité de présentation est en net progrès par rapport à l’ancienne génération. On retrouve ainsi l’esprit des dernières créations de la marque, avec énormément de matériaux différents employés, plastiques façon alu, piano, noirs, ou mats. Malgré cela, la qualité d’assemblage est d’un bon niveau. Les passagers avant se sentent dans un cocon. Le volant est très agréable pour sa prise en main. La position de conduite conviendra à tous les gabarits.
A l’instar du Kuga, l’équipement optionnel vaste propose notamment une très pratique caméra de recul, un système de démarrage sans clé, un système de détection des angles morts, l’aide au démarrage en côte et le hayon électrique.

Côté habitabilité, l’espace dévolu aux passagers arrière est tout à fait honorable, mais aucun progrès n’a été réalisé depuis l’ancien modèle. Les côtes sont logiquement en retrait de celles du Grand C-Max. Ford a opté pour des sièges escamotables avec le système Diagoflex. Lorsque le siège central est retiré, les deux autres peuvent coulisser vers le milieu de quelques centimètres afin de libérer de l’espace aux coudes. A noter que sur le grand C-Max l’assise centrale se camoufle dans le siège de droite.
Quant au coffre, il est d’un volume suffisant de 471 litres avec kit anti-crevaison. En configuration deux places, le volume utile peut grimper jusqu’à 1723 litres avec un chargement jusqu’au toit. Le C-Max est proposé avec huit motorisations ! Quatre essence de 105, 125, 150 et 182 cv, et quatre Diesel de 95, 115, 140 et 163 cv.
Le TDCi 115 délivre un couple de 270 Nm dès 1 750 tr/min. Il se montre à l’aise et offre des reprises correctes, cependant il risque d’être à la peine une fois le véhicule chargé. En ville le 1.6 est appréciable grâce au couple important mais une fois sur route il est un petit peu à la peine.
La boîte mécanique à six rapports est appréciable grâce notamment à ses débattements courts. La transmission à double embrayage Powershift n’est pas disponible avec ce moteur.

Ce nouveau C-Max offre un très bon compromis entre dynamisme et confort. Son comportement se rapproche de celui d’une berline. Il convient ainsi aux conducteurs à la recherche de sensations, mais le manque de maintien latéral des sièges vous rappelle l’objectif principal du C-Max : être un monospace.

Bonne route et heureuses rencontres.

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