Son de cloches suisses discordantes à la manifestation européenne du 23 janvier 2022
Dialogue entre un père et son fils
Le fils : Donc toi tu me dis qu’il y avait des dizaines de suisses qui faisaient sonner leurs cloches à cette manif de 50.000 personnes venues foutre le bordel à Bruxelles ? Elles devaient être sérieusement fêlées ces cloches, non ? Et pourquoi donc seraient-elles venues d’aussi loin, ces cloches ; et pour quoi faire ?
Le père : Fêlées, ces cloches ? Que nenni ! Elles savaient sans doute fort bien pourquoi elles venaient à Bruxelles. Pour dire quoi ? Peut-être tout simplement pour exprimer leur désarroi, leur incompréhension, leur inquiétude et leur désapprobation sur la façon dont cette pandémie est gérée un peu partout en Europe ? Qu’est-ce que j’en sais, moi ? C’est à elles qu’il fallait le demander. Il y avait de nombreux journalistes sur place. Mais, jusqu’à présent, je n’ai trouvé aucun article où on les interviewait… Bien sûr, je n’ai pas tout lu !
Et fêlées, ces cloches ? Il fallait les voir : ils avaient fière allure ces suisses. Ils devaient être pas loin d’une vingtaine, tous habillés de costumes traditionnels blancs et portant sur les épaules un lourd support en bois auquel étaient suspendues d’énormes cloches métalliques qu’ils faisaient sonner à tue-tête. Ils marchaient avec dignité, d’un pas lent de montagnard, balançant leurs cloches d’avant en arrière. Absolument magnifique.
Tiens, regarde : https://youtu.be/OqjPV60zBBc ça, c’est un petit clip vidéo que m’a envoyé une amie.
Le fils : OK, OK. Mais enfin, Papa, pourquoi tu t’énerves comme ça sur cette manif ? Tu vois bien, toutes les chaînes de télé le montrent, tous les journaux l’écrivent : ils étaient 50.000 personnes, pas de quoi « fouetter un chat », et ils ont foutu le bordel, allant jusqu’à agresser une équipe de presse, s’attaquant aux forces de l’ordre, démolissant des bâtiments de la Commission Européenne. T’es d'accord avec ça, toi ?
Le père : Non, je ne suis pas du tout en accord avec tous ces débordements, certainement pas ! Par contre, ce n’est pas 50.000 anarchistes qui ont manifesté dans les rues de Bruxelles mais pas loin d’un demi-million de citoyens pacifiques venus de la plupart des pays d’Europe !
Le fils : un demi-million ? Mais où est-ce que tu vas chercher ce chiffre-là ? Et des gens pacifiques alors que toutes les images diffusées montrent des casseurs à l’œuvre près du rond-point Schuman ?
Le père : oui, 500.000 personnes ! Et moi je pose la question : pourquoi est-ce que la police avance ce chiffre de 50.000 participants et comment ose-t-elle le faire ? Elle était bien présente sur place, la police, non ? Et elle a pu voir de ses propres yeux la foule impressionnante de personnes. Plusieurs centaines de milliers, je te dis. Les organisateurs avancent le chiffre de 500.000 manifestants. Sont-ils fous ? Ça fait quand même une énorme différence, non ? Entre 50.000 et 500.000 ! Un facteur de un à dix ! Alors, avec un tel écart, il y a bien quelqu’un qui MENT ! Qui est fou ? QUI MENT ? Et moi je te demande : pourquoi la plupart des médias (heureusement pas tous !) se contentent-ils de relayer purement et simplement la version « officielle » ? Pourquoi ?
Le fils : mais les menteurs, ce sont certainement ces organisateurs, pour la plupart des anti-vaxx et des gens d’extrême droite !
Le père : mais non, fiston. Car moi, j’y étais à cette manif ! Pour VOIR ce qui se passait et comment les choses se passaient. J’étais juché sur une sortie de métro près de la station Art-Loi, en hauteur, pour filmer le cortège. Et moi je te dis, mon ami : ce sont bien DES CENTAINES DE MILLIERS D’EUROPEENS que j’ai VU défiler sous mes yeux. Je ne suis pas fou ; je ne suis pas aveugle, je ne suis pas complètement crétin ! Combien de personnes exactement ? Impossible de le dire. Quiconque était sur place et qui est un tant soit peu honnête pourra te confirmer le nombre IMPRESSIONNANT de manifestants. Alors, je te le dis : en fin de compte, qui croire ? POURQUOI une telle différence entre les estimations ? Qui joue à quel jeu ?
La foule était composée d’adultes, d’enfants, de personnes de tous âges, certaines même en chaise roulante. Il y avait des centaines, voire des milliers de calicots avec des messages plus ou moins forts, certains sans doute discutables, certains diront « douteux »… Enfin, chacun son point de vue, non ? Mais la foule était pacifique, bon enfant. Bien sûr, comme toujours, certains groupuscules plus extrêmes étaient présents… avec des revendications moins nobles. Mais, est-ce le rôle des organisateurs de filtrer les personnes qui sont dignes ou non de prendre part à la manifestation ? Ils avaient prévu des stewards pour tenter de canaliser la foule et d’éviter les débordements. Et ils ont expliqué dans un reportage relayé en fin de journée comment les choses se sont déroulées en milieu d’après-midi dans le Parc du Cinquantenaire. Je te le montrerai dans quelques minutes. Mais je te préviens, c’est pas rigolo, non, vraiment pas…
Et donc, me voilà qui arrive au Parc du Cinquantenaire vers 14h30. A cette heure-là, à ma connaissance, on ne pouvait pas encore déplorer de heurts avec les forces de l’ordre. Mais j’ai vu, de mes yeux vu, à l’entrée du parc (près du rond-point Schuman) une bande de « plus jeunes » (combien ? dix, vingt ?) avec des cagoules et je me suis fait la réflexion que les choses allaient peut-être mal tourner…
Je ne suis pas resté pour écouter les discours, qui ne m’intéressent pas beaucoup plus que cela. J’ai donc quitté aux alentours de 14h30.
Et, malheureusement, j’ai appris plus tard que des casseurs avaient « foutu le bordel », comme tu dis, en fin de manifestation. Ils ont jeté le discrédit sur la manifestation toute entière, qui se voulait et a été pacifique jusqu’à ce qu’ils entrent en piste.
Mais ce que j’ai appris plus tard, en fin de soirée, était beaucoup plus troublant.
Tiens, regarde, voilà de larges extraits de ce reportage qui m’a été transmis par une connaissance. C’est celui d’une certaine Carin qui accompagnait Tom Meert, l’organisateur de la manifestation. Je t’invite à le lire. Je te préviens, il est dérangeant… Tu partageras peut-être mon point de vue sur le ton du message: je ne l’apprécie pas trop, on sent bien une énorme colère à peine retenue, mais je crois qu’il ne faut pas s’arrêter là, même si cela peut constituer un frein. Il faut aller au cœur de l’information. Le français n’est pas très bon : il est le résultat d’une traduction automatique par un logiciel ad-hoc.
Tiens, voilà.
ÉVÉNEMENT AFTERTHOUGHTS 23.01.2022
(…)
1. Lors du journal du matin du dimanche 23.01.2022, les radios ont annoncé que 100 000 personnes étaient attendues pour une marche de protestation contre les mesures Corona. À partir de l'après-midi, ce nombre a été réduit à 50 000. C'est le chiffre que la police aurait communiqué à la presse.
(…) En réalité, il y avait plus de 500 000 manifestants. (…) Tout le parcours entre la gare du Nord et le parc du Cinquantenaire était rempli de manifestants. De plus, alors que la tête du groupe était déjà arrivée au Cinquantenaire, il y avait encore des gens qui partaient de la gare du Nord.
Le trajet entre la gare du Nord et le parc du Cinquantenaire est long de 6 km.
(…) Le périphérique intérieur a été fermé à la circulation dans les deux sens. La manifestation s'est déroulée sur toutes les voies dans les deux sens et sur les trottoirs des deux côtés ainsi que sur les 4 voies de la longue Belliardstraat et enfin sur toutes les rues latérales jusqu'à l'entrée principale du parc du Cinquantenaire.
Selon nos informations, le parc du Cinquantenaire peut accueillir 1,4 million de personnes. La section entre l'entrée principale et les arcades était bondée et la place derrière l'Arc était également bondée de monde. (…)
2. La presse a annoncé (…) que la manifestation était une "démonstration corona". Ce n'était pas le cas. C'était une marche pour la liberté, la démocratie et les droits de l'homme. (…). Nous avons (…) été sévèrement accusés d'être des hooligans et des émeutiers, alors que ce n'était et n'est absolument pas le cas.
Les intervenants qui ont pu prendre la parole ont également tous été dépeints comme des anti-vaxx extrêmes et des personnes coupables de formes extrêmes de désinformation. (…) Pas un seul mot de ce que les différents intervenants ont dit n'a été diffusé. (…) Les orateurs internationaux n'ont pas été entendus (…). Le maire Philippe Close a arrêté la manifestation vers 15h30 car il y avait des émeutes à l'EXTERIEUR du parc et a ordonné à la police administrative (robocops) d'évacuer le parc immédiatement avec des canons à eau et des gaz lacrymogènes.
Par "coïncidence", cela s'est produit juste avant le début de la deuxième partie des discours des orateurs internationaux.
Tom et moi avons parlé au représentant de la police. J'ai demandé de fermer le parc et de protéger les manifestants. Cette demande a été refusée. Puis j'ai demandé à ce qu'on nous donne une demi-heure de plus". Cette demande a également été refusée. "Je ne suis qu'un messager", a dit l'homme, "le parc doit être libéré par le maire, vous avez le choix, soit vous quittez NOW volontairement, soit nous vous écraserons tous avec des canons à eau et des gaz lacrymogènes, avec une lourde amende en plus".
Comme il n'y avait rien à dire, nous avons accepté la décision. La sécurité des participants est primordiale. Je suis monté sur scène, j'ai attendu que le chanteur qui interprétait une chanson ait terminé, puis j'ai annoncé la fin de l'événement, je lui ai demandé de partir et je lui ai fait remarquer que celui qui restait le faisait à ses propres risques.
Cependant, on ne nous a pas laissé le temps de partir tranquillement. Les canons à eau ont continué à avancer jusqu'à 50 mètres de la scène où se trouvait l'équipement sonore coûteux (loué). Nous avons dû démonter la scène avec 30 personnes en 7 fois afin de ne pas subir de dégâts d'eau.
Le président de la branche allemande de WWD s'est avancé avec trois hommes, les bras en l'air (en signe de reddition) dans l'intention de ralentir les canons à eau. Il a été littéralement projeté à l'envers par un canon à eau dirigé vers lui et s'est blessé au dos.
La police administrative a été extrêmement agressive envers les manifestants pacifiques. Des gens ont été frappés à coups de matraque parce qu'ils ne s'étaient pas enfuis assez vite vers la seule sortie latérale par laquelle on pouvait encore sortir du parc. La violence était totalement disproportionnée.
3. Annelies Verlinden a proclamé dans les médias qu'elle était en colère.
" Il ne s'agit pas d'une manifestation corona mais de pure violence" a-t-elle déclaré.
(…)
Elle n'a pas pu se résoudre à dire honnêtement qu'environ 500 000 personnes avaient rejoint pacifiquement une manifestation pour la liberté, la démocratie et les droits de l'homme. Un signal clair que le peuple en a assez. Non seulement en Belgique, mais aussi dans 60 villes de nombreux pays où de nombreuses personnes sont également apparues pour réclamer leurs libertés. (…)
4. Il y a aussi quelque chose à dire sur le parcours de la promenade en direction du parc du Cinquantenaire: sur le périphérique intérieur de Bruxelles (à la moitié de la marche) sont soudainement apparus de nulle part (…) environ 20 hooligans habillés de noir avec des bandanas noirs devant le visage. Avec les gillets jaunes de France, ils ont marché devant nous. Nous avons délibérément retenu le cortège pour créer une certaine distance et faire comprendre qu'ils ne nous appartenaient pas.
Je savais que ces types (…) allaient faire du grabuge et j'ai explicitement demandé au policier en civil qui se trouvait en tête du cortège avec nous (D.) de prendre des mesures préventives pour sauvegarder les participants pacifiques. Elle a été refusée. "Nous ne pouvons rien faire parce qu'ils n'ont encore rien fait", a-t-il déclaré. Et encore : "Ce sont des anarchistes, nous les connaissons, nous les surveillons. Et c'est ce que nous avons dû supporter. (…)
Peu de temps après, trois hommes de forte corpulence, entièrement vêtus de noir avec un bandana noir devant le visage, sont passés juste à côté de moi (je marchais à l'avant du cortège pour garder un œil sur tout).
J'ai demandé à l'un d'eux ce qu'il faisait là et pourquoi il se couvrait le visage d'un bandana noir. Il m'a ignoré. J'ai continué à lui parler et je lui ai indiqué que je continuerais à le suivre et que s'il faisait un pas de travers, je saurais comment le retrouver. Soudain, il s'est éloigné de moi et a marché juste à côté de l'équipe des médias de la VRT ! (En tête du cortège, il y avait des journalistes de presse de nombreux pays). Stefan, chef de l'équipe de sécurité (un membre de l'équipe avec une mémoire phénoménale) m'a dit : "Carine, ces gars-là étaient aussi à Terkamerenbos. Ils appartiennent à l'équipe de la VRT". Lorsque j'ai levé les yeux, j'ai effectivement vu les 3 "hooligans" parler au journaliste de la VRT. Je ne me suis pas laissé faire, je me suis approché d'eux et je me suis à nouveau adressé à eux : "Ah donc, vous êtes de la presse, vous venez ici habillé en hooligan pour donner l'impression qu'il y a des émeutiers qui accompagnent la manifestation ! ", ce à quoi l'ingénieur du son de la VRT m'a répondu en souriant : " oui, et alors, c'est autorisé, n'est-ce pas ? " (…)
Dès leur arrivée dans le parc du Cinquantenaire, tous les participants se sont immédiatement dirigés vers l'avant où se trouvaient la scène et les nombreux stands (et les toilettes Dixie). Europeans United l'avait très bien organisé et y avait investi beaucoup d'argent, avec le soutien financier de sponsors (…).
Il y avait une grande ambiance. Outre les discours, il y avait aussi des chants et des danses.
Vers 15h30, nous avons soudainement vu à l'extérieur du parc (à environ 250 m) une grande quantité de fumée blanche. Nous avons reçu un message disant qu'il y avait des émeutes à l'extérieur du parc. Nous avons demandé à la police d'isoler l'entrée principale du parc afin que notre manifestation ne soit pas compromise. Cette demande a été refusée. Pourtant, la police aurait parfaitement pu se positionner devant l'entrée du parc pour protéger les manifestants afin que nous puissions continuer pacifiquement, mais... Ils ne l'ont pas fait. Au contraire, ils ont délibérément fermé toutes les rues du quartier afin que ceux qui voulaient partir ne puissent le faire que par ... l'entrée principale du parc du Cinquantenaire. Ils ont littéralement chassé les émeutiers dans le parc.
5. Les émeutes ont à nouveau été mises en scène dans leur force et leur ampleur et ont été clairement provoquées.
Oui, des anarchistes étaient présents, mais ils n'étaient pas "environ 200" comme l'a prétendu la presse. Ils étaient à peine 20-30. On peut le voir très clairement sur les images en continu de beaucoup d'entre eux. Très étrangement, Youtube a supprimé tous les flux. Nous n'avons pu en télécharger qu'un seul qui donne une image claire de ce qui s'est exactement passé À L'EXTÉRIEUR du parc. Cependant, le streaming n'est pas complet. Le temps que le streamer (qui streamait sur la scène) sorte du parc du Cinquantenaire, les rues d'entrée étaient déjà tendues de barbelés et les rues étaient remplies de robocops.
La question de savoir quand tout cela a été mis en place (…) et pourquoi, et qui ou quoi a provoqué les émeutes, reste ouverte. Aucune annonce n'a été faite à ce sujet par la police. La seule chose que l'on voit au début de la deuxième partie du streaming est une dizaine de hooligans qui brisent les fenêtres d'un bâtiment commercial. Les images montrent clairement que les hooligans ont été littéralement chassés dans le parc. Ils n'avaient pas d'autre issue. Toutes les rues ont été fermées. Ils ne pouvaient sortir que par l'entrée principale du parc. Il s'agissait d'un acte stratégique délibéré de la part de la police administrative. De cette façon, ils pouvaient également chasser tous les manifestants pacifiques du parc, tandis que ces centaines de milliers de personnes ne faisaient rien du tout.
Le streaming montre également que de nombreux policiers déguisés en hooligans circulent dans le parc (…). Nous voyons deux hooligans vêtus de noir avec un bandana noir devant le visage qui traînent de force deux autres "hooligans" hors du parc (arrestation). De nombreuses autres images que j'ai reçues entre-temps (et qui circulent sur Twitter) montrent que deux hooligans habillés en noir s'approchent d'une rangée de robocops qui a été mise en place et s'écartent pour laisser passer leurs collègues habillés en hooligans.
Par pure coïncidence, la presse était massivement présente sur les lieux des émeutes à l'extérieur du parc et ... Par pure coïncidence, ils avaient tous des masques à gaz avec eux (et sur eux) afin de pouvoir filmer l'événement.
Le maire Close autorise les manifestations parce qu'il s'agit d'un droit constitutionnel, mais chaque fois, vers 15h30-16h00, des émeutes éclatent dans des endroits spécifiques, loin des grandes masses, et Close s'en sert pour interdire la manifestation et évacuer le lieu par la force, alors qu'il sait que les manifestants sont très pacifiques. Il est de son devoir de protéger les citoyens pacifiques et de les préserver des attaques des émeutiers, mais il ne le fait pas. Il utilise des émeutes provoquées et mises en scène comme une excuse pour chasser tout le monde par la force. Il n'est pas de bonne foi. Et Annelies Verlinden non plus. Le fait qu'elle qualifie toujours chaque manifestation de "pure violence" et qu'elle qualifie tous les manifestants d'extrême droite, de violents et de menteurs coupables de désinformation (…) en dit suffisamment sur les intentions réelles de cette dame.
Le père : alors, voilà, c’est un peu « trash » comme vous dites aujourd’hui, non ? On peut en reparler quand tu veux et si tu veux. Et si tu as des doutes sur les supposées provocations par des hooligans infiltrés par les forces de l’ordre elles-mêmes tu peux ouvrir sur ton smartpone le lien suivant https://www.businessbourse.com/2021/11/24/scandale-en-belgique-des-flics-en-civil-avec-leur-matraque-ont-casse-le-pare-brise-de-leur-propre-vehicule-cest-quoi-encore-ce-bordel-ils-veulent-porter-le-chapeau-aux-citoyens/ : il t’envoie vers une petite séquence filmée par un participant à la manifestation du 21 novembre dernier et qui MONTRE très clairement une partie du scénario. Très dérangeant. Sommes-nous encore en Belgique ? Ou en Biélorussie ? Ou en Allemagne dans les années qui précèdent le déclenchement de la 2e guerre mondiale ?
Pour conclure, tu me demandais tout à l’heure pourquoi ces Suisses étaient venus à Bruxelles ? Peut-être simplement pour donner un autre son de cloche à tout ce qui se passe ? Pour qu’émerge un peu plus de vérité et de transparence ?
Et moi je vois dans ce reportage une OPPORTUNITÉ : celle d’entamer un débat ouvert et contradictoire. En espérant que la presse relaye tous azimuts cette information d’une façon ou d’une autre.
Rêve naïf d’un vieux dinosaure sclérosé et dépassé par les événements ?
Thomas C. Vanbellinghen, Bruxelles