69è "BRAFA Art Fair", à "Brussels Expo", jusqu'au 04 Février

écrit par YvesCalbert
le 28/01/2024

« Je voulais peindre un tableau fabuleux dans lequel je vivais, dans lequel je pouvais vivre ».

Ces mots de Paul Delvaux (1897-1994), nous les trouvons écrits sur le mur d’accueil de l’espace dédié à la  « Fondation Delvaux » (N° 138), créée, à la demande de l’artiste, en 1979, invitée d’honneur de la 69è « BRAFA »  (« BRussels Art FAir »), à l’occasion du 30è anniversaire du décès du célèbre peintre belge, s’inscrivant, également , dans l’ « Année du Surréalisme », marquant les cent ans du « Manifeste du Surréalisme » (1924), édité par André Breton (1896-1966).

Au sein de cet espace, où d’anciens bancs de quai de gares nous permettent de récupérer quelque peu, nous pouvons admirer, outre 4 projets, 6 huiles sur toiles : « Chrisis » (1967), « Coiffeur pour Dames » (1933), « La Gare forestière » (1960), « La Mise au Tombeau » (1957, exposé avec son projet de 1953), « La Vénus endormie » (1932, avec trois projets, en fusain sur papier) & « Le Canapé vert » (1941), des oeuvres que nous pourrons retrouver au « Musée Paul Delvaux », à Sint-Idesbald– Koksijde, dès sa réouverture, le samedi 30 mars.

Si, bien sûr, ces œuvres ne sont pas mises en vente. Par contre, nombre d’exposants nous permettent de nous procurer des aquarelles, des estampes ou des peintures de Paul Delvaux, notamment « Nu dans l’Atelier »  (« Galerie Jean-François Cazeau »/Paris) ; « La Fin du Voyage » (1968), par l’ « Opéra Gallery » (Genève) ;  « Femmes devant la Mer » (1928) et « L’Eté » (1963) chez « Francis Maere Fine Arts » (Gent), « La Danse macabre » (1934), chez « Harold t’Kint de Roodenbeke » (Bruxelles), « Deux Femmes » (1950), sur le stand de la  « Galerie Oscar De Vos » (Laethem-Saint-Martin), « L’Annonciation » (1952) chez « Van Herck-Eyckelberg »  (Antwerpen), « La Tente rouge » (1966), présenté par la « Galerie Taménaga » (Paris), ainsi qu’ « Alésia ou les Captives » (1973), montré par « Guy Pieters Gallery » (Knokke).

Revenons à la « Fondation Paul Delvaux », pour signaler que sa directrice, Camille Brasseur, présentera, le mardi 30 janvier, à 16h, sa conférence « Paul Delvaux. De l’Aube claire jusqu’à la Fin du Jour » (en français), au sein de l’espace voisin, dédié à la « Fondation Roi Baudouin » (N° 137).

Concernant sa conférence, Camille Brasseur écrit : « Ce sera l’occasion de mettre en lumière la récurrence de thèmes chers à l’artiste et d’établir des liens entre les œuvres méconnues de ses débuts et les pièces maîtresses. Cet itinéraire invite à aller à la découverte de l’œuvre autant que de l’homme, l’un n’allant pas sans l’autre. »

Soulignons encore que la "Fondation Paul Delvaux" nous présente, aussi, une vidéo de promotion, pour l'exposition "Les Mondes de Paul Delvaux", scénographiée par "Tempora", qui sera organisée à "La Boverie", à Liège, du vendredi 04 octobre 2024 jusqu'au dimanche 16 mars 2025.

En dehors de son stand, mais toujours à la « BRAFA », nous retrouvons la « Fondation Paul Delvaux » sur le stand de la « Royal Chamber of Art Dealers » (N° 052), qui a reçu, en prêt jusqu’au dimanche 04 février, outre 4 oeuvres de Paul Delvaux – « La Terrasse » (1979), « La Robe mauve » (1946), « Les Adieux » (1964), « Etude Squelette »  (1949) -, un squelette, « Oscar », qui se trouvait dans son atelier de Boitsfort, ainsi que, sous vitrines, plusieurs  carnets de croquis et une illustration inédite pour un « Château Mouton Rotchild » (1985), ainsi que nombre d’objets lui ayant appartenus : képi et sifflet de sous-chef de gare, wagons et rails miniatures, un timbre-poste belge (1963), …

Saluons au passage la fort belle scénographie, dédiée à Paul Delvaux, avec de grands nuages, rails de trains &  éléments de peintures suspendus, créés en 3 dimensions, ainsi qu’une installation d’oyats et de sable, sans oublier le tapis de sol, en nylon recyclé, créé selon le dallage peint par l’artiste, dans « L’Hiver » (1958), une toile conservée aux « Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique ».

Arrivé au sein de l’espace de la « Fondation Roi Baudouin », notre attention est attirée par un film d’animation,  réalisé en « servaisgraphie » – projeté en boucle, sur un grand écran – « Papillons de Nuit » (Raoul Servais & Paul Delvaux/ Belgique/1997/8’/film lauréat, en 1998, du « Cristal du meilleur Court-Métrage » et du « Prix de la Critique internationale Fipresci », au « Festival international du Film d’Animation« , à Annecy), une étude de vols de papillons et six celluloïds utilisés pour ce dessin animé étant exposés.

Ayant apprécié ce double hommage – à Paul Delvaux et au réalisateur ostendais Raoul Servais (1928-2023),  pionnier du cinéma d’animation, qui remporta, en 1979, pour « Harpya », la « Palme d’Or du Court-Métrage », au  « Festival de Cannes », un « Magritte d’Honneur », lui étant décerné en 2019 -, nous admirons une huile sur toile marouflée de Fernand Khnopff  (1858-1921) : « Portrait de Margueritte » (1887), un portrait de sa soeur, en dépôt aux « Musées Royaux des Beaux-Arts », présentée pour la première fois à la « BRAFA ».

Une étonnante série de 22 collages, dessins & textes, réalisés pour la « Revue du Vendredi », créée à l’initiative du poète belge francophone Paul Colinet (1898-1957), qui, chaque vendredi, entre novembre 1949 et octobre 1951,  envoyait ce magazine à son neveu, le dessinateur Robert Willems (1926-2011), résidant au Congo belge, qui retrouvait ainsi le travail d’artistes surréalistes belges, dont Pierre Alechinsky, Marcel  Broodthaers, Christian  Dotremont, Marcel Mariën & Louis Scutenaire, acquis en 2012, auxquels se sont ajoutés, en 2021, deux textes,  chacun avec une avec une illustration, de René Magritte, tous étant en dépôt au « Cabinet des Estampes de la KBR ».

Au sein de ce même espace, nous découvrons deux versions (1977 & 1983) de « La Dame au Pantin »  (1977& 1983) et six marginalia (crayon, pastel & pointe sèche), dont « La Femme au Trapèze » (1882), de Félicien Rops  (1833-1898), en dépôt au « Musée provincial Félicien Rops », à Namur.

A noter encore la présentation du plus ancien saxophone baryton connu (1846) d’Adolphe Sax (Antoine-Joseph Sax /1814-1894), acquis en 2019, en dépôt au « MIM » (« Musée des Instruments de Musique », à Bruxelles, et une  bague rosace (1670-1680), en émail & or, décorée de diamants, porteuse d’un portrait hyper miniature, sans oublier un vase en majolique, avec un décor mythologique, Neptune, trident à la main, chevauchant une créature marine, en dépôt au « Musée des Beaux-Arts et de la Céramique », à Verviers.

Au sein de ce même espace, 5 autres conférences sont programmées, toujours, à 16h :

- « Musée Hof van Busleyden à Mechelen : repenser l’exposition permanente » (en anglais), par Hannah Thijs,  responsable des Collections & Expositions, le dimanche 28 janvier.

- « Plus que l’Oeil ne peut voir » (« Mécénat pour la Sauvegarde du Patrimoine et Entreprenariat social » (en néerlandais), par David Lainé, « senior partner painting conservation & research », à l’ « IPARC » (« International Platform for Art Research & Conservation »), le mercredi 31 janvier.

- « Mécénat pour la Sauvegarde du Patrimoine et Entreprenariat social » (en néerlandais), par Ann Van Laere,  notaire & présidente de « Pasfoundation » et Mathi Gijbels, président de « Gijbels Groep & Partenaire Pasfoundation », le jeudi 01 février.

- « Partenariats public/privé, dans le Secteur des Arts visuels » « Musée Hof van Busleyden à Mechelen : repenser l’exposition permanente » (en anglais), par Hannah Thijs, responsable des Collections & Expositions, le dimanche 28 janvier., par Annick Schramme, professeur à l’ « Univiversiteit Antwerpen » & à l’ « Antwerp Management School », Liliana Turoiu, docteur en Arts visuels & esthétique, Kim Oosterlinck, professeur à la « Solvay Brussels School of Economics and Management », et Anne –Sophie V. Radermecker, professeur associé à l’ « ULB », le  vendredi 02 février.

- « Où commence et où se termine l’Authenticité d’une Oeuvre d’Art » (en français), par Eric Hemeleers,  « Managing Partner » d’ « Eeckman Art & Insurance », en conversation avec Marc Hemeleers, directeur d’« Eeckman Art & Insurance », Michel Draguet, haut-commissaire au Patrimoine Fédéral, Nicolas Lemmens,  directeur du « Nicolas Lemmens Studio » et Alain Berenboom, avocat, le samedi 03 février.

- « L’Intelligence artificielle et l’Art : à la Croisée des Chemins » (en français), par Amid Faljaoui, directeur de  « Trends-Tendances » & chroniqueur économique à la « RTBF », en dialogue avec Laurent Alexandre, auteur,  docteur en médecine & chirurgien, Guy van Wassenhove, conservateur du « Fonds Baillet Latour », Jacques  Englebert, avocat (spécialisé en droit des médias) & professeur à l’ « ULB » et Louis de Diesbach, de la « Solvay Brussels School ».

Pour cette 69è édition, la « BRAFA » accueille, sur une superficie de 21.000 m2, 132 Galeries, issues de 14 pays  (Allemagne, Autriche, Danemark, Emirats Arabes Unis, Espagne, France, Grèce, Italie, Japon, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suisse & Belgique), une petite centaine d’experts internationaux devant contrôler l’authenticité de 10.000 à 15.000 objets proposés à la vente, sur une surface de 21.000 m2.

Si près de 70.000 visiteuses et visiteurs sont attendus à la « BRAFA », notons que parmi les visiteuses et visiteurs de marque, nous retrouvions l’acteur français Christian Clavier, à l’occasion de la « preview » de ce dernier jeudi 25 janvier, et Sophie Wilmès, notre ancienne première ministre, le vendredi 26.

Parmi les exposants, nous avons aimé :

** « Galerie Marc Maison » (Saint-Ouen-sur-Seine/N° 094), présente pour la première fois à la « BRAFA », nous propose un ensemble unique d’un rez-de-chaussée de 30 m2 de superficie pour 3,80 mètres de hauteur, créé, en 1903, en style « Art nouveau », par Victor Horta (1861-1947), .avec des boiseries en bois précieux et exotiques, du bronze, du chêne, du cuir, de l’érable ondé, du marbre rouge belge, des statuettes (en plâtre doré) de Pierre Bracke (1858-1938), des tentures de la maison lyonnaise « Prelle », une verrière & des vitraux, le tout ayant été réalisé pour la famille Deveterre-Bonnet, issue de la bourgeoisie industrielle de Kortrijk, avant d’être démonté en 1975.

** « Galerie Flak » (Paris/N° 092) : une intéressante présentation d’une trentaine de statuettes  amérindiennes  « Hopi », en provenance de l’Arizona, ainsi que des masques et bois sculptés nous venant de la Côte d’Ivoire, des Fidji, du Gabon, du Mali, du Nigeria, de la Nouvelle Calédonie, de la Papouasie-Nouvelle Guinée & de la  République Démocratique du Congo, sans oublier la présence de l’art eskimo de l’Alaska.

** « Galerie Kevorkian » (Paris/N° 034) : d’une grande finesse de traits, nous trouvons, en gouache et or sur papier , de petites oeuvres indiennes, représentatives de l’art moghol (1528-1858), aussi bien qu’originaires de la dynastie perse (actuel Iran), l’encre s’ajoutant à la gouache et l’or, de semblables petites oeuvres, représentatives de l’art safavide (1501-1722).

** « Galerie Ary Jan » (Paris/N° 001), présente à la « BRAFA » depuis 15 ans : notre coup de coeur pour les  marines d’un artiste français peu connu, Amédée Julien Marcel Clément (1873-?), qui aime utiliser une grande variété de gris et de bleus, qu’il entrecoupe savamment de blancs et crèmes, pour évoquer la texture miroitante du ciel et de l’eau. Aussi, outre des objets créés en métaux précieux (argent, aventurine, cristal de roche, jaspe, labradorite, lapis-lazouli, onyx, …), par l’artiste français « Goudji » (Guy Georges Amachoukeli/°Bordjomi/1941),  nous découvrons des oeuvres nous venant de Vallauris, de Jean Marais (1913-1998), d’une part, avec son « Lion Soleil », sculpté en bronze, qui fut remis, en 1991, comme « Prix Jean Marais », à l’acteur français Christian Godon  (°Valence/1961), 517è sociétaire de la « Comédie fançaise », et, d’autre part, de Pablo Picasso (1881-1973), avec l’une de ses céramiques.

** « Galerie Hioco » (Paris/N° 039) : nous y sommes accueillis par de nombreux Bouddha (tête ou de plain-pied), nous venant de Thaïlande, des périodes Ayutthaya, Lop Buri et Sukhothaï, l’hindouisme étant également présent, en provenance de différentes régions de l’Inde, ces pièces étant sculptées en bronze, en grès ou en pierre noire.

** « Huberty & Breyne » (Bruxelles-Paris/N° 054), qui – outre des planches classiques de BD, d’André Franquin  (1924-1997), d’ « Hergé » (George Remi/1907-1983), de « Jijé » (Joseph Gillain/1914-1980), de Raymond  Macherot (1924-2008), de Jacques Martin (1921-2010)., de « Moebius » (Jean Giraud/1938-2012), de Jacques Tardi (°Valence/ 1946) & de Maurice Tillieux (1921-1978) – nous présente des peintures et sculptures du célèbre  « Chat », créé par Philippe Geluck (°Bruxelles/1954), présent à la « BRAFA », ce dernier vendredi 26 janvier, alors que ses sculptures du « Chat » peuvent toujours être (re)découvertes dans une allée du « Parc Royal », jusqu’au dimanche 11 février. Mais revenons à la « BRAFA », sur ce même stand, pour admirer les toiles de François Avril  (°Paris/1961), Jean-Claude Götting (°Paris/1963), « Loustal » (Jacques de Loustal/°Neuilly-sur-Seine/1956) &  François Roca (°Lyon/1971), Jacques Barbier de Preville (°Port-Vila/1965), soignant la scénographie du lieu, avec  ses montages artistiques valorisant la bande dessinée.

** « Galerie Harold t’Kint de Roodenbeke » (Bruxelles/N° 003), le stand du président de la « BRAFA » : avec des  oeuvres de Karel Appel (1921-2006), Paul Delvaux, Jean-Michel Folon (1934-2005), Keith Haring (1958-1990), Le Corbusier (Charles-Édouard Jeanneret-Gris/1887-1965), Constant Permeke (1886-1952), Léon Spilliaert (1881-1946), Rik Wouters (1882-1916), …, ainsi qu’une approche de la bande dessinée, avec 3 planches originales d’« Hergé » et une de Jacques Martin.

** « Francis Maere Fine Art » (Gent/N° 040), le stand du vice-président, section Art contemporain & moderne, de la « BRAFA », qui nous présente des oeuvres de Pol Bury (1922-2005), Emile Claus (1849-1924), Paul Delvaux,  Christian Dotremont (1922-1979), Jean-Michel Folon, Constant Permeke, Léon Spilliaert, Théo Van Rysselberghe   (1862-1926) & Rik Wouters.

** « Galerie Costermans & Pelgrims de Bigard » (Bruxelles/N° 017), la « Galerie Costermans »; fondée en 1839, nous propose une peinture de Pierre Brueghel l’Ancien (vers 1525-1569) et un choix de mobilier.

** « Galerie Hadjer » (Paris/N° 132), présente pour la première fois à la « BRAFA », qui met en valeur cinq immenses tapisseries de Fernand Léger (1881-1955) – où fusionnent l’abstraction et le cubisme – réalisées en laine, dans les années 1950, en collaboration avec les ateliers d’Aubusson.

** « De Jongkheere » (Genève/N° 30), fondée en 1976, à Bruxelles, avant d’émigrer, en 1983, à Paris, et, depuis 2011, au sein du quartier historique de Genève, nous propose des oeuvres de Pierre Brueghel le Jeune (1564-1636), Paul Delvaux, René Magritte (1898-1967) & David Teniers le Jeune (1610-1690),

** « Willow Gallery » (London/N° 017) : avec des oeuvres de Bernard Buffet (1928-1999), Marc Chagall (1887-1985) , Salvatore Dali (1904-1989), Raoul Dufy (1877-1953), Pierre-Auguste Renoir (1841-1919) & Maurice Utrillo (1883-1955).

** « Boon Gallery » (Knokke-Heist/N° 026) : parmi les peintures présentées, notons « La Calle » (2010/Fernando Botero), « Célébration du Nu vert » (1981-1982/Marc Chagall), « L’Homme à la Toque » (1956/Jean Dubuffet), « La Ville Lunaire » (1944/Paul Delvaux), « L’Ecole buissonière » (1946/René Magritte), en n’oubliant pas une sculpture  de  Giorgio De Chirico (1988-1978) : « Gli Archeologi » (1986).

** « Opera Gallery » (Genève/N° 107) : nous présente des oeuvres de Karel Appel, Fernando Botero (1932-2023),  Paul Delvaux, Juan Genoves Candel (1930-2020) & Niki de Saint Phalle (Catherine de Saint-Phalle/1930-2002).

Vice-président de la « BRAFA », section arts non-européens, Didier Claes, tient à nous dire : « Pour cette édition, nous voulions assurer une grande diversité de spécialités et rester proche de l’ADN de la Foire, qui est à la base une foire d’antiquaires. De ce fait,(nous présentons) un juste équilibre entre les différents domaines proposés. A travers cette dynamique, nous souhaitons attirer un public regroupant plusieurs générations. »

A Viviane Eeman, pour « Paris-Match », Beatrix Bourdon, « Managing Director », confiait : « Nous avons tablé sur un meilleur éclectisme, avec plusieurs nouvelles Galeries spécialisées en art ancien, par ce que ces dernières années, ii y avait une tendance évolutive vers l’art contemporain. En revanche, nous conservons notre disposition du plan de sol, qui mêle les secteurs, afin que le visiteur puisse découvrir des spécialités auxquelles il ne s’attendait pas et avoir un coup de coeur dans un autre domaine. »

Ouverture : jusqu’au dimanche 04 février, de 11h jusqu’à 19h, le jeudi 1er février jusqu’à 22h. Prix d’accès (incluant le plan des Palais 3 & 4) : 25€ (10€, de 16 à 26 ans / 0€, pour les moins de 16 ans. Catalogue (Ed. « Delen Bank »/ cartonné/368 p.) : 20€. Prix combinés : 35€, pour 1 entrée & 1 Catalogue / 60€, pour 2 entrées et 1 catalogue.  Consigne : 3€ par pièce. Parking C (incluant les navettes électriques vers et au départ du Palais 2) : 12€. Métro : à 400 m du Palais 2. Interdits : animaux, sacs à dos, parapluies & prises de photographies sans l’accord de la/du galeriste. Contacts : 02/513.48.31 & info@brafa.be. Site web : https://www.brafa.art/fr.

Pour les visiteurs qui sont à la recherche de voyages, signalons que le 65è « Salon des Vacances » sera ouvert – du  jeudi 01 jusqu’au dimanche 04 février, de 10h à 18h -, sur le site de « Brussels Expo », le Maroc étant le pays mis à l’honneur, l’entrée étant prévue au « Palais 5 », jouxtant la « BRAFA ». Ste web :  http://www.salondes vacances.eu.

Yves Calbert.

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