1er "Love international Film Festival" (38è Festival de Cinéma de Mons), du 10 au 18 Mars

écrit par YvesCalbert
le 25/02/2023

Pour la 38è fois, tous ceux qui apprécient le Cinéma, seront heureux de se retrouver à Mons, pour un Festival, qui, pour la première fois, s’intitule « Love international Film Festival » (« LIFF »), lui qui fut créé sous le nom de  « FIFA » (« Festival International du Film d’Amour »), avant de devenir le « FIFM » (« Festival International du Film de Mons »).

Au programme, nous comptons 79 films (62 longs métrages 17 courts), issus de 25 pays35 étant des  « Premières » belges126 séances étant prévuesdont 34 scolaires, plus de 100 professionnel.le.s  (acteurs.trices,  réalisateurs.trices, scénaristes, …) étant attendu.e.s dans la capitale du Hainaut.

Le vendredi 10 mars, à 20h, le « Gala d’Ouverture » se déroulera au « Théâtre royal », avec, à l’affiche :

*** « Quand tu seras grand » ( Andréa Bescond & Éric Métayer/Fra./2022/99′)

Synopsis : « Yannick est aide-soignant dans une maison de retraite. Entre pression permanente et restrictions budgétaires, il fait face aux manques de moyens avec une bonne humeur contagieuse. Mais lorsqu’on lui impose de partager le réfectoire avec une classe d’enfants, la situation se complique. Leur arrivée ainsi que celle de son animatrice, Aude, va bousculer joyeusement le quotidien de tous … »

En ce même lieu de prestige, les Prix seront remis durant le « Gala de Clôture », qui prendra place, le samedi 18 mars, à 20 h, précédant la projection de :

*** « Armageddon Time » (James Gray/USA/2022/115’/film présenté, en 2022, au « Festival de Cannes », mais qui, curieusement, ne sera pas distribué en Belgique)

Synopsis : « L’histoire très personnelle du passage à l’âge adulte d’un garçon du Queens, à New York, dans les années 80, de la force de la famille et de la quête générationnelle du rêve américain …« 

A noter que le cinéaste new-yorkais James Gray (°1969) a remporté, en 1994, le « Lion d’Argent du meilleur Réalisateur » de la « Mostra de Venise », le « Prix de la Critique », du « Festival du Cinéma américain », à  Deauville, et le « Grand Prix de l’UCC » {« Union de la Critique de Cinéma »}, à Bruxelles, pour « Little Odessa »  (1994), Vanessa Redgrave ayant reçu la « Coupe Volpi du meilleur second Rôle féminin », à la « Mostra de Venise ».

Compétition internationale (dix films) :

*** « A mon seul Désir » (Lucie Borleteau/Fra./2022/117′)

Synopsis : « Vous n’avez jamais été dans un club de strip-tease ? Mais vous en avez déjà eu envie, … au moins une fois … Suivons quelqu’un qui a osé … »

*** « Before I change my Life » (Trevor Anderson/Canada/2022/89′)

Synopsis : « Alors que les autres élèves se demandent si le petit nouveau, Robin, est un garçon ou une fille, Robin noue un lien compliqué avec la brute de l’école et fait des choix de plus en plus dangereux pour s’intégrer … »)

*** « Chien blanc » (Anaïs Barbeau-Lavalette/Canada/2022/96’/film basé sur le roman éponyme de Romain Gary)

Synopsis : « Aux Etats-Unis, le pays explose sous les tensions raciales après l’assassinat de Martin Luther King. Romain Gary et sa femme, Jean Seberg, accueillent chez eux un chien abandonné, dressé exclusivement pour attaquer les Noirs : un ‘Chien blanc’. Romain, humaniste et amoureux des animaux, refuse de le faire euthanasier, au risque de mettre en péril l’équilibre de sa relation avec Jean, militante pour les droits civiques et très active au sein des ‘Black Panthers’ … »

*** « El Agua » (Elena Lopez Riera/Esp.-Fra.-Sui./2022/104′)

Synopsis : « C’est l’été, dans un petit village du sud-est espagnol. Une tempête menace de faire déborder à nouveau la rivière qui le traverse. Une ancienne croyance populaire assure que certaines femmes sont prédestinées à disparaître à chaque nouvelle inondation, car elles ont ‘l’eau en elles’. Une bande de jeunes essaie de survivre à la lassitude de l’été, ils fument, dansent, se désirent … » 

*** « Le Cours de la Vie » (Frédéric Sojcher/Fra./2023/90′)

Synopsis : « Noémie, scénariste expérimentée, retrouve Vincent, son premier amour de jeunesse dans l’école de cinéma dont il est désormais directeur. A travers une ‘master-class’ hors norme où l’intime côtoie l’universel et la réalité flirte avec la fiction, Noémie va apprendre à Vincent et ses élèves que l’art d’écrire un scénario c’est l’art de vivre passionnément … »

*** « Le Paradis » (Zeno Graton/Bel.-Fra./2022/88′)

Synopsis : « Placés dans un centre de redressement pour mineurs, un lieu régi par l’ordre et la discipline, Joe et William tombent amoureux. Pour s’aimer, ils devront transgresser la loi … »

Notons que, pour son court métrage « Mouettes » (2013), Zeno Graton remporta le « Bayard d’Or du meilleur Court Métrage » , au « FIFF » (« Festival International du Film Francophone »), à Namur, ainsi que le « Coruja d’Or du meilleur Court Métrage », au « FICBC » (« Balneario Camboriu International Film Festival »), au Brésil.

*** « Luxembourg-Luxembourg » (Antonio Lukich/Ukraine/2022/105′)

Synopsis : « Deux frères jumeaux doivent faire face à la disparition de leur père. Alors que l’un d’eux décide de suivre sa voie en tant qu’escroc, l’autre devient flic. Un jour, ils découvrent que leur père disparu depuis longtemps vivrait au Luxembourg … »

*** « River of Desire » (Sérgio Machado/Brésil/2022/108′)

Synopsis : « Lorsqu’il tombe amoureux de la belle et mystérieuse Anaíra, Dalberto arrête de travailler comme policier et devient marin. Le couple vit dans la maison que Dalberto partage avec ses deux frères, au bord du Rio Negro. Cependant, lorsque Dalberto est obligé de se risquer à un long voyage en amont, des désirs interdits commencent à faire surface … »

Notons que Sérgio Machado fut primé à deux reprises à la « Mostra de Venise », pour “Onde a Terra Acaba” (2001), le « Prix du Jury », et, pour « The Violin Teacher » (2015), le « Prix du Public ».

*** « Tengo Suenos Electricos » (Valentina Morel/Bel.-Fra-Cota Rica/2022/102′)

Synopsis : « Eva, 16 ans, vit avec sa mère, sa petite sœur et leur chat. Après la séparation de ses parents, elle ne pense qu’à une chose, quitter la maison et aller vivre avec son père qui, désorienté, traverse une seconde crise d’adolescence et se rêve une vie d’artiste … »

*** « Until Tomorrow » (Ali Asgari/Iran-Fra./2021/86')

Synopsis : « Fereshteh, jeune étudiante, vit seule à Téhéran avec son bébé. Lorsque ses parents, qui ignorent sa situation, lui annoncent leur venue imminente, Fereshteh n’a que très peu de temps pour trouver à qui confier sa fille … »

Soulignons que la présidence du Jury de la Compétition internationale sera assurée par la réalisatrice bruxelloise  Laura Wendel (°1984), qui, pour son premier long métrage, « Un Monde » (Bel./2021/72′), remporta une vingtaine de Prix, au Canada, en Chine, en Israël, au Mexique et dans différents pays européens, obtenant, en 2021, le « Prix de la Critique internationale » (« FIPRESCI »), de la section « Un certain Regard », au « Festival de Cannes », ainsi que, en 2022, pas moins que sept « Magritte du Cinéma », à Bruxelles.

Elle sera accompagnée, au sein de ce Jury, par Yoann BlancAnna FalguèresLéo Karmann Robinson  Stévenin.

En complément et contrepoint à cette « Compétition internationale », six films se retrouvent au programme de la « Compétition internationale des 400 Coups », qui rassemble des coups de cœur et coups de folie, autour du thème de l’Amour, à la frontière des genres cinématographiques.

A noter que le président du « Belgian Jury » n’est autre que l’acteur, humoriste, producteur et scénariste bruxellois Fabrizio Rongione (°1973), lauréat du « Magritte du meilleur Acteur », en 2015, à Bruxelles, pour son  interprétation dans « Deux Jours, une Nuit » (2014), de Jean-Pierre et Luc Dardenne, ayant été l’animateur de la Cérémonie des « Magritte du Cinéma », en 2013, 2014 et 2018.

Si un film du réalisateur ukrainien Antonio Lukich (°1992) – « Luxembourg-Luxembourg » – figure au sein de la programmation de la Compétition internationale, parmi les autres nombreux longs-métrages présentés en  Première nationale, nous pourrons découvrir :

*** « La Femme de Tchaïkovski » (Kirill Serebrennikov/Rus.-Fra.Sui./2022/143′)

Synopsis : « En Russie, au XIXè siècle, Antonina Miliukova, jeune femme aisée et apprentie pianiste, épouse le compositeur Piotr Tchaïkovski. Mais l’amour qu’elle lui porte n’est pas réciproque et la jeune femme est violemment rejetée. Consumée par ses sentiments, Antonina accepte de tout endurer pour rester auprès de lui ...« 

Ce réalisateur russe, Kirill Serebrennikov (°1969), réfugié à Berlin, fait « Chevalier des Arts et des Lettres », à Paris, en 2018, et « Docteur Honoris Causa » de l’ « Université Paris X », reçut, notamment, outre des Prix en Théâtre, le « Prix François Chalais », de la section « Un certain Regard », au « Festival de Cannes », pour son long-métrage « Le Disciple » (2016), qui fut, aussi, récompensé, en cette même année 2016, par le « Prix de la Mise en Scène », au « Festival Kinotavr », à Sotchi, Youlia Aoug, ayant obtenu, pour ce film, le « Nika de la meilleure Actrice dans un second Rôle », de l’ « Académie russe des sciences et des Arts cinématographiques », à Moscou.

Le vendredi 17 mars, à 19h30, le « Plaza Arthouse », accueillera, comme invité d’honneur, l’acteur, réalisateur et scénariste français Michel Blanc (°1962), pour une leçon de cinéma, qui sera suivie de la projection d’une copie restaurée d’un film, pour lequel il obtint, en 1986, le « Prix d’Interprétation masculine », au « Festival de Cannes » :

*** « Tenue de Soirée » (Bertrand Blier/Fra./1986/84’/ film lauréat, en 1986, du « Prix du Top Films étrangers », du « National Board of Review », à New York).

Synopsis : « Antoine est fou de Monique qui n’éprouve pas d’amour envers son compagnon. Antoine va donc désespéramment se confier à son ami Bob qui va l’écouter attentivement, car ce dernier est fou amoureux d’Antoine et va tout tenter pour le séduire … »

Michel Blanc reçut, également, en 1993, le « Prix du Scénario », au « Festival de Cannes », pour son film « Grosse Fatigue » (1993), et deux « César », ceux, en 2012, « du meilleur Acteur dans un second Rôle », pour l’ « Excercice de l’Etat » (2011), de Pierre Schoeller, et, en 2021, le « César anniversaire », avec la « Troupe du Splendid », ainsi qu’en 2002, le « Prix Henri Janson », de la « SACD » (« Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques »), sans oublier, en Théâtre, en 2004, le « Molière de la meilleure Adaptation », pour « L’Amour est Enfant de Salaud » (2003).

Une seconde leçon de cinéma, présentée par Philippe Reynaert – animateur, à la « RTBF » de « L’Envers de l’Ecran », directeur de « Wallimage », de 2001 à 2020 – sera donnée, au « Plaza Art House », le lundi 13 mars, à 20h, par l’actrice, réalisatrice et scénariste italienne Susanna Icchiarelli (°1975), suivie de la projection de son cinquième long métrage :

*** « Chiara » (Ita./2022/106′)

Synopsis : « Chiara, dix-huit ans, s’enfuit de chez elle la nuit pour rejoindre son ami Francesco : à partir de ce moment, sa vie change pour toujours. L’histoire d’une sainte, l’histoire d’une fille et son rêve de liberté … »

Comme troisième leçon de cinéma, nous aurons « La Leçon de Musiques de Films », qui sera donnée le jeudi 16 mars, à 20h, au « Plaza Art », par le compositeur et musicien bruxellois Frédéric Vercheval, lauréat, pour  « Duelles » (Olivier Masset-Depasse/Bel./2018/97′), en 2020, à Bruxelles, du « Magritte de la meilleure Musique originale », et, en 2019, du « Prix de la meilleure Musique originale pour une Production belge », des « World Soundtrack Awards », au « Gent Festival van Vlaanderen ».

Ensuite, à 20h, nous assisterons à la projection de :

*** « La Place d’une Autre » (Aurélia Georges/Fra./2021/112′)

Synopsis : « En 1914, sur le front, Nélie a échappé à une existence misérable en devenant infirmière auxiliaire. Un jour, elle prend l’identité de Rose, une jeune femme qu’elle a vue mourir sous ses yeux, et promise à un meilleur avenir. Nélie se présente à sa place chez une riche veuve, Eléonore, dont elle devient la lectrice … »

Egalement au programme du 38è « LIFF », trois conférences :

** « Images de la Séduction au Cinéma : drôle de Drague », le vendredi 17 mars, à 15h, au « Plaza Art », qui sera suivie, à 16h30, de la projection de :

*** « Red Rocket » (Sean Baker/USA/128’/film lauréat d’une douzaine de Prix, dont, en 2021, la« Palm Dog », au « Festival de Cannes » et les « Prix du Jury » et « de la Critique », au « Festival du Cinéma américain« , à Deauville)

Synopsis : « Mikey Saber revient dans sa ville natale du Texas, après des années de carrière de pornstar à Los Angeles. Il n’y est pas vraiment le bienvenu… Sans argent, sans emploi, il doit retourner vivre chez son ex-femme et sa belle-mère … »

** « L’Evolution de la Critique cinématographique », le mardi 14 mars, à 18h, au « Plaza Arthouse », une  conférence animée par Philippe Reynaerts.

** « Le Métier de Scénariste »dans le cadre des « ProfesionnELLES du Cinéma belge », une rencontre professionnelle, ouverte au public, le vendredi 17 mars, à 18h30, au « Plaza Arthouse », qui sera suivie de la  projection, en présence de sa réalisatrice, du documentaire :

*** « Body Parts » (Kristy Guevara-Flanigan/USA/2022/90′)

Synopsis :  « ‘Body Parts’ retrace l’évolution du sexe à l’écran du point de vue de la femme, en exposant les réalités inconfortables, qui se cachent derrière certaines des scènes les plus emblématiques d’Hollywood et célèbre les créateurs audacieux, qui ouvrent la voie au changement … »

Notons que deux rencontres – « Le Comptoir des Ressources Créatives : par et pour les créateurs ! » et le « Bilan Wallimage », cette dernière abordant « les outils de communication et de promotion des tournages respectueux de l’environnement » – seront exclusivement réservée aux professionnels.

Autre invitée d’honneur, dans le cadre de la section « Les Amoureux du Cinéma », l’actrice, réalisatrice et scénariste parisienne Emmanuelle Bercot (°1967), dont quatre de ses films, et un cinquième dont elle fut l’une des actrices,  seront projetés, à Mons, en copies restaurées.

Au « Plaza Arthouse », le mercredi 15 mars, à 18h, nous aurons une séance « Courts en Hainaut », nous présentant trois courts métrages tournés en Hainaut, avec le soutien financier et/ou logistique du « Service Cinéma » de la Province de Hainaut.

En outre, organisées en partenariat avec le secteur associatif, onze séances thématiques ou spéciales figurent au programme, les thèmes étant : les droits des femmes, les LGBTQIA+, l’ environnement  et la coopération  internationale, ainsi que des projections destinées aux aveugles et malvoyants, sourds et malentendants, ainsi qu’au jeune public ou aux seniors.

Privilégiant une démarche d’éducation à l’image à travers le cinéma, le « LIFF » programme 34 séances scolaires, tant pour le primaire que le secondaire, 12 films ou séances de courts métrages étant présentés, des rencontres  avec des réalisteurs.trices étant prévues, de même que différentes activités pédagogiques.

A destination d’élèves de 4è et 5è secondaire, en collaboration avec les asbl montoises « Maison de la Laïcité »  et  « Picardie laïque », un concours « Filme ta critique » sera organisé.

Enfin, n'oublions pas la "Compétition des Courts Métrages belges", ouverte à 12 films, deux Jurys devant les départager, l'officiel, avec André Bonzel, Catherine Cosme et Florian Vallée, ainsi que celui de la presse, composé de trois journalistes, l'un, Pierre Raemdonck, affilié à l' "UPCB" ("Union de la Presse Cinématographique Belge"), ainsi que deux, Liam Debruel & Yves Calbert, à l' "UCC"  ("Union de la Critique de Cinéma").

Se réjouissant que ce 38è Festival montois puisse retrouver son format normal, après deux années de crise sanitaire, trois évènements retrouveront leur place :

** « Soirée Blind Test », centré sur le cinéma, la télévision et la pop culture, le samedi 11 mars, à 17h, à l’ « Imagix ».

** « Soirée Love Machine », le samedi 11 mars, à 21h, au « WCCM » (« Wallonia Conference Center Mons »), durant laquelle nous pourrons danser sur des mélodies du monde.

** « Soirée italienne », avec musiques et dégustations, le dimanche 12 mars, à 20h, au « WCCM », deux films italiens nous étant proposés, en avant-programme, à 18h, à l’ « Imagix ».

Prix pas séance (sauf pour les 2 Galas) : 7€ (6€, pour les étudiants et les seniors / 5€, par personne, au sein d’un groupe de minimum 20 personnes / 4€, par étudiant, en séances scolaires / 1€25, pour les « Art. 27). Prix pour les Galas d’Ouverture et de Clôture : 12€. Prix des Pass : 35€ (10 séances) & 20€ (4 séances). Site web :          www.liff-mons.be.

Soulignons, ici, le bel effort du « LIFF », qui, pour toute personne, quelque soit son âge, permet de ne payer que 3€50 par séance, à l’achat d’un pass, à 35€, valable durant les 9 jours du Festival, du vendredi 10 au samedi 18 mars.

A ce prix là, le vrai cinéma, en salles (3 au « Plaza Arthouse », et 2 à l’ « Imagix« ), sur de grands écrans, on en redemande, Jean-Paul Deplus, le président du « LIFF », ayant déclaré, en conférence de presse, le jeudi 23 février, en présence de l’échevine de la Culture, Catherine Houdartl, et du délégué général du « LIFF », Maxime Dieu : “Attirer du monde dans les salles, c’est évidemment important d’autant plus que nous avons conservé des tarifs abordables car nous tenons à ce que cela reste accessible à tout un chacun … »

« … Manifestement, il y a une véritable demande de la part du public qui réclame de voir des films en salle. Des films qu’on ne retrouve pas forcément sur les plateformes numériques. L’amour est un thème universel qui est partagé par énormément de monde et ce que nous voulons faire de ce festival, c’est la fête du cinéma. On espère aussi avoir le plus de monde possible dans les salles pour apprécier le travail réalisé par les nombreuses équipes des films qui seront présentés lors du festival.”

Yves Calbert.

 

 

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Yves Calbert

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