Découvertes Gastronomiques avec la complicité de la Peugeot 508 Hybrid4.

écrit par patrickthibaut
le 17/03/2013
Peugeot 508 Hybrid4

Eh bien nous revoici en quête de bonnes et sympathiques adresses gourmandes.

Pour cette fois nous allons visiter nos cousins du Nord – vous l’aurez tous compris nos voisins du Nord de la France (Lille, Roubaix, Arras ou encore Maubeuge…).

Maubeuge est située à 100 km de notre capitale et, avec ou sans Clair de Lune, se présente comme une ville assez sympa. Vu la proximité de notre frontière beaucoup de nos citoyens s’y rendent pour y faire leurs achats donc la présence de beaucoup de ‘plaques belges’ n’est pas le fruit du hasard.

Au cœur d'un important bassin industriel allant d'Aulnoye à Jeumont, Maubeuge se développa autour d'un monastère de femmes, fondé au 7 e s. Malgré ses fortifications, la ville natale du peintre Mabuse, eut à souffrir maintes invasions étrangères, avant d'être détruite à 90% lors des bombardements de 1940. Aujourd'hui, la cité moderne et blanche relevée sur les plans André Lurçat est frappée de plein fouet par la crise de la sidérurgie, héritière directe des manufactures d'armes de jadis.
Si Maubeuge n’est pas le centre touristique par excellence sa situation, à 2 pas de chez nous, et ses bonnes tables nous ont attirés.

Le Relais de Beaufort (à 10 minutes de Maubeuge).

Une ambiance feutrée, un cadre chaleureux, une cuisine raffinée, le Relais de Beaufort constitue une étape gastronomique incontournable pour tous les amoureux de la cuisine traditionnelle. Idéalement situé près de Maubeuge, Avesnes-sur-Helpe, Bavay et Mons, le restaurant vous invite à découvrir ou redécouvrir la bonne cuisine française et les saveurs de nos terroirs. Le chef Philippe Lietard et sa femme y œuvrent depuis 21 ans et se feront une joie de vous accueillir et de vous faire passer un pur moment de délices, seul, en couple ou en famille; mais aussi entre collègues avec la possibilité de réserver la salle de séminaire du restaurant (www.relaisdebeaufort.fr).

Restaurant Lettres Gourmandes à Erquelinnes (à peu de kilomètres de Binche).

Près du pont romain, le restaurant est sis dans une villa arrangée dans un style actuel sobre et coloré. Le Patron n'emploie que du frais. La salle est placée sous l'aimable vigilance de son épouse Catherine (www.lettresgourmandes.be).
En 1991, son diplôme en poche, Christophe Lambert apprit toutes les ficelles du métier dans les restaurants les plus prestigieux tels Le Barbizon, La Mirabelle, le Clos Saint-Denis ou encore Kerselaar. Après avoir gagné ses galons dans ces excellents établissements, il était temps pour lui de se lancer.

C’est à Montignies-Saint-Christophe, dans le Hainaut, qu’il trouva ce qu’il cherchait. Il reprit le restaurant La Villa Romaine, connue depuis plus de cinquante ans pour être l’une des meilleures adresses des environs et auréolée d’1* Michelin. Il est clair que les défis ne lui donnent pas froid aux yeux! Il rebaptisa son restaurant ‘Lettres Gourmandes’ qui récemment a bénéficié de travaux de rénovation, le restaurant jouit d’une toute nouvelle ambiance où les clients peuvent désormais admirer le travail de Christophe Lambert dans sa cuisine ouverte. A l’instar de son mari, Catherine, votre hôtesse, a appris le métier dans des restaurants de renom, tels que Bruneau et Claude Dupont.

Christophe Lambert n’utilise que des produits frais, avec une légère préférence pour le poisson. Sa cuisine est d’inspiration française classique à laquelle il ne manque pas d’ajouter sa touche créative. Une créativité qui s’exprime également dans la présentation des plats, un vrai plaisir des yeux! La cave quant à elle ne compte pas moins de 250 bouteilles différentes.

A noter : organisations de cours de cuisine ... Les lundis dès 18 heures 30 au prix de 60,00 € repas et boissons compris.

Comme toutes les bonnes choses ont un fin nous allons reprendre le volant de notre Peugeot Hybride.

Peugeot 508 Hybrid4.

La berline 508 est la troisième Peugeot à recevoir une motorisation hybride. La motorisation est identique à celle des deux précédents, ce qui lui permet d’abaisser drastiquement sa consommation en ville (www.peugeot.be).
Ne cherchez pas d’indice extérieur, cette version hybrid4 de la 508 ressemble en tout point à une autre version de finition équivalente. Seul le petit logo Hybrid4 sur la calandre permet de deviner qu’un bloc électrique de 37 chevaux vient épauler son 2.0l HDI de 163 chevaux. Une combinaison identique à celle retenue sur les 3008 hybride et 508 RXH, avec une batterie ajoutée dans le coffre (lequel passe de 515 à 355 litres) et un train arrière électrique. Dans l’habitacle, on retrouve l’instrumentation propre aux hybrides Peugeot : un indicateur de puissance à la place du compte-tours, un levier de vitesse spécifique et un sélecteur de mode de fonctionnement (Auto, 4x4, Sport et Electrique). Toutes les possibilités du système hybrid4 sont donc conservées. La 508 peut se transforme à la demande, en traction intégrale, en voiture électrique sur une courte distance ou en modèle dynamique avec l’action simultanée des deux moteurs.

Le Diesel, même avec un filtre à particules, n’étant pas la meilleure chose qu’il soit pour rouler en ville, cette grande berline hybride a l’avantage de minimiser son recours en milieu urbain. Dès sa mise en route, l’auto démarre en mode électrique ce qui permet au passage de quitter à pas feutrés un parking. Le moteur diesel prend ensuite le relai lorsque la charge de la batterie devient insuffisante ou que la demande d'accélération s'avère trop importante pour l'électrique. Ce passage de témoin intervient très rapidement, bien plus tôt que sur une Toyota Prius et on roule donc moins souvent en mode électrique. Mais le moteur arrière ne chôme pas pour autant. Il intervient d’abord lors des passages de rapport de la boite robotisée, afin de gommer la rupture de couple à l’accélération propre à cette transmission tant décriée. La voiture accélère ainsi de manière linéaire comme avec une boite à double embrayage.
Même technologie, même positionnement. Comme les autres hybrides de Peugeot, cette 508 hybrid4 fait office de version haut de gamme plutôt que de championne de l’économie. La technologie hybride adaptée à ce gros moteur diesel engendre naturellement un prix d’attaque conséquent.

Le Break 508 RXH.

L’habitacle reçoit ainsi tous les équipements qui permettent de se sentir confortablement installé : système de navigation, sièges chauffants, démarrage sans clef, … En l’absence d’écran multifonction tactile, tout passe par une myriade de boutons répartis entre la console de bord et le volant. De fait, il ne reste plus de place pour les rangements qui se voient réduits à la portion congrue, à tel point qu’on ne sait même pas où poser la clef électronique ! Les matériaux sont de bonne qualité dans l’ensemble, ce qui confirme au moins le positionnement haut de gamme apparent de la 508 RXH. Les passagers arrière disposent d’un espace suffisant pour la tête et les jambes. Le volume du coffre se réduit à 400 litres, à cause de la place prise par les batteries (160 litres), mais sa capacité passe à 1.439 litres en profitant des sièges arrière rabattable 60/40. Mais pas de roue de secours.

Comme la 3008 HYbrid4, la 508 RXH dispose, en parallèle, d’un moteur diesel de 163 cv sous le capot et d’un moteur électrique de 37 cv logé dans le train arrière. Peugeot se permet donc d’annoncer une puissance de 200 cv, ce qui ne sera presque jamais le cas en pratique, d'autant qu'au dessus de 120 km/h, le moteur électrique se désaccouple.

Via un sélecteur situé entre les sièges avant, le conducteur peut opter pour les modes Auto, Sport, 4WD ou ZEV. Le premier gère automatiquement la transmission hybride. Le deuxième repousse le passage des vitesses et octroie un effet boost en sollicitant les deux moteurs en simultané. En 4WD, la 508 RXH fonctionne en quatre roues motrices permanente même si la batterie est vide. L’alterno-démarreur fournit alors l’électricité nécessaire pour alimenter le moteur des roues arrière. Enfin, le mode ZEV force l’utilisation en tout électrique, à condition que la batterie soit au moins à la moitié de sa charge. C’est là que le bât blesse…

Bon appétit et bonne route.

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  • Restaurant Relais de Beaufort
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  • Restaurant Lettres Gourmandes Le pont romain
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patrickthibaut