La Traviata de Guiseppe Verdi par l’Opéra Avanti à Trois-Ponts

écrit par admin
le 15/10/2015
La Traviata de Guiseppe Verdi par l'Opera Avanti . Trois-Ponts

Samedi 31 octobre 2015 à 20h
2ème opéra à Trois-Ponts
Au vu du succès de la première édition, le Comité culturel et l’Espace culturel de Trois-Ponts se sont à nouveau associés pour offrir aux habitants de la région un opéra grandiose, près de chez eux, joué par des professionnels et suivant une formule condensée qui permet à tout un chacun de découvrir aisément ce domaine artistique tant institutionnalisé.
Pour ce deuxième événement, douze artistes ayant une aura sur la scène internationale, nous proposent de revisiter l’un des plus grands opéras de Guiseppe Verdi, celui qui lui a octroyé une gloire internationale, il s’agit de La Traviata.
Inspiré du roman La Dame aux camélias d’Alexandre Dumas fils, La Traviata est un drame romantique au caractère intimiste qui conférera à cette soirée d’exception dans la région un souvenir impérissable.
La Traviata, le samedi 31 octobre 2015, déploiera son charme envoûtant à l’Espace culturel de Trois-Ponts, au sein d’une salle garantissant une acoustique de grande qualité et pouvant accueillir 280 personnes.

Le comité culturel de Trois-Ponts
L’association du Comité culturel de Trois-Ponts a pour ambition, depuis 1982, de faire vivre la culture dans et hors de sa commune par l’organisation de différents manifestations. Ce deuxième opéra s’inscrit donc parfaitement dans sa mission, celle de faire plaisir aux habitants de la région en leur offrant des événements culturels d’envergures.

L’Espace culturel de Trois-Ponts
Depuis 2008, l’Espace culturel de Trois-Ponts développe des projets culturels s’inscrivant dans les missions des Centres culturels. Non reconnu à ce jour par la Fédération Wallonie-Bruxelles, la saison culturelle de Trois-Ponts se déploie d’année en année grâce à une équipe dynamique, forgeant une solide réputation à ce service communal, qui fut récompensé pour de nombreux projets : 1er au concours « Marathon en Wallon » sept. 2015, Lauréat à la sélection d’appel à projets d’éducation aux médias 2013-2014, 1ère création d’un chœur d’enfants au sein d’une école pour accompagner un opéra en Belgique – Carmen 2014, etc.
Ce deuxième opéra atteste des synergies vives qui se tissent au sein de la commune, mais pas que… De nombreux projets émergent de collaborations avec des associations telles que le Théâtre de Liège, Couleur café Asbl Malmedy, le Festival Paroles d’hommes, l’AMO Cap Sud ou encore le Centre culturel de Stavelot, avec lequel l’Espace culturel a signé un accord de coopération culturelle en mai 2014.

PAF : adulte 23€ en prévente - 25€ sur place
Enfant 21€ en prévente – 23€ sur place
Infos et réservation : espaceculturel@troisponts.be 080/29.24.6

La compagnie Opéra Avanti
L’Opéra Avanti souhaite rendre l’Opéra accessible au grand public sans toutefois porter atteinte à la qualité artistique. L’histoire est ici condensée et se drape d’une mise en scène contemporaine. Ainsi, la musique, l’histoire et la prestigieuse distribution séduisent tant les passionnés avertis que les spectateurs curieux.
Les productions passées : Le Nozze di Figaro de Mozart, Die Zauberflöte de Mozart, Carmen de Georges Bizet.

La Traviata :

Résumé
La Traviata est un opéra en trois actes, dont le livret est de Francesco Maria Piave, et la musique de Giuseppe Verdi. Inspiré du roman et de la pièce de théâtre La Dame aux camélias (1847/1852) d’Alexandre Dumas fils, l’opéra fut créé à Venise au Théâtre de La Fenice, le 6 mars 1853.
La version de La Traviata qui sera présentée à l’Espace culturel de Trois-Ponts est mise en scène par Hugo Segers.
La Traviata raconte l’histoire de Violetta, courtisane de santé fragile, qui choisira de renoncer à sa vie mondaine parisienne par amour pour Alfredo Germont, puis devra renoncer à cet amour par sacrifice.

LA TRAVIATA de Guiseppe Verdi par l’Opéra Avanti
Direction artistique Jacques Does
Mise en scène Hugo Segers
Les musiciens : 1pianiste et 2 violons

Le livret
Acte 1
Violetta Valéry, courtisane de haut rang, donne une grande soirée. Un ami, Gaston, lui présente le jeune Alfredo Germont. Violetta fait ironiquement remarquer à son protecteur, le baron Douphol, qu’il manifeste moins d’intérêt pour elle que ce jeune homme inconnu. Alfredo propose alors de porter un toast. Dans la pièce voisine, les danses reprennent mais Violetta, saisie d’un malaise soudain, demande qu’on la laisse seule. Alfredo, toutefois, reste avec elle. Il s’enflamme mais Violetta, bien que touchée, ne semble pas le prendre au sérieux. Elle lui donne néanmoins une fleur de camélia en lui demandant de la rapporter lorsqu’elle sera fanée, le lendemain. Les invités prennent congé et, restée seule, Violetta s’avoue troublée par ce jeune homme qui a éveillé en elle des rêves enfouis depuis l’enfance. Mais elle revient brutalement à la réalité... Sa destinée n’est pas de vivre pour l’amour d’un seul homme : elle doit rester libre et parcourir les chemins du plaisir.

Acte 2
Premier tableau
Violetta a fini par céder à l’amour d’Alfredo et s’est réfugiée avec lui dans sa maison de campagne. Alfredo apprend que sa maîtresse doit vendre ses biens pour faire face à des problèmes matériels. Il décide alors de regagner Paris afin de trouver l’argent nécessaire. Violetta attend son homme d’affaires, mais c’est Giorgio Germont, le père d’Alfredo, qui se présente. Il aborde Violetta avec froideur, persuadé que la jeune femme ne pense qu’à soutirer de l’argent à son fils. Il se radoucit lorsqu’il découvre la vérité, mais demande toutefois à Violetta de renoncer à Alfredo. Elle refuse. Germont évoque alors sa fille, qui ne peut se marier à cause de la liaison scandaleuse de son frère. Comprenant que son passé la poursuivra toujours, Violetta cède, la mort dans l’âme : elle quittera Alfredo et reprendra son ancienne vie. Germont prend congé, ému par la noblesse de cette femme qu’il a contrainte au sacrifice. Elle s’apprête à écrire une lettre de rupture à son amant. Le retour d’Alfredo la surprend et elle s’éclipse après des adieux que le jeune homme ne comprend pas, jusqu’à ce qu’il ouvre la lettre que Violetta lui fait parvenir quelques instants plus tard. Germont revient et, sans rien dire de sa visite à Violetta, cherche à consoler le désespoir de son fils en lui vantant les vertus de la vie familiale. Mais Alfredo ne songe qu’à retrouver Violetta.

Deuxième tableau
Une fête bat son plein chez Flora Bervoix, une amie de Violetta. Alfredo surgit. Flora s’étonne de le voir seul, mais Violetta fait à son tour son entrée, accompagnée du baron Douphol. Alfredo n’a qu’un seul désir : se venger. Il joue aux cartes avec le baron et gagne une somme considérable. Violetta est partagée entre le désir de s’expliquer et la promesse faite à Germont. Elle finit par prétendre qu’elle aime Douphol. Fou de rage, Alfredo jette l’argent gagné au visage de Violetta devant tous les invités, la «payant » ainsi de ses trois mois d’amour. Violetta s’évanouit et le baron provoque Alfredo en duel. Germont, qui a suivi son fils, lui reproche d’insulter une femme de cette manière.

Acte 3
Violetta, gravement malade, est abandonnée de tous. Son médecin passe la visiter comme tous les matins et se rend bien compte que Violetta n’a plus que quelques heures à vivre. Dehors, les rues de Paris renvoient l’écho des fêtes du Carnaval. Germont a écrit à la jeune femme pour lui annoncer qu’Alfredo a blessé le baron au cours du duel. Il a dû s’éloigner mais son père lui a avoué la vérité et Alfredo est sur le chemin du retour. Violetta l’attend désespérément, même si elle pense qu’il est maintenant trop tard. Alfredo arrive enfin. Il demande à Violetta de lui pardonner. Ils quitteront Paris à nouveau et elle recouvrera la santé. Germont vient à son tour rendre visite à la jeune femme, qu’il considère à présent comme sa fille, mais celle-ci est à bout de forces. Un dernier sursaut de vie semble la ranimer, puis elle retombe, morte.

La distribution : Opéra La Traviata à Trois-Ponts
Mise en scène : Hugo Segers
Directeur artistique : Jacques Does

Anne Renouprez / Violetta
Soprano, comédienne et historienne de la littérature et du spectacle, Anne Renouprez est diplômée des Conservatoires Royaux de Bruxelles et de Mons ainsi que de l’Opérastudio des Flandres. Elle s'est perfectionnée avec Ruggero Raimondi, Jennifer Larmore et Elena Mosuc. A l’Opéra, parmi les rôles importants qu’elle a chanté, on peut citer Donna Elvira et Donna Anna (Don Giovanni), Anne Truelove (The Rake’s Progress), Musetta (La Bohème), Contessa (Le Nozze di Figaro) et encore Tosca, Lucia di Lammermoor et La Traviata. En tant que concertiste, outres ses nombreuses collaborations avec des ensembles baroques (Guy Van Waas, Nicolas Achtens etc.) elle a joué avec les pianistes Graham Johnson, Gianni Fabbrini, Jean-Marc Bouget (Salle Gaveau), Daniel Blumenthal (La Monnaie) mais également avec Eliane Reyes (CD « Recueil Vasnier » de Debussy, Pavane Revords) et Peter Tomek (CD « Lieder und Sonate für Mathilde Wesendonck », P.R). En compagnie d’Alain Duault, elle a donné « A la recherche de la Traviata » à l’Opéra de Liège où ils ont créé en co-production « A la recherche de Lucia di Lammermoor » le 25 octobre 2015.
Paul Claus / Père Germont

PAUL CLAUS, baryton gantois, a développé sur le tard son talent musical. En effet, il n’a commencé à travailler sa voix chaude de baryton qu’après son entrée dans le chœur de l’Opéra et au Belcanto Liane Soudan en 1983 à Gand. Encouragé à étudier le chant par le pianiste/chef de chœur/pédagogue Liane Soudan et la soprano/professeur de chant Andréa Nevry, il a poursuivi ses études à l’académie de musique de Gentbrugge. En 1994, il y obtient un degré supérieur de « musique et chant » avec une mention « excellent ». Il continue ensuite à perfectionner son chant chez la soprano/professeur de chant Erika Pauwels.
Dans son monde plein de musique, il a interprété divers rôles et a chanté plusieurs solos de baryton, des oratorios aux cantates. En récital, il a laissé sa voix de baryton – chaude et lyrique – pour chanter d’autres compositeurs, dont même les maîtres flamands.
Il se produit en Belgique, Allemagne, France et Pays-Bas, notamment sous la baguette de nombreux chefs d’orchestre et sous la direction de plusieurs régisseurs.

Yves Saelens / Alfredo
Après avoir obtenu un diplôme supérieur de chant et d’art lyrique au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles et au Juilliard Opera Center à New York, il est premier lauréat à de nombreux concours ce qui lui vaut d’être élu par L’Union de la Presse Musicale Belge comme ‘Jeune Musicien de l’année 2004’. Il participe à des masterclasses et devient soliste dans de nombreuses cantates et oratorios à travers L’Europe L’Amérique du Nord et L’Asie. Son répertoire inclut des œuvres de Haydn, Bach, Beethoven, Rossin, etc.  Yves Saelens a fait ses débuts à l’opéra sous les traits de Paolino (Il Matrimonio Segreto de Cimarosa). Depuis, il a interprété plusieurs rôles du répertoire mozartien et d’autres dans les opéras suivant : Madama Butterfly, Falstaff, Salomé, Alceste, Orphée aux Enfers, Damnation de Faust, L’Heure Espagnole… Il a travaillé avec les chefs d’orchestre Serge Baudo, Sigiswald Kuijken, Michel Corboz, Peter Schreier, Marc Minkowski, Christophe Rousset, René Jacobs, Jean-Claude Casadesus, Dennis Russel Davies, Marcello Viotti, Evelino Pidò, … Ses derniers engagements incluaient  les rôles de Don Ottavio (Don Giovanni), Schatz & Big Uncle dans la première mondiale de An unserem Fluss à l’Oper Frankfurt, Faust (La Damnation de Faust) au Nationaltheater Mannheim, des concerts dans In Terra Pax (Martin) avec Luca School of Arts Leuven, L’Enfance du Christ (Berlioz) avec L’Orchestre Avignon-Provence et avec La Monnaie Bruxelles, Mattheuspassion (Bach).

Bernard Aty Monga Wa Ngoy / Marchese
BERNARD ATY MONGA WA NGOY, baryton-basse d’origine congolaise, a commencé ses études musicales, à Lubumbashi, sur sa terre natale. Il a poursuivi sa formation au Conservatoire Professionnel Teresa Berganza de Madrid et continué ensuite à l’’école Supérieure de Chant de Madrid, avec la soprano Ana Fernaud d’où il obtient sa License en juin 2011.
Ayant participé à plusieurs cours d’opéra et de musique baroque, il a pu chanter comme basse sous la direction d’Oscar Gershensohn, de Rainer Steubing et actuellement avec Martino Faggiani.
A son actif, il a pu interpréter des rôles de baryton soliste dans les opéras suivant : Baron Douphol et Marchese (« la Traviata» de G.Verdi), Baltazar (“Amahl and the night visitor” de G.C.Menotti), Betto (“Gianni Schichi” de Guccini) et Figaro (“Le nozze di Figaro” de W.A.Mozart). Il a aussi chanté dans l’oratoire « Messe de couronnement” de W.A. Mozart.

Marta Beretta / Carmen
La mezzo-soprano Marta Beretta a entamé ses études musicales à l’âge de neuf ans. Elle obtient un diplôme de violon au Conservatoire de Como, sa ville natale, puis passe son diplôme de chant au Conservatoire Giuseppe verdi de Milan, dans la classe de Bianca Maria Casoni.
Marta a débuté avec l’orquesta Sinfonica Giuseppe Verdi di Milan et l’Orchesta dei Pomeriggi Musicali. Avec le premier, elle a participé à l’enregistrement d’un disque dédié au centenaire de la mort de Verdi sous la direction de Riccardo Chaily, et elle a chanté son premier rôle dans The Little Sweep de Britten en avril 2003.
En mai 2003, elle est finaliste au concours international de Chant E. Caruso.
Elle a interprété les rôles de Mercedes (Carmen), Dorabela (Cosi fan Tutte), Siebel (Faust), Cherubino (Nozze di Figaro), Charlotte (Werther), Alisa (Lucia di lammermoor) et Alice (Alice). Depuis 2002, Marta Bereta fait partie des chœurs du Théâtre Royal de La Monnaie de Bruxelles.

Jean-Michel Van Oosten / Gastone
Le ténor belge Jean-Michel Van Oosten débute sa formation de chanteur lyrique auprès de la soprano Andréa Guiot à Montpellier en 2000. Il obtient son diplôme de musicien interprète dans la classe d’Axel Everaert au Conservatoire de Maastricht en 2007. Il participe à des productions comme Der Jasager (Der Student) de Weill pour le Théâtre Le Corum de Montpellier, Tereus (rôle-titre) de Beurden, La Chatte métamorphosée en Femme (Guido) d’Offenbach et Im weissen Rössel (Sigismund Sülzheimer) de Benatzky au Conservatoire de Maastricht, Die Zauberflöte (Monostatos) de Mozart à la Monnaie et au grand Théâtre du Luxembourg et le controversé Donna Giovanna (Zerlino) d’après Mozart pour Opera Spanga. Il interprète les rôles du Dancaïro dans la production Carmen d’Opera Zuid et du Remendado dans la même œuvre pour Idée Fixe en Belgique. Il interprète encore le rôle principal dans la comédie musicale Les Parapluies de Cherbourg (une coproduction du Theater aan het Vrijthof à Maastricht et d’Opera Zuid). Il participe récemment à différentes productions aux Pays-Bas, en Belgique et en France, notamment Barbe Bleue (Prince Saphir) et La grande Duchesse de Gerolstein (Baron Puck) d’Offenbach, das Land des Lächelns (Gustav von Pottenstein) de Lehar et Viva la Mamma (le ténor) de Donizetti.

Denis Boudart / Barone
Né à Ottignies en 1977, Denis Boudart étudie le solfège et le violon dès l’âge de huit ans à l’Académie de Musique de La Hulpe.
Il entre au Conservatoire Royal de Liège en 2000 pour y suivre les cours de chant lyrique dans la classe de Nicolas Christou où il obtient le premier prix en 2003. Employé aux ateliers de costumes du Théâtre Royal de la Monnaie depuis 1997 où il exerce sa profession de tailleur, il participe parallèlement à quelques productions de la maison comme choriste supplémentaire. Il tient plusieurs rôles sous la direction de Guido Vermandere, ainsi que d’autres rôles dans les opérettes majeures du répertoire au sein de différentes troupes, ou d’opéra, notamment « Thérèse » de Jules Massenet sous la direction de David Miller. David Miller l’amène également à la comédie musicale avec « La Fugue » d’Alexis Weisenberg au Festival Martha Argerich de Lugano en juillet 2008, ou plus récemment dans « L’homme de la Mancha » dans le cadre du Festival de Wallonie de 2012.

Jacques Does / Dottore + Directeur artistique
Jacques Does a étudié le chant à Bruxelles, Amsterdam et Düsseldorf. Au Théâtre Royal de La Monnaie depuis 1992, il a été soliste dans une vingtaine de productions notamment sous la direction de A.Pappano et K.Ono. Pendant trois saisons, il interprété le rôle-titre dans Don Pasquale de Donizetti. Il a collaboré ensuite à Lady Macbeth de Mzsensk et à la création mondiale de Wintermärchen de Philippe Boesmans, repris à Paris, Lyon et Barcelone. À Paris, il a participé à l’Incoronazione de Poppea, Capriccio et Kát’a Kabanová, ainsi qu’à une production de Salome pour Radio France. À Vienne, on a pu l’entendre dans Il Barbiere di Siviglia. Pour het Festival van Vlaanderen, il a participé à la création d’Aquarius de Goeyvaerts. Avec le Nationale Reisopera des Pays-Bas, il a notamment interprété le Commendatore dans Don Giovanni, Il Re dans Aïda, Hobson dans Peter Grimes, Der Sprecher dans Die Zauberflöte, Titurel dans Parsifal et Old Man dans King Priam de Michael Tippett. Pour Opera Zuid à Maastricht, il a chanté Banco dans Macbeth et à l’Opéra de Francfort les rôles de Doktor He dans Wolf Club Village de Guo Wenjing, Hans Schwarz dans Die Meistersinger von Nürnberg, Hobson dans Peter Grimes, Deuxième Soldat dans Salome, Le Méru dans Les Huguenots de Meyerbeer et Reimar dans Tannhäuser.

Hugo Segers / Metteur en scène
Hugo Segers est le gestionnaire de chœur de La Monnaie à Bruxelles depuis 2009.
Les 30 années passées, il a été metteur en scène pour
de nombreuses productions dans divers genres. En opéra : The Telephone, La Canterina, Les Mamelles de Tiresias, La Traviata, Faust, Bach’s Kaffee Cantate, Carmen, Die Zauberflöte et Dido and Aeneas. Pour des musicals : Hello Dolly, Showboat, Oklahoma, Fiddler on the Roof, Oliver!, The Sound of Music, Jeckyll & Hyde, Jesus Christ Superstar, West Side Story, Bloodbrothers, South Pacific. Des Operette : Orphée aux Enfers, La Belle Hélène, Die Lustige Witwe, The Pirates of Penzance, Der Graf von Luxemburg. Du théâtre : o.a Junkieverdriet, Le Bel Indifferent, De Gidsen, Lend me a tenor, Stepping Out. Des films : de kortfilm ‘Madonna’, ‘The Making of Don Giovanni”.
En 2008, il a fait la mise en scène de « La Cérémonie des prix Culturels Flamands » (Uitreiking van de Vlaamse Cultuurprijzen) à Gent et produit toujours aujourd’hui de nombreux opéra-diner-évents chez le « Vlaamse Opera ».

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