14è "Millenium Documentary Film Festival", à Bruxelles et Ixelles, du 05 au 13 Mai
« Le documentaire a la vertu d’être non seulement le miroir de mondes intérieurs et extérieurs tantôt connus, tantôt insoupçonnés, mais il a aussi le don d’ouvrir, bien au-delà de nous-mêmes, les fenêtres de nos esprits » tient a souligner la directrice artistique du « Millenium Documentary Film Festival », Zlatina Rousseva.
Elle poursuit : « Le documentaire a la vertu d’être non seulement le miroir ‘réfléchissant’ de mondes intérieurs et extérieurs, tantôt connus tantôt insoupçonnés, mais il a aussi le don d’ouvrir, bien au-delà de nous-mêmes, les fenêtres de nos esprits. »
« À une heure où l’esprit de caste semble régner en maître, à un moment où les mots en ‘isme’ polluent nos pensées, par le biais de discours, qui instrumentalisent nos peurs, attisent nos colères et renforcent nos tristesses, le ‘Festival Millenium’ vous propose de penser autrement. Pour cette 14è édition – plus de 70 documentaires étant projetés du jeudi 05 jusqu’au vendredi 13 mai -, nous vous invitons à découvrir le côté obscur des gens du pouvoir. »
« En dépit des dangers qui menacent nos démocraties, le ‘Festival‘ tient à contrer toute forme de défaitisme et a sélectionné des documentaires qui ont en commun d’être portés par des personnages lumineux, dotés d’une inébranlable force humaine. »
La Soirée d’Ouverture prendra place le jeudi 05 mai, au « Cinéma Palace », à 19h , avec la projection de :
*** « Dernières Nouvelles du Cosmos » (Julie Bertuccelli/France/2016/84’/film lauréat, en 2016, du 'Prix du Public' des 21è 'Rencontres du Cinéma Documentaire’, à Montreuil, et nommé, en 2017, pour le 'César du meilleur Film documentaire').
Synopsis : « A bientôt 30 ans, Hélène, à l’air d’une adolescente, est l’auteure de textes puissants à l’humour corrosif. Elle fait partie, comme elle le dit elle-même, d’un ‘lot mal calibré, ne rentrant nulle part’. Visionnaire, sa poésie télépathe nous parle de son monde et du nôtre, un metteur en scène ayant adapté son œuvre au théâtre. Pourtant Hélène ne peut ni parler, ni tenir un stylo, n’ayant jamais appris ni à lire, ni à écrire … »
Critiques de la Presse :
** pour l’ « Humanité », par Vincent Ostria : « Dépassant le simple cadre d’un film sur le handicap, ce documentaire est une superbe réflexion sur la création et la poésie. »
** pour « Les Fiches du Cinéma », par Gilles Tourman : « Une éblouissante expérience d’humanité. »
** pour « Studio Ciné Live », par Thomas Baurez : « Une leçon de mise en scène. »
** pour « Sud Ouest », par Sophie Avon : « Ce n’est pas le premier documentaire de la cinéaste, et c’était l’occasion de bâtir avec ce portrait de femme poète, hors circuit, un long-métrage passionnant. Il l’est. »
** pour « Le Dauphiné libéré », par Jean Serroy : « Julie Bertuccelli a suivi seule, pendant deux ans, Hélène, autiste et artiste tout à la fois. Sa caméra, discrète, attentive, fait pénétrer à l’intérieur d’un monde inconnu : un vrai cosmos, étrange et fascinant. »
** pour « L’Express », par Eric Libiot : « Emouvant et frustrant, même si l’empathie finit par l’emporter. »
A souligner que cette réalisatrice française (née Charlotte Claire Bertuccelli/°Boulogne-Billancourt/1968), présidente du Jury internationnal de 14è « Millenium », bénéficiera, en collaboration avec le « Palais des Beaux-Arts » (« Bozar ») d’un focus intitulé « Regard Julie Bertuccelli », qui retracera sa carrière de plus de 30 ans, à travers quelques-uns de ses films.
Le fil rouge du Festival mettra en exergue les coulisses du pouvoir et de la démocratie, aux prises avec les extrêmes : les manipulations de l’opinion et les limitations des droits et des libertés seront, notamment, mis en lumière dans des documentaires éloquents. Un thème qui s’imposait clairement, tant les films de la sélection convergeaient de près ou de loin dans ce sens : un signe, peut-être, que le monde est plus que jamais en proie aux dérives en tout genre ?
Le cinéma belge sera, à nouveau, au rendez-vous à travers 3 sections : la compétition belge, la compétition « Jeunes Talents belges » et un « Gros plan sur le Cinéma belge ». Des pépites, dont des avant-premières, qui mettront en avant la créativité et la vivacité de notre Cinéma documentaire, la plupart de ces projections étant organisées en présence des réalisateurs.
Quant à la Soirée de Clôture, elle se déroulera à « Bozar », le vendredi 13 mai, à 19h30, débutant par la proclamation des résultats des différentes compétitions, qui se poursuivra par la projection de :
*** « Makeup Artist » (Jafar Najafi/Iran/2021/76’/film lauréat d’un « Prix », au « Yamagata International Documentary Film Festival » {« YIDFF »}, au Japon).
Synopsis : « Une histoire dans laquelle les idées modernes se heurtent aux traditions et au désir persistant d’une mère obstinée. Mina et Gol Mohammed forment un couple exemplaire, et leurs désaccords se terminent toujours par une plaisanterie. Jusqu’à la naissance de leur fils, où il s’avère que Mohammed ne veut pas tenir sa promesse : permettre à Mina d’étudier à l’université. Cependant, elle est déterminée à réaliser ses rêves … »
A noter que Jafar Najafi (°Koohrang/1986), qui étudia le cinéma à l’ « Art University of Tehran », reçut, en 2019, le « Prix du meilleur Film documentaire pour Enfants », de l’ « International Documentary Film Festival Amsterdam » (« IDFA ») et, en 2020, le « Prix du meilleur Court-Métrage », au « Festival International de Films de Fribourg » (« FIFF »), pour son court-métrage, « Asho » (Iran/2019/29′).
Prenons bonne note, également, de quelques films qui nous sont particulièrement recommandés par Zlatina Rousseva, la dynamique directrice artistique du « Millenium Documentary Film Festival » :
*** « Media Crash, qui a tué le Débat public ? » (Valentine Oberti & Luc Hermann/France/2022/85’/présenté dans la section « Démocratie et Pouvoir »).
Synopsis : « En France, quelques industriels milliardaires, propriétaires des télévisions, radios et journaux utilisent les médias pour leurs intérêts privés avec la complicité de responsables politiques, qui s’en accommodent volontiers. ‘Mediapart’ et ‘Premières Lignes’ nous racontent les coulisses de ces grands médias … »
Critiques de la Presse :
* pour « Les Fiches du Cinéma », par Gilles Tourman : « Un coup de poing qui ravira les amateurs de ‘Mediapart’, autant qu’il irritera ses contempteurs. »
* pour « Télérama », par Richard Sénéjoux : « Plutôt utile à une époque où les idées d’extrême droite, et celles d’Éric Zemmour en particulier, se sont banalisées dans notre paysage médiatique. »
* pour « L’Humanité », par Caroline Constant : « Ce que montrent Valentine Oberti, journaliste à ‘Mediapart’, et Luc Hermann, de ‘Premières Lignes’, dans leur documentaire, c’est que de la manipulation idéologique à la barbouzerie, il n’y a qu’un pas que ces messieurs franchissent dans la plus totale impunité. Voire avec la complicité active des services de l’État. Leur documentaire est aussi une réhabilitation du métier de journaliste. »
*** « Judges under Pressure » (Kacper Lisowski/Pologne/2021/87’/présenté en « Compétition internationale »).
Synopsis : « En Pologne, l’indépendance du pouvoir judiciaire est gravement menacée depuis l’arrivée au pouvoir du parti d’extrême droite. Le juge Igor Tuleya, visage du mouvement de protestation, se bat à la fois dans et hors des salles d’audience … »
Fils de l’actrice Hanna Stankowna (1938-2020) et du critique littéraire Jerzy Lisowski (1928-2004), le réalisateur polonais Kacper Lisowski (°Varsovie/1972) est diplômé du « Département de Cinématographie » de l’ « Ecole nationale de Cinéma », à Lodz.
Son 1er court-métrage « Father’s Mother » (Pologne/2013/34′), fut le lauréat, en 2014, du « Silver Hobby Horse du meilleur Court Métrage de Fiction », au« Festival du Film de Cracovie », du « Prix spécial du Jury », du« Lamy Film Festival », à Opole, en Pologne, du « Prix du Jury Jeune », du « Festival du Court Métrage », à Clermont–Ferrand, en 2015, du « Prix Arkadiusz Jakubik du meilleur Acteur », du « Grand Off World Independant Short Film Festival », à Varsovie, et du « Prix du meilleur Film de Fiction », au « Festival international du Film Zoom-Close-Up », à Jelenia Góra, en Pologne.
*** « On this happy Note » (Tamar Tal Anati/Israël/2021/65’/présenté en « Compétition internationale »).
Synopsis : « Anat Gov, l’une des dramaturges les plus influentes du théâtre israélien, se prépare à mourir en écrivant son oeuvre ultime avec humour, joie et sérénité … »
Soulignons que pour son film « Life in Stills » (Israël/ 2011/58′), Tamar Tal Anati (°Tel Aviv/1980) a remporté le « Prix du meilleur Documentaire », de l’ « Académie israélienne du Cinéma », et le « Prix du meilleur Film », à l’ « International Documentary Film Festival », à Tel Aviv.
*** « Éclaireuses » (Lydie Wisshaupt-Claudel/Bel./2022/90'/présenté en « Compétition belge »).
Synopsis : « Marie et Juliette ont quitté l’enseignement classique pour ouvrir, en 2016, au coeur de Bruxelles, dans les Marolles, une école où elles accueillent des enfants sans passé scolaire, souvent issus de l’exil, réfugiés syriens pour la plupart, un lieu hors des apprentissages scolaires formels. Un film qui nous oblige à questionner l’école comme un lieu vecteur de rapports d’oppression, qui nous touchent tous … »
Vivant à Bruxelles, depuis 2011, diplômée en montage de l’« INSAS », Lydie Wisshaupt-Claudel confia à Pascale Seys, pour la « RTBF » : « On observe et ensuite on construit quelque chose. Si, de fait, la présence de la caméra influe sur ceux qui sont filmés, le but reste tout de même de tendre un maximum vers le fait de ne pas altérer le réel ».
Pour “Killing Time – entre deux Fronts” (France/2015/89′), cette réalisatrice française obtint, en 2015, à Paris, le « Grand Prix », au « Festival Cinéma du Réel ».
*** « I am Chance » (Marc-Henri Wajnberg/Bel./85’/présenté en « Compétition belge »).
Synopsis : « La vie mouvementée d’un groupe de jeunes filles vivant dans les rues de Kinshasa. Vie de rue et de paradoxes d’une Afrique colorée : elles sont tour à tour intempestives, sages, innocentes, délurées, astucieuses , impertinentes, résilientes et avant tout, libres. Chancelvie et ses amies affrontent le monde et ses difficultés avec sourire et résilience. Elles volent, mais se partagent le butin, font des passes, … mais aussi de l’art … ».
A souligner que Marc-Henri Wajnberg (°Bruxelles/1953), ayant étudié à l’ « INSAS » (« Institut National Supérieur des Arts du Spectacle et des techniques de diffusion »), a remporté, en 1996, le « Rail d’Or », au « Festival de Cannes », ainsi que 22 autres « Prix », pour « Le Réveil » (Bel./1996/07′).
« Kinshasa Kids » (Bel./2013/85′), remporta, en 2014, le « Magritte du meilleur Montage » {pour Marie-Hélène Dozo}, en 2013, le « Prix des Droits de l’Homme », du « Conseil européen », à Strasbourg, le « Prix Humanum », de l’ « UPCB » (« Union de la Presse Cinématographique Belge »), les « Prix du Public », au « Bucharest International Film Festival », en Roumanie, et au « Zagreb Film Festival », en Croatie, ainsi qu’un « Prix du meilleur Film étranger », au « Festival Ecrans Noirs », à Yaoundé, au Cameroun.
*** « Game of Truth » (Fabienne Lips-Dumas/Bel.–France–Irlande/2021/88’/présenté en « Compétition internationale »).
Synopsis : « Pendant trente ans, l’Irlande du Nord a été meurtrie par un conflit entre catholiques et protestants. En 1998, l’ 'Accord du Vendredi Saint' met fin aux troubles, trente ans d’attentats et d’assassinats marqués par le secret d’État. À ce jour, plus de la moitié des 3.500 morts du conflit restent inexpliquées. Plus de 20 ans après le conflit, cinq familles endeuillées se battent pour connaître la vérité sur la mort de leurs proches. Une vérité, que le gouvernement britannique leur cache … »
Pour « Enfants d’Armageddon » (Canada/2008/93′), la journaliste-réalisatrice française Fabienne Lips-Dumas obtint, en 2009, la « Palme d’Or », du « Mexico International Film Festival », le « Grand Prix », du « Portneuf Festival of Films on the Environnement », au Canada, le « Prix des Droits humains », du « Festival des Libertés », à Bruxelles, et, en 2008, le « Prix du meilleur Film documentaire », du « Global non Violent Film Festival », à Los Angeles.
*** « Behind the Swedish Model » (Viktor Nordenskiöld/Suède/2022/76’/présenté dans la section « Démocratie et Pouvoir »).
Synopsis : « Un documentaire unique sur les coulisses du gouvernement et des décideurs suédois, leur gestion de la crise et leurs combats controversés contre la pandémie de la Covid 19 … »
Le journaliste-réalisateur suédois Viktor Nordenskiöld (°1969), titulaire d’un « master en arts », de l’ « Université des Arts dramatiques », à Stockholm, et de « bacheliers en journalisme », de l’ « Utrecht University », aux Pays-Bas, et de l’ « Aarhus University », au Danemark.
*** « Courage » (Aliaksei Paluyan/Allemagne/2021/90’/présenté dans la section « Démocratie et Pouvoir »).
Synopsis : « Maryna, Pavel et Denis appartiennent à une troupe de théâtre clandestine à Minsk, en Biélorussie. À l’occasion des élections présidentielles de 2020, ils prennent part aux manifestations pacifiques de masse, avec des milliers de personnes. Ce qui les unit, c’est l’espoir de la liberté d’expression et de la démocratie … »
Né en Biélorussie, Aliaksei Paluyan (°1989), vivant en Allemagne, depuis 2012, étudia à la « Kunsthochschule », à Kassel. Son court-métrage « Lake of Happiness » (Allemagne/2019/29′), obtint le « Prix de la meilleure Photographie » (pour Behrooz Karamizade) et le « Prix du meilleur Acteur » (pour Igor Sigov), du « Flathead Lake International Cinemafest » (« FLIC »), à Polson, aux Etats-Unis.
** Au sein de la « Compétition Vision Jeune », nous relevons la présence de :
*** « Amazonie, dans les Pas de Maufrais » (Eliott Schonfeld/France/2019/55′).
Synopsis : « En 1949, Raymond Maufrais, âgé de 23 ans, part traverser seul la Guyane. Il n’est jamais revenu de cette expédition et si un Indien Emerillon n’avait pas découvert en 1951, par un hasard miraculeux, son carnet, nous n’aurions jamais su ce qui lui était arrivé … »
** Restons en Amérique latine, avec, dans la section « Best of World Festivals », le film :
*** « Urban Danceur » (Roberto Salinas/Canada-Chili-Italie/2021/97’).
Synopsis : « À 15 ans, Alexis compte parmi les danseurs prometteurs de l’ ‘École nationale de Ballet’ de Cuba. Lorsque ses parents décident de déménager en Floride, le jeune prodige, déterminé à poursuivre sa formation, est confronté à la rudesse des méthodes américaines d’enseignement et à son sentiment de déracinement … »
** Un sujet bien plus grave, dans la section « Démocratie & Pouvoir » :
*** « Ghosts of Afghanistan » (Julian Sher/Canada/2021/89′).
Synopsis : « Alors que les talibans prennent le contrôle de l’Afghanistan et que la ‘bonne guerre’ se termine dans le chaos et la tragédie, le correspondant de guerre Graeme Smith offre un récit de première main de la tentative ratée de l’ ‘OTAN’ d’instaurer la démocratie, les droits et les libertés des femmes dans le pays … »
** Dans cette même section, plus proche de chez nous, dans un pays accueillant nombre de touristes belges :
*** « Estos Muros » (Alberto Pascual/Espagne/2021/67’).
Synopsis : « Un poème découvert sur les ruines d’un édifice situé près d’une voie fer-rée dans la Sierra de Madrid nous conduit à l’un des épisodes les plus sombres de l’histoire espagnole : celui des bagnes réservés aux prisonniers politiques républicains, sous la dictature de Franco … »
** Dans la section « Environnement », notons :
*** « Sherpeds of the Earth » (Liris Härmä/Finlande/2022/75′).
Synopsis : « Plongée dans le ‘berceau de l’Humanité', sur les rives du lac Turkana, entre l’Éthiopie et le Kenya,où des chercheurs finlandais étudient la relation du peuple Dassanetch à son environnement, à travers des contes traditionnels d’animaux … »
** Au sein de la « Compétition internationale », citons encore :
*** « On the Line, les Expulsés de l’Amérique » (Alex Gohari & Léo Mattei/France/2020/68’/film lauréat, en 2021, du "Prix du meilleur Long-Métrage", au "Festival du Prix Farel", à Neuchâtel, en Suisse).
Synopsis : « Chaque année, environ 100.000 immigrés aux Etats-Unis sont expulsés vers le Mexique. Ils ont vécu des dizaines d’années aux Etats-Unis, y ont payé leurs impôts et fondé une famille. Arrachés à leur vie quotidienne, sans recours possible, ils se retrouvent, dans une ville-frontière, où ils deviennent des travailleurs à bas salaire pour les sociétés américaines … »
*** « Children of the Mist » (Hà Lê Diem/Vietnam/2021/92′/film lauréat, en 2022, du "Prix du Projet de Changement de Perception", au "Festival Visions du Réel", à Nyon, en Suisse).
Synopsis : « Di, jeune fille de 12 ans, habite un village perdu dans la brume des montagnes vietnamiennes. Elle a de la chance, car elle fait partie de la première génération d’enfants ayant eu accès à l’éducation. Mais Di appartient à la minorité ethnique Hmong, où, traditionnellement, les femmes se marient très jeunes. Un jour, elle disparaît, victime de ‘l’enlèvement de la mariée’ … »
** Dans la section « Regards sur Bertuccelli », trois longs-métrages réalisés par Julie Bertuccelli sont programmés :
*** « Depuis qu’Otar est parti » (France-Bel./2006/102′/film lauréat, en 2004, du « César de la 1ère Oeuvre de Fiction », à Paris, du « Prix Marguerite-Duras Cinéma », à Trouville-sur-Mer, du « Grand Prix », au « FIFFS » (« Festival international du Film de Femmes », à Salé, au Maroc, et, en 2003, du « Grand Prix » & du « Grand Rail d’Or du Long Métrage », à la « Semaine de la Critique », au « Festival de Cannes »).
*** « La Cour de Babel » (France/2013/89′/film lauréat, en 2015, du « Trophée francophone du Long-Métrage documentaire », à Paris).
*** « La dernière Folie de Claire Darling » (France/2018/94′).
** En dehors des projections (infos et réservations : events@festivalmillenum.org) :
* Session de Pitching, le lundi 09 mai, de 09h jusqu’à 17h, à la « Maison Européenne Des Auteurs et des Autrices » (« MEDAA »), à Ixelles, participation via une sélection préalable.
* Quelle coordination et stratégie de distribution des documentaires ?, le mercredi 11 mai, de 16h jusqu’à 18h, en ce même lieu, cette table ronde étant réservée aux professionnels.
* Les « 5 O’Clock Meetings », les lundi 09, mardi 10 et jeudi 12, de 14h30 à 17h30, au « Café l’Ascenseur », à Bruxelles, ces réunions étant réservées aux professionnels.
Lieux de projections : à Bruxelles : « Aventure », « Palace », « Palais des Beaux-Arts » (« Bozar »), ainsi qu’à Ixelles : « CIVA » et « Vendôme ». Prix par séance : 8€ (6€, pour les moins de 25 ans et à partir de 65 ans / 5€, par membre d’un groupe de minimum 10 personnes). Prix des Pass : 25€ (5 films), 50€ (10 films) & 30€ (7 films, parmi une liste de films traitant des « SDG » ({« Sustainable Development Goals »} ou, en français, « ODD » {« Objectifs de Développement Durable »} de la manière la plus forte et la plus pertinente). Réservations, via le lien : lubomirgbn@yahoo.com (« Paypal ») ou le site web : http://www.festivalmillenium.org.
Yves Calbert.