Le Whisky Belgian Owl en Citroën DS5.

écrit par patrickthibaut
le 02/04/2012
Belgian Owl

Le Whisky Belgian Owl en Citroën DS5.

Il est vrai qu’alcool et auto ne feront jamais bon ménage… Alors, faites vous accompagner par un ‘Bob’ car, rater cette dégustation serait une grosse erreur.
Le whisky belge c’est relativement nouveau. Mais ce n’est en aucun cas un produit de seconde ‘zone’. Ce Belgian Owl en est la preuve.
Et notre essai voiture sera consacré à la Citroën DS5 qui est aussi toute nouvelle…

Le Whisky.

Après s'être lentement développé sur les collines et dans les vallées de l'Ecosse, le whisky est de nos jours un alcool mondialement connu. Après la seconde guerre mondiale, il pris un rôle considérable dans le redressement de la Grande-Bretagne. Winston Churchill lui même, ne souhaitait sous aucun prétexte que la quantité d'orge soit réduite pour ne pas diminuer la production de cette eau de vie (www.le-whisky.com)!

Quatre régions écossaises produisent la majorité des whiskies de malt, les Highlands, les Lowlands, l'île de Islay et Campbeltown. Bien sûr, on trouve des distilleries ailleurs, mais la majorité se concentre dans les Highlands. Chaque distillerie donne un goût unique aux whiskies.

Après les bières belges, c’est le whisky belge qui fait parler de lui. Tant pour la Distillerie Filliers à Deinze que pour la Brasserie Het Anker à Mechelen et certainement encore d’autres. Mais, celui qui nous intéresse aujourd’hui a été créé à partir d'orge cultivé en Hesbaye, le whisky belge The Belgian Owl, lancé en 2004 par Etienne Bouillon à Fexhe-le-Haut-Clocher (à deux pas de Liège) - www.belgianwhisky.com.

Mais laissons la parole à Etienne Bouillon :
« Avez-vous déjà goûté un Single Malt durant son processus de vieillissement ?
Je suis curieux, et si vous l’êtes, vous trouverez les réponses à vos questions telles que : que goûte donc un Single Malt Spirit aux différentes étapes de son élaboration ou, à quel moment la couleur venant du fût est-elle significative ? Ces réponses vous les trouverez dans le Monde du Belgian Owl, notre Monde, un rêve et maintenant, depuis 2004, une réalité… »

La production actuelle tourne autour des 20 000 bouteilles, de 50 cc, et le pourcentage est de 46° à 76° - Eh oui et, croyez-moi, le 76° est merveilleux.

Mais notre Déesse nous attend… Enfin notre Citroën DS5.

Après les DS3 et DS4 et avant une certaine DS6 limousine, la lignée DS grimpe en catégorie routière, mais avec une originalité incroyable côté look.

Lorsque l’on se retrouve nez à nez avec la DS5, la surprise est déjà visuelle. Elle ne concerne pas les jantes bicolores ou les sabres courant de part et d’autre du capot, mais c’est plutôt le gabarit qui étonne : toit bas, voies larges. Et une allure ramassée, bien plus proche d’un break haut de gamme. Le tout dans un gabarit compact de 4,53 m, soit 30 cm de moins qu’un C5 Tourer.

Le sentiment d’étonnement se prolonge dans l’habitacle. D’abord, il y a cette large console centrale. Puis ce fameux toit cockpit, qui sépare deux verrières d’une pluie d’interrupteurs. Enfin, ce ballet d’aiguilles de compteurs à fond rouges, lors de la mise en route.
L’ensemble dégage une belle impression de qualité, l’agencement des commandes ne donne plus de sueurs froides au non-initié, fini, le volant couvert de boutons.

Cette version 2.0 HDi de 163 ch (qui représentera le gros des ventes) accompagnée d’une transmission automatique à six rapports.
Faute de suspension hydropneumatique, habituellement proposée sur les haut de gamme Citroën, la DS5 ne "survole" pas la route. En milieu urbain, c’est plutôt dommage : les chocs sont sèchement répercutées dans les vertèbres.
En dehors des villes, tout s’arrange. Parfaitement amortie, ignorant le roulis et profitant d’un équilibre imperturbable, la DS5 se montre plus dynamique qu’une C5 : direction plus consistante, train avant plus franc.

Le HDi affiche une agréable souplesse dès 1 500 tr/min, reste peu sonore. Quant à la boîte, elle n’est pas la plus moderne du segment mais se montre douce, rétrograde en montée, conserve du frein moteur en descente.
Plaisante à conduire et silencieuse, la DS5 demeure une agréable machine à voyager. Et pas seulement au volant. Les places arrière réservent un excellent accueil grâce à un espace aux jambes suffisant, une belle largeur aux coudes et une banquette bien dessinée, légèrement inclinée vers l’arrière.

Le cinquième passager sera moins bien loti : garde au toit limitée, dossier ferme. La DS5 avoue ici qu’elle ne joue pas dans la cour d’un vrai monospace, comme le prouvent sa modularité basique (banquette simplement rabattable 60/40), son seuil de coffre haut perché et ses rangements rares, notamment à l’avant, où un profond bac entre les sièges vole au secours d’une boîte à gant pas plus vaste qu’un cendrier...

Plus que ses petites soeurs, la DS5 bouscule les habitudes, se montre presque inclassable et joue sur deux tableaux : les breaks et les SUV haut de gamme.

Bonne dégustation et bonne route.

Archives
• Belgian Owl, un Whisky Single Malt Belge d’excellence
• The Owl Distillery. Concours de photo insolite
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